Si seulement on pouvait avoir un aussi bon scenariste sur spiderman ....

Wait a minute.....

Imperium #13
 

Les retrouvailles entre Khari Evans et Joshua Dysart sur IMPERIUM #13 sont à la hauteur. Les deux se connaissant bien, ils ont décidé de travailler dans la continuité de la on-going mais en la rattachant à Harbinger avec comme lien, le personnage de Livewire qui retrouve des couleurs (un peu fade quand il était écrit par Matt Lindt dans Unity malgré de bonnes idées). Et bien sur on va avoir droit à une confrontation entre la belle psiot qui rentre dans le jeu geo-politique (qui est loin d'être oublié) et son mentor.
C'est un excellent début d'arc que j'ai lu, dans la lignée de la toile tissée depuis Harbinger #1 par Dysart. Graphiquement Evans est à très à l'aise car il connait les personnages et son graphisme est rehaussé par la colorisation de Ulises Arreola.

KING #4 (Jet city Comics)
 

KING #4 (Jet city Comics)

Ce comics écrit par Joshua Hale Fialkov reste une énigme. La parution chaotique ne joue pas en sa faveur. Pourtant c'est assez simple à lire et cet avant dernier numéro rassemble les différents protagonistes croisés pour un final qui va se terminer en grosse baston. Néanmoins je trouve cela un peu vide. Le monde entraperçu dans le #1 promettait beaucoup et le scénariste n'a pas su l'exploiter à sa juste valeur. Graphiquement par contre le combo Bernard Chang-Marcelo Maiolo fait des étincelles.

Justice League #48
 

Toujours en retard, toujours dévoré aussi vite mais toujours aussi bon.
La résistance s'organise et les morts commencent à s'accumuler avec ce qu'il faut de coup de théâtre pour faire passer l'arrière goût de décompression accentué par les délais.
De plus, Rebirth oblige, je commence à chercher des pistes dans ce qui pourrait amener au bouleversement de fin mai. Dès la 1ère page, le discours de Wonder Woman semble poser la 1ère pierre. Mirage?
De plus, je sens bien que la Moebius Chair capable de dévoiler n'importe quel secret (cough, cough Original Sin-like?) quand le besoin s'en fait sentir pourrait être le déclenchement d'un jeu de dominos à la fin de l'histoire (vu que qu'elle doit paver le DC Universe pour les mois à venir), surtout avec Geoff Johns aux commande.
En attendant cela, ce numéro continue d'offrir ce qu'il faut (mais toujours pas d'Aquaman...).
Pour Jason Fabok, le délai suppémentaire est toujours bien utilisé.

Place désormais au one-shot dessiné par Oscar Jimenez dédié à Grail.

Effectivement bon épisode d'intro, rien que pour le cliff de fin j'ai été encore plus emballé que ça soit Bagley au dessin. :bave:

En effet : ce prologue suit bien la veine du Prisonnier, mais m'a totalement envoyé dans une mauvaise direction sur l'identité de deux personnages avant la fin, que je n'ai pas vue venir. Bravo aux auteurs pour cette belle réussite, d'autant plus que c'est lié à un élément de la série Captain America : Sam Wilson (excellente d'ailleurs) que je ne pensais plus revoir.

De mon humble avis Dan Slott est le scénariste le plus important du tisseur depuis... David Michelinie ou JM Dematteis, rien de moins... sur la longueur, sur le respect du personnage et de son entourage et sur l'avalanches d'iées qu'il a eu pour lui... J'aime aussi JMS mais il a pourri son run lui même après le départ de Romita avec son histoire sur Gwen et son OMD ce qui ternit pas mal l'ensemble...

Ni Mackie ni Byrne et encore moins Millar, ça c'est sûr.
Le reproche que tu fais à JMS pourrait aussi bien s'appliquer à Dematteis avec la saga du clone et le binz de Judas Traveller, les deux se sont fait pourrir par les contraintes éditoriales.
Hudlin peut-être ? :beu:

Aguirre-Sacasa et Peter David.

Je suis moyennement fan de Dan Slott sur Spider-Man (la narration ne me convient pas)

Bon bha ça va être rapide avec deux lectures.

Batman & Robin Eternal 21 (Histoire James Tynion IV et Scott Snyder ; Script James Tynion IV ; Dessin Tony Daniel ; Encrage Sandu Florea)
http://img4.hostingpics.net/thumbs/m...neternal21.jpg
Pitch : Dans le passé Batman remonte veux comprendre ce qui a pousser Mother a être ainsi et remonte jusqu'a une connaissance. Il prend aussi la décision de ne pas accueillir Harper et son frère et tente de raisonner leur père.
Avis : Comme a chaque fois ou Tynion IV est au scénario c'est du grand Batman. Un peu aider par le fait qu'on a ici un épisode centré sur le passé. Et depuis le début c'est le plus intéressant. On m'enlèvera pas du crâne que B&REternal est plus de Tynion IV et que Snyder n'est là que pour l'aider.
Au dessin on retrouve Tony Daniel qui illumine complètement le comics.
Je sais pas s'ils vont être là jusqu'à la fin mais pour une dernière ligne droite c'est le bon coup de booster qu'il fallait.
Conclusion : How did you find me ? Très bon même si ça aurait pu tenir en moins de case pour la même histoire y'a quelque année.

