Critiques VO août 2015
 

Les critiques des sorties VO du mois d'août 2015 sont à déposer ici, avis aux amateurs.

We stand on guard #2
 

WE STAND ON GUARD #2 (Brian K. VAUGHAN / Steve SKROCE)

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Mis à part la colorisation un peu pale de HOLLINGSWORTH cette série reste une valeur sure. Tout le monde se fait plaisir et l'association VAUGHAN/SKROCE tient toute ses promesses. Le premier est un narrateur hors pair et même si on a l'impression que le récit n'avance pas beaucoup on a l'agréable impression d'avoir lu quelque chose d'assez dense (et les dialogues restent au top). J'ai trouvé la prestation de Skroce encore meilleures si je devais comparer au #1. Ce trop rare artiste mérite que l'on prenne du temps à admirer ses planches. Et puis il aime dessiner des gros truc bien imposants.
Perso j'adhère complétement. Je l'ai déjà lu deux fois depuis hier après midi tellement je suis emballé. J'espère que les canadiens vont, à terme, mettre leur race aux ricains. Mais de coup de théâtre en personnage ambiguë ce n'est pas gagné.

PS : dans le billet de fin de BKV on comprend bien que c'est une mini en 6 :)

Et dire que j'ai failli faire la connerie de ne pas le prendre pour attendre le tp. :oups:

Future imperfect #4
 

FUTURE IMPERFECT #4 (Peter DAVID / Greg LAND / Jay LEISTEN)

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Avec ce déjà quatrième numéro (sur 5) de Future Imperfect on touche ce qui est dérangeant dans l'event Secret Wars : le peu (voire l'absence) d’interaction entre les tie in et la série mère. Il ne reste plus qu'un numéro à Peter DAVID pour conclure et force de constater qu'il aura beaucoup de mal à boucler son récit si il doit complètement le lier à SW. Car dans ce #4 (bien meilleur que le #3) il se passe beaucoup de chose, les alliances improbables débouchant sur une quête qui fait peu avancer le récit (si prévu en #5, et oui c'est une donnée que l'on doit prendre en compte) dans la direction d'un combat dantesque contre Doom God. Et ce n'est pas le cliffhanger (et donc la dernière page) qui vont arranger cette impression. Voilà je pense donc que l'on est en train de comprendre (et j'espère très fort m'être trompé) que Secret War c'est à 90% les 8 numéros de Secret Wars de Hickman et 10% d'elseworld bien sympathique mais au final pas essentiel pour comprendre et suivre la trame principale.

Mais je compte sur le talent de Peter David pour m'impressionner le mois prochain et complètement me contredire. En attendant j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce numéro (et Greg LAND reste correct, à part 2 ou 3 sourires ultrabrite)

C'est quand même une excellente lecture et mensuellement cela passe très bien. Il y clairement une alchimie entre les deux artistes qui se voit à chaque planches. Alors oui on peut dire que c'est loin d'être révolutionnaire mais il y a clairement le truc qui accroche à la lecture, et cela ça n'a pas de prix.

The infinity gauntlet #3
 

THE INFINITY GAUNTLET #3 (Dustin WEAVER et Gerry DUGGAN / Gerry DUGGAN)

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Ils ont oublié de mettre leur égo de côté ou alors ils ne sont pas au courant des moyens de communication moderne Dustin WEAVER et Gerry DUGGAN car après deux bons numéros qui se tenaient (surtout le #1) celui là est une catastrophe en terme de narration. Il y a énormément de choses, beaucoup de personnages (les GoG très bien introduits par exemple), un Thanos très très intéressant surtout dans son rapport avec les gemmes, ces dernières dont le pouvoirs est loin d'être minimisés et même exploités comme on peut le voir et le lire mais alors l'ensemble a du mal à fonctionner dans 20 pages au rythme pas bon du tout (trop vite, trop lent, trop développé ou pas assez).
En clair la lecture de ce #3 n'a pas été très agréable et cela malgré un scénario et des idées plus qu'intéressant et des dessins toujours aussi bons de Weaver. Mais que c'est mal exécuté. Vite que Duggan reprenne complètement le scénario à son compte quitte à froisser Weaver car là ce n'est pas possible.

Etrangement c'est quelque chose qui ne me dérange pas, bien au contraire

Cela me déçoit plus que cela ne me dérange. Du coup je trouve les tie in plus taillés pour des TP que pour des singles car les récits n'interagissent pas en même temps que SW.

