Image United Reviews
 

Tiens un sujet de critiques sur les titres Image?! :p

Je vais en profiter pour vous parler de The Strange Talent of Luther Strode. Une mini qui fait en parti écho à Flex Mentallo qui vient d'être réédité chez Vertigo, en effet cette mini en 6 a pour pitch de départ un jeune adolescent geek qui veut échapper à son statu de souffre douleur. Pour ce faire il commande une méthode pour améliorer le contrôle sur son corps, pour ne pas dire augmenter sa masse musculaire, et oui il est là le rapport avec Flex, ce bon vieux Charles Atlas qui pour l'occasion de cette série devient la méthode Hercules. Au final la méthode marche, trop même. Luther Strode développe son corps mais aussi ses sens et se transforme en véritable bête de combat.
Derrière la méthode en partie bénigne se cache un ordre qui date de Caïn, ni plus ni moins, et qui a pour but de recruter les meilleurs éléments de la race humaine.
Les avantages de cette mini sont tout d'abord les nombreuses références geek. Ensuite le personnage est connu car tellement dépeint, pensez à un Peter Parker qui découvre la dure réalité des responsabilités liées à de grands pouvoirs mais avec des litres de sang en plus. En effet, pour renforcer l'incapacité du héros à se contrôler les scènes de combats gores s’enchaînent les unes aux autres.
Une mini qui marche très bien, une suite serait envisageable et pas de refus.


The Strange Talent of Luther Strode.
6 épisodes
Scénario: Justin Jordan
Dessins: Tradd Moore

Le Tpb vient de sortir ou va sortir ( Je me mélange dans les dâtes en ce moment :gaga:)
J'y jeterais un oeil .

Il est sorti mercredi dernier, c'est une review toute chaude.

Et fin d'année en vf si je ne m'abuse.
Ça me branche bien!

Ca m'intéresse aussi. J'aime beaucoup le dessin de la couv'.

Je l'ai lu hier soir, j'avais pas pu faire la série en singles, et je voulais donc me rattraper, que dire ?
Ce fut une sacré débandade pour moi, l'histoire manque singulièrement de finesse - à la rigueur je ne suis pas contre cela mais - , le parcours du narratif est on-ne-peut-plus archétypal, traité sans grande réflexion (et je reste mesuré), mais surtout sans une forme d'humour ou d'ironie que je trouve nécessaire à cela. La donnée principale de l'histoire se veut super-héroïque, mais le monde qui l'entoure reste ancré au nôtre, le lecteur se retrouve donc dans une histoire franchement glauque, avec des geysers de sang mais sans forme de recul, on peut reprocher ce que l'on veut à Millar ou Ennis, mais je préfère leurs propos outranciers et leur cynisme pour me faire avaler la pilule.

Bon malgré tout graphiquement c'est réussi, un mix entre Dan Hipp et Ryan Ottley en gros. Un régal !

Witch Doctor, Under the Knife: Pour leur premier boulot publié le scénariste Brandon Seifert et le dessinateur Lukas Ketner ont jeté un sacré pavé dans la mare comics. Cela dit Witch Doctor a une qualité qui peut être aussi un défaut: on suit les aventures d'un docteur accompagné de ses assistants qui vivent des aventures fraîches et angoissantes à la fois. Ring any bell? Oui ça évoque pas mal Doctor Who sur le papier, mais au dela de cette comparaison inévitable Witch Doctor s'impose comme quelque chose d'unique. D'une les missions et les menaces rencontrées par les héros savent tenir en haleine et amuser le lecteur. De deux sous couvert d'une certaine légèreté la série promet sur le long terme une trame précise qui mènera nos protagonistes jusqu'au combat du jugement dernier. Aussi bien les caractérisations de Seifert et le storytelling de Ketner sonnent juste, les auteurs imposent d'entrée un ton et une ambiance et on monte dans le train sans soucis. La série a marqué aussi bien les lecteurs que l'éditeur et un one-shot est déjà paru dès la parution du premier tp, signe de confiance.
Pour conclure cette mini est à la fois un bon socle qui peut mener vers une série régulière mais aussi des stand alone qui peuvent réconcilier avec le format single.


Witch Doctor, Under The Knife
6 épisodes + Chapter 0 bonus tp.
Scénario: Brandon Seifert
Dessins: Lukas Ketner

Pour Luther Strode Delcourt à annoncé dans ses questions/réponses une sortie pour Septembre :)
Je prendrais surement car j'ai vu quelques planches et j'ai bien accroché.