Superman Lois & Clark 5 (Scénario Dan Jurgens, Artiste Neil Edwards, Encrage Scott Hanna.)
http://img4.hostingpics.net/thumbs/m...Loisclark5.jpg
Pitch :
Superman doit faire face à Blanket. Il doit aussi se décider à faire ou non confiance à Hank Hershaw. Et aussi veiller sur sa femme un peu tournebouler d'avoir rencontrer avec son fils le patron d'intergang, surtout qu'il détient son ami éditrice.
Enfin Clark doit décider si c'est pas le moment de parler à Jon.
Avis :
J'avoue je suis pas fan de Blanket et j'avais peur que l'affrontement ne traine jusqu'au 8 (Vu qu'il est en couverture). Je sais pas si savoir que le titre ne ferait que 8 et non 12 numéro a forcer Jurgens a réécrire ou non, mais j'ai adoré.
D'un Blanket est remi en cellule, de deux le subplot qu'on avait depuis le début explique des choses et permet de renouveler l'intrigue. Une intrigue au maximum pour la pauvre lois. De plus Jon trouve les premier costume de papa et on peu penser qu'il entend ses parent. Et j'ai été touché par toute la partie ou Clark Prés52 à hésiter à parler à Bruce New52.
Conclusion : Right as always
Et j'espère que les persos (Clark, Lois et Jon) seront du Rebirth de DC.

Bonjour à tous,

Je ne sais pas si c'est dans ce topic que doit être mise ma petite critique. Bref, lecture du deuxième numéro de la mini série Obi-Wan & Anakin par Charle Soule et Marco Checchetto. Mêmes défaut que le premier numéro, l’histoire d'Obi-Wan et Anakin sur la planète c'est lent, ça reste très flou quant aux tenants et aboutissants. Les querelles entre les Open et les Closed, ben bof bof.:meurmf:

Le meilleur, mais bien trop court c'est le flashback avec Palpatine. Là mon intérêt est piqué : quelle manipulation le sith va-t-il réalisée sur Anakin, quel message, quelle philosophie.
Palpatine & Anakin ne sonne pas si mal (presque un sketch de robot chicken:p).
Je vais voir la suite car il ressortira peut être quelque chose de la partie flashback, mais demeure peu convaincu.

Wild's End Enemy Within #6
 

Comment ne pas s'arracher les cheveux (du moins le peu qui me reste) devant cette fin brillante de Wild's End Enemy Within #6. Il ne peut n'y avoir qu'une suite, c'est sur, sauf que ..... Une série brillante de bout en bout de la part de Dan Abnett et I.N.J. Culbard. Grandiose et frustrant. Je suis déjà en manque.

So you're stuck in the past.
Get back to the futur ^^

Bloddshot Reborn #11
 

Tu ne crois pas si bien dire. Je t'emmène 30 ans en avant, dans le futur de l'univers Valiant où Old Man Bloodshot (dont la parenté avec un célèbre récit d'un mutant griffu va s'en dire) va subir la pire perte de sa vie. Ninjak va en profiter non sans avoir également du voir la mort de ces coéquipiers (une superbe équipe de psiots qui manquent dans Imperium par exemple). Et comme c'est le retour des vieilles gloires, Shadowman (décidément il est à la fête en ce moment) s'invite à la fête au delà du dôme de la cité des Anges (pas encore de tonnerre car il y a un manque d'eau évident dans ce récit :D). Jeff Lemire reste malin en écrivant un récit dynamique, dans l'air du temps dans les thèmes brassés et surtout avec des références pop et geek d'actualités. Bonne idée également les flashbacks qui font le lien avec la fin de Bloodshot Reborn #9 et la fuite de Ray et Magic.

JEM AND THE HOLoGRAMS #12
 

JEM AND THE HOLOGRAMS #12

Ou comment le personnage de Blaze est le double papier de Sophie Campbell. Moment magique où Blaze exprime sa peur d'être rejetée car elle est transgenre. Vraiment une pure lecture qui touche. Le reste c'est Jem et sa bande qui pète un plomb en rentrant dans le Dark Reign. Cet arc continue de me satisfaire. Une très bonne série qui va au delà de la mode revival des années 80.