Ce que j'avais toujours dit! ^^

The wicked + The divine #13 (Kieron Gillen & Tula Lotay)

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J'aime beaucoup ce que fait Kieron Gillen, parce que même s'il aime parfois un peu trop le mystère et les bons mots, on sent qu'il sait toujours où il va. Du coup c'est toujours un plaisir d'arriver à la fin d'un arc ou d'un run et de découvrir tous les indices qu'il a semé au fur et à mesure, les phrases qui prennent soudain un double sens etc. Mais j'avoue que ses titres ne m'émeuvent pas. Ce n'est pas qu'ils manquent de passages choc ou de morts inattendues (au contraire), mais bon, je viens plus pour l'intelligence du scénario ou l'érudition de l'auteur.

Sauf avec ce chapitre #13, où après la lecture j'étais juste une pauvre petite chose misérable qui avait envie qu'on le laisse déprimer dans son coin :(

Comme la couverture l'indique, il est centré sur Tara ("Fucking Tara"), la seule déesse qu'on n'avait pas encore vue jusqu'à présent, à part sur les affiches de ses concerts ou dans la bouche de personnages qui globalement ne pouvaient pas la blairer, la trouvaient méga-prétentieuse etc. Pour situer, on sentait un peu une inspiration "Lady Gaga sur la fin de la période où elle intéressait encore quelqu'un". Et dans ce chapitre, on a enfin son point de vue à elle sur la situation... Gillen aborde des thèmes d'actualité et d'autres beaucoup plus universels, sur la façon dont les femmes sont vues, sur celle dont on perçoit les gens qui préfèrent rester dans leur coin (s'ils ne se mêlent pas à nous, c'est forcément qu'ils nous méprisent, n'est-ce pas ?), sur la facilité qu'il y a à participer à un lynchage général surtout via les réseaux sociaux... Et Tula Lotay illumine tout ça avec l'expressivité et la classe absolue qu'on a pu découvrir dans Supreme: Blue Rose, son utilisation des textures et d'effets très numériques rendant admirablement bien certaines atmosphères. Le pire dans cette histoire étant qu'on n'est pas juste spectateur, mais qu'on réalise qu'on fait certainement partie du problème. Plusieurs petits détails semés ça et là dans les précédents chapitres prennent tout leur sens et amplifient encore la tragédie de la situation, car ils nous avaient mis dans un certain état d'esprit qu'on est forcé de remettre en question. Et c'est ça qui rend ce chapitre aussi bouleversant : on ne peut pas y rester juste extérieur, on se prend tout de plein fouet.

Parmi les sorties d'hier, Midnighter #3, Groot #3 et Ms. Marvel #17 ont été d'excellentes lectures comme d'habitude, mais WicDiv #13 a tout défoncé sur son passage. Je ne pense pas avoir été autant bouleversé cette année depuis Convergence: The Question.

Alors là pas d'accord. Meilleurs que le 2 pour moi. Ou alors avoir lu Ultimate End en premier à considérablement améliorer la réception de mes autres lecture secret wars :oups::D
Mes avis demain :nerd:;)

PS : Dans ton idée c'est Weaver qui gacherais duggan, mais ça pourrait être le contraire ^^ (Même si pour moi les 2 font le taf).

Je ne reste pas fan de la narration. L'histoire m'a plu par contre.

The amazing spider-man : Renew your vows #3
 

THE AMAZING SPIDER-MAN : RENEW YOUR VOWS #3 (Dan SLOTT / Andy KUBERT / Jon DELL, Andrew HENNESSEY, Mark MORALES)

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Joe Quesada, je te maudit, je te conchie, je te hais. Ce troisième numéro de AS Renew your vows est ..... parfait pour moi amateur de l'homme araignée d'un ancien temps. J'en avais presque les larmes aux yeux hier soir à voir Peter défendre sa famille mais aussi le citoyen lambda et innocent, à voir MJ expliquer à sa fille que le pouvoir donne des responsabilités, à voir un doc Ock prendre une paté mémorable (merci au passage à Dan SLOTT de suggérer et de ne pas montrer, c'est très bien fait), de voir les habitants de New York enfin partagés sur le monte en l'air avec un JJJ qui souffle sur les braises et des Sinister Six qui sont une menace crédible.