Mais.......on parle de Image United nulle part ici !!!!!!!!!

:oups:

C.

Ah toi aussi tu t'attendait a ce crossover improbable jamais terminé? xD

Heart: Blair Butler n'est pas juste une geekette qui fait parti du fan club officiel de Booster Gold, elle est aussi scénariste de comics. Avec un titre comme Heart et en se disant que c'est une fille qui écrit on va avoir droit à de la guimauve et des bons sentiments, et bien on se trompe, ou alors très peu. Heart nous plonge dans l'univers des combats des MMA (mixed martial arts), car c'est l'une des passions de mademoiselle Butler, et nous raconte le parcours d'un homme qui s'ennuie dans son quotidien, à la recherche de sensations fortes. En gros vous prenez Fight Club, vous y enlevez la folie, vous rajoutez une pincée existentialisme et vous n'êtes plus très loin du résultat final.
Sans aucune énorme surprise dans le scénario, l'histoire essentiellement narrée à la première personne, est d'une accessibilité déconcertante. Le format tp en fait un comics que l'on peut lire d'une traite mais le format single devait être sympathique aussi tant Butler sait remplir ses chapitres.
En plus d'une bande son omniprésente à chaque combat quand les combattants se choisissent un thème pour arriver sur le ring, le côté rock n' roll du comics est renforcé par les illustrations de Kevin Mellon. En effet le compère de Denis Hopeless sur le GN Lovestruck livre ici une fois de plus des planches emprises de minimalisme mais qui font surtout la part belle aux expressions des personnages.
Heart c'est un monde de brute vu par les yeux d'un homme qui veut s'accomplir, une vision de l'envers du décors de ceux qui cherchent la reconnaissance par les poings. Et comme dans la plupart des histoires d'ascension c'est la chute qui rend le tout intéressant.


Heart
4 épisodes
Scénario: Blair Butler
Dessins: Kevin Mellon

Nightly News Anniversary Edition: Si il y a bien un mot qui pourrait définir cette mini c'est ambiguïté. En effet, dans un soucis de livrer un récit percutant qui ne laisse pas le lecteur indemne Jonathan Hickman joue sur un terrain qui peut en laisser plus d'un perplexe. Le monde décrit par Nightly News est le notre, celui des grands groupes audiovisuels qui se partagent l'information, et dans ce monde nombreux sont ceux qui prennent tout pour argent comptant, une poignée ont l'audace d'avoir un esprit critique et à l'opposé il y a les conspirationnistes, ceux qui voient le mal partout et qui ont leur vérité sur le monde et sur ceux qui tirent les ficelles. C'est sur ces derniers que le récit est construit. Guidé par une voix privée de corps, les fidèles attaquent sans vergogne tous ceux qui représentent le journalisme. Un lecteur non aguerri pourrait y voir un pamphlet au premier degré contre le quatrième pouvoir, tant les propos et les justifications des conspirationnistes sont argumentés. Mais à l'instar d'un Oliver Stone et son Natural Born Killer, Hickman ne fait aucune apologie de la violence, bien au contraire si le lecteur sait lire entre les lignes il appréciera cette fable sur les dérives de ceux qui croient détenir une vérité, que ce soit les médias ou ceux qui s'en méfient. Et cette fameuse ambiguïté dont je vous parlait en introduction trouve tout son sens car les arguments avancés par certains le sont sous une forme journalistique, comprenez pour dénoncer les dérives des médias on vous présente des faits argumentés avec leurs sources, le journalisme au service de l'anti-journalisme en somme.

Cette mini est d'autant plus troublante que l'on y retrouve des acteurs bien réels de la vie médiatique américaine, en gros Hickman lance un avertissement, ce monde de fiction n'est pas si éloigné du notre, et certaines personnes peuvent en arriver à l'extrémisme tant leurs convictions sont profondes, reflets d'une société qui met trop facilement des individus sur le bas côté de la route.
Nightly News est non seulement écrit et illustré par Hickman mais la collection en elle-même fait parti du récit, de la première de couverture à la quatrième c'est un volume qui utilise à la fois les codes de la bande dessinée mais aussi le livre, l'ouvrage en lui-même, des crédits au titre en passant par le choix des citations, pour mettre l'objet au service du récit.