Oui ce numéro est épique et nous montre tout ce que l'on a raté d'intelligent dans l'évolution de Peter par un Joe Quesada peu inspiré avec son OMD qui pue du fion. Car ne vous y trompez pas, dans ce que j'ai lu hier Dan Slott montre que l'on peut fait grandir le personnage de Peter Parker, en faisant en sorte qu'il soit marié, père et responsable sans être le sempiternel adolescent au job précaire et à l’appartement miteux (quoi que un frigo avec un seul bout de fromage est un gag qui m'a toujours fait rire) et cela fonctionne (gag sans tacos à l'appuie). Franchement quel dommage que la maison des idée ne se serve pas de SW pour modifier le statut quo et renvoyer dans les limbes les paroles de Mephisto.

Graphiquement c'est trois encreurs pour Adam KUBERT, ma préférence allant à Mark MORALES. C'est très propre mais cela manque toujours autant du grain de folie qui animait l'artiste autrefois. Par contre il a du mal à rendre aérien Spider-Man dans son costume noir, c'est d'ailleurs surement le seul bémol de cet excellent épisode.

Ms. Marvel #17
 

MS. MARVEL #17 (G.WILLOW WILSON / Adrian ALPHONA)

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Last days part 2

Encore un bon numéro pour une série qui est une valeur sur de l'écurie Marvel. La rencontre entre Carol Danver et Kamala fonctionne très bien sous la plume de G.WILLOW WILSON qui sait donc écrire des personnages féminins sans tomber dans des délires féministes ou autre combat qui agitent vite les treads cinéma.

J'aime l'idée d'une mise en couleur contrastée entre les deux personnages (noir et gris pour Captain Marvel et costumes flashy pour Ms. Marvel). C'est également bien que G. Willow Wilson ait attendu pour faire rencontrer les deux héroïnes car le contexte de fin du monde se prête bien à cela et permet à la scénariste des dialogues qui tranchent avec l'ambiance fin du monde parfaitement dessinée par Adrian ALPHONA (encore une fois avec plein de détails si on observe attentivement ; j'ai bien aimé le cochon qui traverse la rue)et Ian HERRING à la colorisation (excellente c'est à souligner). Cela nous donne quelque chose de léger dans une atmosphère pesante et en plus on reste dans un pitch très terre à terre loin de la menace amenée par Hickman (même si on y fait référence).

Cluster #6
 

CLUSTER #6 (Ed BRISSON / Damian COUCEIRO)

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Ed BRISSON a t il changé ses plans en cours de route ? Avait il prévu de faire son histoire en 8 numéros seulement ? En tout cas on approche de la fin et même si Cluster reste agréable à lire on sent moins d'originalité qu'au début de la série, qui rentre dans le rang. C'est dommage car les personnages sont maintenant bien en place et il semble que Midlothian nous promettait encore de belles découvertes voire que Samara pouvait jouer un rôle encore plus grand. J'aurais également apprécié de lire plus d'aventures autour de cette prison et du procédé original pour tenir en laisse les prisonniers. Avec ce #6 j'ai lu une histoire de rebelles écolo contre le méchant industriel maqué avec le pouvoir, l'ensemble avec des personnages pas sympa du tout. Il manque le fun et les surprises.

100% marvel, 8 Lecture et une seule bouse

Marvel
Ms.Marvel #17
Last Days
Cat-man : Adrian Alphona
Ms Marvel : G. Wilow Wolson
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Pourquoi je l'ai pris ?
Non mais vous rigolez j'espère ? Cette série est parfaite.
Pitch :
Carole et venu prévenir Kamalla des incursions, et lui donne un choix, mais aussi se trouve embarquez à la rescousse d'Amir.
Avis :
Illustration : Merci Alphona j'adore. Certes coté colo c'est bizarre de voir Carole tout en grise, mais c'est parce que ce n'est pas son titre. Ici c'est kamalla qui brille et c'est très intelligent pour lui éviter une concurrente qui de plus avait ce nom d'héroïne et de titre. Et puis c'est chat c'est à en pleurer.
Scénario : Alors oui il se passe pas grand chose, et pourtant ici c'est le choix du héros. Le même choix que spidey. A grand pouvoir grande responsabilité mais autrement. Et aussi que parfois on ne peut sauver tout le monde mais qu'on peut sauver quelqu'un (Très Dr who ^^ )
Atmosphère : De fin du monde, de choix des chemins, et emmène tranquillement kamalla vers son futur statu d'avengers.
La conclusion par :
Kamalla - Now I feel weird & awesome