Il est certain que les illustrations de Jonathan Hickman peuvent en laisser plus d'un dubitatif tant ce n'est pas conventionnel, cela dit il y a un monde entre regarder les dessins en le feuilletant et la lecture en elle-même, le style de narration particulier n'en est pas pour autant dérangeant, bien au contraire l'auteur a une vision du storytelling et sait la mettre en pratique, Nightly News est une lecture particulière mais qui se fait sans se forcer, on s'immerge très vite dans l'univers narratif de l'auteur. Une petite réussite à ne pas mettre en toutes les mains, il faut tout de même assez de recul pour apprécier l’œuvre sans y voir un objet de propagande. D'ailleurs ceux qui ont aimé le premier chapitre pour son côté décadent ne seront que déçu par l'évolution et la chute du récit.


Nightly News: A Lie Told In Six Parts
6 épisodes
Scénario: Jonathan Hickman
Dessins: Jonathan Hickman

Je précise juste que ce sujet n'est pas qu'à moi, si vous avez des critiques d'autres titres Image, même des titres plus obscurs genre Walking Dead, n'hésitez pas à poster ici.

Allons-y donc

Walking Dead #100 : beaucoup de bruit pour pas grand-chose.
Robert Kirkman répète un même schéma depuis pas mal d'arcs : n'ayant pas lu les épisodes précédents (je suis en VF), je n'a pas trop été largué (hormis le nom des nouveaux personnages, of course).
Pou un numéro anniversaire, c'est bof.
Au moins, il a tout compris au marketing et il va remettre cela pour Invincible #100 (quand il sortira, hein).

A côté de cela, il y a Morning Glories qui te retourne bien la tête (ouais, 2 numéros à lire ce week-end, je :woot:ise)

T'as lu le WD #100 alors que tu fais la série en VF ?! t'es vraiment un guedin toi :D

Pour Morning Glories, je viens de lire le TPB #3 et je me demande si je vais continuer : trop de mystère tue le mystère, et à force de poser des question sans quasiment jamais y répondre, ça commence à me gonfler :oups:

Mine de rien je note que les deux premières reviews de ce sujet vont bientôt paraître en vf, les probables acheteurs auront au moins une review en français sur quoi se baser et l'éditeur qui ose ce matériel Image à toute mon estime.

Ouaip, je me prendrais au moins Luther Strode.

De mon coté je viens de lire les trois premiers tome d'Invincible.


Ca faisait un moment qu'à force de lire les nombreuses critiques positives je voulais tenter cette série.

Et pas trop de surprise, j'ai beaucoup aimé ce que je viens de lire.
J'ai lu qu'il ne fallait pas s'arrêter aux deux premiers tomes, un peu en dessous du reste de la production, malgré tout je suis rentré dedans immédiatement. C'est plus le dessin qui est un peu juste (ces nez...). Mais de ce que j'ai pu voir il s'améliorer tout du long.

C'est une histoire de super héros avec tout ce que j'aime : une vie privée bien développée, des aventures dans l'espace, des extra-terrestres, des équipes de super-héros, de l'humour mais aussi des moments assez dramatiques.
Bref un super cocktail.

Et surtout on sent que petit à petit Kirkman enrichis l'univers, y ajoute plus de profondeur au fil des numéros.

Hâte de lire la suite donc, d'autant plus que Delcourt va, il me semble, accélérer le rythme de sortie de 2 à 3 tomes par an.

Ah si un élément sur lequel j'ai tiqué tout du long : le traitement de la mère : cuisine, lessive, lecture, lessive, pleurs, cuisine, pleurs... Elle deviens un peu plus intéressante à la fin du tome 3 et j'espère que ça va continuer dans ce sens parce que bon jusque là...

Pour finir je note que dans l'édition Delcourt des tomes 2 et 3 on a le droit à la fin, en plus des couvertures, de quelques illustrations de plusieurs artistes. Sympa :)

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Manhattan Projects #1-4.
Par Jonathan Hickman et Nick Pitarra.

Le duo déjà auteur de Red Wing, mini-séries en quatre parties sur le Temps, ses manipulations et la filiation revient avec une histoire plus longue sur des secrets et une Science qui tourne mal.
Suivant un peu le principe de la série TV Fringe, Hickman met en avant des inventions folles, des créations dangereuses et malsaines issues des expériences les plus troublantes et dérangeantes de la Science. Même si on n'est pas encore au freak-of-the-week, chaque épisode met quand même en lumière une forme d'invention bizarre et dangereuse, mais Hickman a l'intelligence de ne pas faire que cela.