Secret Wars
Amazing Spider-Man #3
Kraven the Hunter : Adam Kubert
And the sinister six : John Dell, Andrew Hennessey & Mark Morales
Amazing spider Man : Dan Slott
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Pourquoi je l'ai pris ?
C'est mon spider-man :'(
Pitch :
Peter est un peu foutu, Regent a décider de le retrouver et y met les moyens via les sinisters Six. Pendans que la résistance se tate sur aider ou non le tisseur.
Avis :
Illustration : Magnifiquement dessiner, j'adore son black spidey, sympa l'idée de prendre se costume pour passer inapperçu, j'imagine que maintenant il va reprendre le rouge et bleu. Je préfère Regent sans son costume il parait bien plus impressionnant.
Scénario : Supercalifragilisticexpialidocious, je déteste officiellement Quesada aussi. Pourquoi mais pourquoi Marvel ne continue pas avec cette version de spidey après Secret wars, je comprends pas. Un scénar bien mener, intelligent, violent mais suggérer au lieu de glauque, qui fait honneur à l'intélligence de peter et ça fameuse poise :huhu:
La conclusion par :
Annie - I think you're my dad, and can do anything

Civil Wars #2
Iron Man : Leinil Francis Yu
Spider-man : Gerry Alanguilan
Steve Rogers : Charles Soules
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Pourquoi je l'ai pris ?
Parce que le 1 était bien agréable (Bien mieux que le civil war d'origine)
Pitch :
Stark tente de suivre l'assassin via un drone dans le territoire bleu, mais il se fait détruire. Rogers lui à un plan grâce au fauve pour retirer les pouvoirs au métha-humain mais il leur faut des ressource dans l'Iron. Alors chacun envoie leur "homme" de confiance en mission. Mais stark commence à se douter que certain événements ont été manipuler pour qu'ils en arrivent là.
Avis :
Illustration : Franchement j'adore le graphisme qui est parfait de bout en bout, un plaisir des yeux (Jennifer :luv: )
Scénario : Là aussi parfait, très intelligent, bien mener et c'était pas gagner avec deux quand et parfois avançant plus vite sur l'un ce qui nous fait revenir en arrière pour avancer avec l'autre.
La conclusion par :
Storm - I brought you a gift.

Future Imperfect #4
Skooter : Greg Land
The thing : Jay Leisten
Peter David : Maestro
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Pourquoi je l'ai pris ?
Parce que j'ai aimer le 1 et 2 et malgré une petite déception avec le 3, je veux y croire.
Pitch :
Une petite équipe digne d'un jeu de rôle tellement elle est pas croyable est en route pour trouver Ulik. Et comme tout bon perso de JDR il stoppe dans une auberge et l'un deux y fait des dégât (Devinez qui, Le bourrin du groupe ^^ ).
Avis :
Illustration : Land est un chouilat moins bon que sur le 1 amis un peu meilleur que le 2. Leisten y est peut-être pas si étranger.
Scénario : Bien amusant, belle rencontre Ulik/Maestro. J'adore Ross qui avoue qu'il s'est allier pour le voir faillir ^^. Et j'ai adorer le cliff de fin. Parce que je trouvais que justement le perso manquait. Et que je m'imaginais pas lui lorsque Ulik à parler du Old one (Pourtant si logique).
La conclusion par :
Maestro - You underestimate me

Infinity Gauntlet #3
Anwen : Gerry Duggan
Thief of the know galaxy : Dustin Weaver, Gerry Duggan
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Pourquoi je l'ai pris ?
Malgré la semi-déception du 2 je veux aller au bout
Pitch :
Thanos est revenu dans le temps. Et cet fois il va vers la futur famille nova affin de changer les événements et tenter de pervertir Anwen.
Avis :
Illustration :
Toujours autant de qualité ... J'aime beaucoup.
Scénario :
Bien meilleurs que le 2 qui fut un peu planplan avant le final. Certes ils reviennent sur ce qu'on a déjà vu mais en rapide et font des changements qui sont important pour le plan de Thanos. Un comics intelligent et de grande qualité. J'ai adoré.
La conclusion par :
Thanos - You may take it. I have nothing to fear