Tirant profit du Projet Manhattan, cette assemblage de génies ayant créés la bombe atomique durant la deuxième guerre mondiale, l'auteur utilise un principe simple mais efficace : expliquer que tout ça n'était qu'une couverture, et que les savants travaillaient sur autre chose, coachés par un général fou et extrémiste. Et ça fonctionne.
Pour le moment, Hickman alterne des épisodes similaires, basés sur un moule commun : présentation d'un des génies, explication de qui il était vraiment (Oppenheimer avait des personnalités multiples et cache un lourd secret, Von Braun avait un bras bionique, Einstein n'est peut-être pas de notre monde...), citations d'un des personnages et mise en avant d'une invention terrible.

Pitarra étant encore meilleur que sur Red Wing, moins brouillon, plus clair, Manhattan Projects lance plusieurs subplots et intéresse pour son aspect "Fringe" et l'exploration de tous les profils des savants clairement fous.
Ca démarre bien, c'est barré, c'est bizarre et malsain. Vivement la suite.

Merci ami amateur du boulot creator owned de Hickman, j'attends le premier tp dans moins d'un mois.

A cause de toi, je me suis acheté Pax Romana. Maintenant que je suis de retour au chômage, je vais avoir un peu de temps pour m'y mettre. ;)

Je sais pas ou poser ma question donc bon, je tente ici et est prêt à aller au pilori pour être fouetté par les modos sur la place publique. ^^

En gros j'ai fini I Kill Giants cette nuit et je me suis pris une grosse mandale tellement c'était bon.

Quelqu'un a des choses à conseiller du même acabit chez Image? Ou même chez d'autres indés?

Merci. :)

Perso je range I kIll giants aux côtés de Daytripper et It's a bird de chez Vertigo, eux aussi abordent les thèmes de la mort dans une vie qui l'accepte ou pas.

Marrant que ce soit toi qui réponde parce que c'est ton commentaire que j'ai lu -je ne sais plus dans quel topic- qui m'avait convaincu de le prendre.

J'ai déjà Daytripper et It's a bird que j'ai aussi énormément apprécié. D'autres titres à conseiller?

Dans le même thème, non là à froid je ne pense à rien, si un truc me viens je te tiens au courant.

Sinon bien content qu'un buzzuki de plus suive mes conseils de lectures off-mainstream.

A quand un topic " les conseils de Tonton SJ" ? ;) :D

The Last Christmas: a l'occasion de l'annonce du nouveau titre Deadpool j'ai remarqué que les noms des auteurs ne m'étaient pas inconnus, et en effet Gerry Duggan et Brian Posehn sont les auteurs qui nous ont offert cette mini de 2006 dessinée par Rick Remender(!) et encrée par Hillary Barta. Et c'était bien dans l'esprit de savoir ce que les scénaristes pouvaient faire sur le mercenaire schizophrène de chez Marvel que j'ai ressorti de mes cartons The Last Christmas. Et sans détour je vous l'annonce ils sont fait pour ce perso, car pour revenir au fond de cette critique sachez que Last Christmas n'a rien mais vraiment rien de sérieux, ce qui est sacré n'existe que pour être ridiculisé, tout ce que l'on croit connaître sur le mythe de noël est détourné avec brio! Le pitch de l’histoire est sans surprise et n'est pas si utile à connaitre si on veut se lancer dans cette lecture, non sachez simplement que ce bon vieux Santa peut jurer quand il est bourré et qu'il s'attaque à des zombies mutants, c'est pas la classe ça? Un mini à faire lire à tout ceux qui croient encore au père noël, juste pour les conforter dans leur croyance, autant d'irrévérence c'est un vrai cadeau!


The Last Christmas
5 épisodes
Scénario: Gerry Duggan, Brian Posehn
Dessins: Rick Remender
Encrage: Hillary Barta

A l'époque, quand j'avais lu cela, j'ai trouvé cela très basique une fois le côté irrévérencieux vite dépassé.
(maintenant les singles dorment bien au fond de ma caisse Image et ne ressortiront que si je croise Remender :D)

Oui c'est basique, mais voilà on n'en demande pas plus, mais je me suis aussi rendu compte que c'était bourré de références ciné et autres, en tout cas pour Deadpool ce style fera mouche, mieux de Way et c'est pas difficile.