Siege #2
Grimm : Filipe Andrade
Nicholas Fury : Kieron Gillen
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Pourquoi je l'ai pris ?
Parce que le 1 bien que difficile à suivre m'avait bien plu
Pitch :
Retour avec Abigail avant le départ de Leah, et du souvenir de Magyk puis Fury. On voit aussi que Kang et Abigail c'est pas le grand amour contrairement à un Summers près à se sacrifier. On comprend alors que les événements ne sont pas chronologiquement donné mais qu'on a passé, présent et futur, ce qui permet de mieux appréhender le 1. graphiquement Andrade m'a tuer tellement c'est beau. :'( Belles idée que la horde de kitty :huhu:
Avis :
La conclusion par :
Grimm - It's tunnelin' time:D

Spider Island #2
Pourquoi je l'ai pris ?
Parce que le 1 était vraiment bon.
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You say you went evolution
Hulk : Paco Diaz
Agent Venom : Christophe Gage
Pitch :
Venom, spider woman et vision sont bloquer par Iron Man, Iron fist et des hordes au ordres ( ^^ ) de Spider Queen. Mais la balance des pouvoirs vient de changer avec des alliés qui aurait pu leur être fatale.
Avis :
Encore du bon j'ai adorer ce que gage fait à Iron Man (Tellement logique pour rendre sa pièce à Osborn ^^ ) Graphiquement j'aime ce que gage propose
Avengers at the gate
Avengers : Tom Defalco & Ron Frenz
Finishing art : Sal Buscema
Pitch :
Mayday est poursuivit par ses ex-amis mais réussit à rejoindre le QG des vengeurs en espérant qu'eux aussi ne soit pas manipuler.
Avis :
graphiquement respectueux du titre Spider-girl, et scénaristiquement bon bien qu'un peu lent. Malheureusement je connais pas assez MC2 pour connaitre la méchante mais bon je vais me renseigner (Merci comic vine). J'ai apprécier de voir une Katie power adulte (Ca change d'Alex et Julie)
La conclusion par :
Hulk - Hulk feel funny

Ultimate End #4
Pencil : Mark Bagley
Inker : Scott Hanna
Writer : Brian Michael Bendis
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Pourquoi je l'ai pris ?
Parce que j'ai précommander et malgré l'augementation du 5 veut aller au bout pour voir.
Pitch :
Ok tout commence logiquement, Héros Ulitmate et 616 allier pour aller chez Starks. Les Starks temporisant le temps de trouver une solution, le punisher prenant sa décision d'appuyer sur la gachette. Puis ça continue à peu prês logique Valeria présentant les travaux des starks et proposant deux option et doom faisant un choix étonnant (Ce lace-t-il de sa divinité ? Mais alors pourquoi ne pas s'allier à Strange ?). Et puis tout par en vrille retour à la double page du 1 (sauf qu'ici iron man est en rouge et jaune non en mode Superior) héros 616 et ultimate les uns contre les autres. Encore que les starks se disputent ok. Mais les héros venait les chercher à la base alors comment chacun à ralier son camp ? Et via valiéria miles et souligner comme important.
Avis :
Je me dit que c'est 4 premier numéros aurait du pu être quelque page du pitch du 1 puis aller sur 5 numéros de baston. Cela aurait été un peu mieux que ce qu'on a eut droit. Surtout que les dessins n'aide toujours pas à suivre qui est qui entre les deux stark. J'ai la désagréable impression que c'est de là que va provenir l'univers post secret wars, ce qui va rendre cette bouse essentiel ... Pourquoi mais pourquoi continuer à partir de bendis et pas de Amazing spidey renew your vows ? :'(
La conclusion par :
Stark 616 - He's going to kill us all
Stark Ultimate - I thought we were on the same page

Deadly class #15
 

DEADLY CLASS #15 (Rick REMENDER / Wes CRAIG)

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Qu'est ce qui a changé depuis le mois dernier ?
Lee Loughridge laisse sa place à Jordan BOYD aux couleurs et ce dernier se fond immédiatement dans le moule. Pas de perte au front. Sinon j'ai du passer une bonne demi heure à savourer ce quinzième caviar de la paire REMENDER/CRAIG.
J'ai appris que les drogues c'est mal (c'est Ronald Reagan en personne qui le dit), que les pauvres américains vont tomber de Charybde en Scylla puisque que Bush Sr arrive, mais ils ont l'air prêt vu la gueule des affiches. J'ai aussi croisé Gandhi et un clown rose (et un éléphant vert ou alors le contraire :huhu:). Marcus n'en finit plus de s'envoyer en l'air (avec une adepte de Robert Smith) et en 1988, Punch Out bastonnait sur la NES, on projetait Colors, un super film (mais près de 30 ans après la situation n'a pas beaucoup évolué aux USA entre les forces de l'ordre et le racisme) et Billy a un super poster des Clashs dans sa chambre.

Remender promet un #16 dantesque qui clôturera son premier grand arc. Je le crois sans problème.

Justice League 3001 #2
"A Thousand Years?!" :D
La série anxiolytique par excellence!
Et quelles belles F.A.Q.

Dark Corridor #1 : il y a quelque chose de pourri dans la ville de Red Circle, et tant mieux pour le lecteur. Il est accueilli dans un monde de crimes, avec son lot d'assassinats, de vols et de recèles. Ce titre entièrement réalisé par Rich Tommaso se situe entre les Parker de Darwyn Cooke et les Sin City de Frank Miller. Pas de personnage principal mis en avant, juste une suite d'événements crapuleux avec pour fil conducteur cette ville où tout est pourri, on sent bien que ce premier chapitre ne sert qu'à poser les bases et pourtant on ne se sent pas frustré de ne pas en savoir plus dès le départ, le rythme est comme celui d'un bon plan avant un gros casse. Les hits d'Image se distinguent par leur originalité et leur côté inimitable et Dark Corridor rempli ces règles et va vite devenir un titre phare de l'éditeur en ce second semestre 2015.

The Spire #2 : Il n'y a pas deux mondes comme ceux qui sortent de l'esprit de Si Spurrier et du crayon de Jeff Stokely. Tout comme sur Six Gun Gorilla il y a autant de magie de que pessimisme, les intrigues sont relativement simples mais elles sont relevées avec juste ce qu'il faut de fantaisie.
Le rythme single demande une grande implication du lecteur pour savoir garder en tête tous les détails qui forment la grande tapisserie mais les chapitres ne sont pas artificiels, c'est juste la pause d'un mois entre chaque qui est frustrant, et d'un autre côté on se félicite de savoir qu'on en a encore pour six mois.

J'ai longuement hésité à me le prendre mais j'avais trouvé le prix un peu élevé pour un single. Tu vas me dire vu le nombre de titre pas terrible que je lis à côté ma réflexion ne vaut pas tripette. Cela fera un beau TP assurément

We Stand on Guard #2 : la guerre c'est pas beau. Désolé pour ce cliché mais vu que le scénariste en utilise tant dans son récit qu'il fallait que cette critique reste dans le ton. La narration de BKV est impeccable comme souvent, ce n'est pas le problème, c'est juste la succession de situations qui sont vues et revues. Avec en point d'orgue de ce manque d'originalité le personnage central à travers lequel le lecteur découvre l'environnement et dont les autres personnages se méfient car il pourrait être une taupe. Et tout est là, dès le premier épisode, les doutes peuvent être fondés, mais non ils passent outre. Alors j'espère qu'à la fin de cette mini, après que le lecteur se soit attaché au personnage et qu'on aura enfin la révélation que c'est bel et bien un traite, qu'il y aura un autre twist parce que sinon on fonce dans le mur.
Mention spéciale pour cet épisode au coup du bandeau sur les yeux pour aller à la base secrète, ce n'est pas qu'ils n'ont pas confiance, c'est juste pour que la nouvelle en sache le moins sur l'itinéraire au cas où elle se ferait capturer, je ne savais pas si je devais en rire ou en pleurer.
C'est dommage mais dorénavant je serais un peu moins emballé à chaque épisode.

Comment que tu me casses ma hype après la lecture du #1 :(

J'espère me tromper mais pour l'instant tout est un peu trop téléphoné.