Moi aussi. Basique, décousu, rapidement handicapé par un humour pesant, des dialogues mal écrits et des clichés à la pelle, oublié une fois la dernière page tournée. Mais, qui sait, ça peut marcher quelque temps sur Deadpool.

Peter Panzerfaust: Le scénariste Kurtis J. Wiebe est définitivement un nostalgique, déjà sa mini The Intrepids avait des parfums de Silver Age avec énormément d'inspiration qui venait des premiers épisodes des X-Men ou de la Doom Patrol pour son côté équipe de bras cassés qui suivent un leader qu'il l'est aussi quelque part. Avec Peter Panzerfaust c'est les équipes de gamins si chers à Jack Kirby qui sont mis à l'honneur, en effet on y retrouve à la fois le concept des Boy Commandos pour le côté adolescents luttant contre les forces de l'Axe, mais aussi une autre influence qui donne son nom à la série et au personnage principal : Peter Pan ! C'est ce mélange de soldats à la sauce comics et du classique de J. M. Barrie qui donne toute sa force à cette série. Tout est là, Wendy Darling et ses deux frères John et Michael, la bande d'orphelins les Lost Boys, Neverland et un méchant qui se fait couper la main (et qu'on risque sûrement de revoir dans le futur un crochet à la place de son membre perdu).
L'action se situe au début de l'invasion de l'armée Nazi en France pendant la seconde guerre mondiale, les orphelins sont oubliés par un monde d'adulte qui se bat, et la zone de guerre que les enfants appellent Neverland ne cesse de croître. Arrive Peter Panzerfaust qui avec sa fougue et son courage va mener le groupe de garçons perdus vers de plus verts pâturages. Il ne faut pas croire que la transposition de l'univers de Peter Pan dans le contexte de la guerre fait de ce comics une lecture légère, loin de là ! Le calvaire de la fuite, l'abandon et le fait d'être livré à soi-même à un age précoce, les décisions que l'on prend malheureusement trop jeune, voilà les thèmes de Peter Panzerfaust. La mini en 5 a réussit son essai et devient une série régulière à partir de septembre, à voir comment tout pourra se tenir sur la longueur. A noter qu'une adaptation en dessin animé a été mise en chantier par la BBC, stay tuned !


Peter Panzerfaust
5 épisodes + ongoing à partir de septembre 2012
Scénario: Kurtis J Wiebe
Dessins: Tyler Jenkins
Encrage: Tyler Jenkins

Intéressant. J'me demandais un peu ce que ça pouvait donner.

Tu donnes sacrément envie en tout cas SJ ! Ca viens de passer en haut de ma liste d'achat.
Juste pour savoir, le niveau d'anglais est accessible ?

:D Marrant que tu poses la question, le tiers des dialogues du tp est en français dans le texte, et le reste en anglais tout ce qu'il a de conventionnel.

:p Bon ben c'est parfait. Merci en tout cas.

De rien.
Et bientôt dans ces critiques Prophet, Glory, Manhattan Project et Thief of thieves!

J'ai grand hâte de lire tes avis sur Prophet et Glory ;)

C.

En parlant de Prophet je viens d'aller voir sur Bookdepository et il est déjà indisponible 8(

Après avoir été convaincu par SJ à propos de Peter Panzerfaust je l'ai dévoré ce WE.
Si ni le scénario ni la partie graphique ne sont parfaites, ils ressort de la lecture une grande fraîcheur et une grande force qui ont happés mon attention de bout en bout.
SJ à déjà dis le principal donc je ne vais pas m'étaler mais j'attends la suite avec impatience.
En ongoing y'a vraiment moyen de faire quelques choses de très sympa et de bien développer tout ce qui a été posé au long de ces 5 premiers numéros.

SJ, tu arrive à me tenter avec tes deux Hickman (MP et Nightly News).
Je n'aime pas Hickman pourtant sur FF donc bravo.
Le WitchDoctor peut aussi m'intéresser et où est la critique de Pax Romana dont parle Wildcat ?

Si tu veux passer en single le numéro 6 sort mercredi.

Pax Romana j'en avais parlé je crois dans "que lisez-vous en ce moment', je suis en train de me régaler sur Manhattan Projects, Ben Wave en parle dans ce sujet.