This Damned Band #1 : Sex, Drugs & Rock n' Roll. La maxime est connue, mais pour bien compléter l'équation il faudrait ajouter magie noire, et cela depuis que Robert Johnson a soit disant vendu son âme au diable, un des socles de l'histoire du Rock.
Paul Cornell a donc cette vision d'une époque où les riffs de guitares se jouaient sous l'effet de champignons hallucinogènes, où les groupies vivent en harem avec les femmes officielles et les caprices de backstage sont gargantuesques. Pour cela il a imaginé avec le dessinateur Tony Parker, MotherFather, un groupe qui rappelle tantôt les Beatles, Pink Floyd, les Yardbirds et les Who, qui aurait littéralement pactisé avec le malin.
Le groupe, les groupies, les roadies et le manager sont accompagnés lors de leur tournée au Japon par un documentaliste, c'est par son œil que le lecteur suit tout ce petit monde. Le personnage n'est pas nommé ce qui renforce le sentiment d'identification du lecteur et le tout donne un effet de rushs de reportage visionnés à brut.
Un bon départ pour cette série qui décidément a tout pour être au catalogue Vertigo, mais heureusement elle est chez Dark Horse et comme souvent chez cet éditeur les creator owned en single sont accompagnés de bonus sympathiques, ici une discographie du groupe.

Deadly Class #15 : la chute aux enfers continue. Le héros dépéri et le récit en devient autant électrique, elle est loin l'époque de l’innocence et des premiers meurtres entre amis, dorénavant la confiance est balayée par la paranoïa et ceux qui étaient intimes profitent de leur connaissance de l'ami pour l'écorcher vif. Ce n'est plus un retour de vague, c'est un véritable tsunami qui est en train de s'abattre sur Marcus, et le pire c'est qu'il est en majorité responsable.
Remender sort tout ce qui a de plus noir dans la psyché humaine et Craig s'éclate à représenter le monde de plus en plus létal pour le héros. Une déconstruction réalisée de manière magistrale.

Cluster #6 : plus d'illusions possible, la fin se profile belle et bien. Ceux qui suivent assidûment ce titre ont forcément été déçu d'apprendre que ça ne serait pas une ongoing, en dépit du fait que les débuts très prometteurs pouvaient laisser penser le contraire. Une fois une raison faite, on ne peut qu'applaudir les talents de storyteller de Ed Brisson pour nous amener de façon naturelle vers la conclusion. Ça va faire mal, très mal, les pièces sont disposées, les objectifs définis, il ne reste plus qu'à se laisser porter par le récit.

Pas mieux. Encore une grosse claque qui fait mal mais on en redemande. Les allusions à la pop culture sont impressionnantes et pas forcées. On ne peut pas mesurer la part autobiographique de Remender dans Marcus mais c'est clair que le scénariste a du en baver à un moment ou à un autre pour écrire aussi juste avec ses tripes. Le story telling est magistral.

Bien tu vois il m'a déçu ce numéro. Tout comme toi avec We Stand On Guard j'ai trouvé que Ed Brisson ne surprenait plus trop allant vers une fin assez banale quand on voit la situation de départ (passé les rebondissements qui ont précédé bien entendu). Je laisse le bénéfice du doute au scénariste, car cela reste très bien exécuté, mais on est dans le ventre mou dans ce dernier tiers.

Kaptara #4 : la recette marche toujours autant. Ce savant mélange d'humour et d'aventure, cette parfaite alchimie où les dialogues et les scènes sont dans le ton d'amuser le lecteur pendant que le tout révèle une intrigue solide qui sait avancer.
Cet épisode fait le point sur les intrigues en cours et nous offre un focus sur le personnage de Darton, prince et champion de jets à la sarbacane. Un personnage comme Zdarsky sait les animer, avec un fond de crétinisme qui forcément crée des situations ubuesques. Encore beaucoup de tranches de rigolades, de personnages aux attitudes et mœurs improbables, et si les Monty Python avaient fait un Flash Gordon?

Sur ma wish list, le TP sort en Octobre

Old Wounds #4 : à quoi bon lire de l'indé si c'est pour avoir du slip? Cela dit quand c'est mieux fait et plus ambitieux que certaines prods mainstream on s'en félicite. Conclusion de cette mini qui a su jouer avec les nerfs du lecteur, une enquête policière sur fond d'anciens super-héros, rien d'original ni de nouveau mais une maîtrise du récit qui en fait une très bonne lecture.
Il y a des défauts par-ci par-là, des planches pas très réussies, une tentation de tomber dans la facilité mais ce sont là des caractéristiques d'auteurs qui débutent, ils ont aussi l'envie de raconter une histoire avec leur fougue, et c'est ça qu'on retient. Un énorme plaisir tout du long de cette mini, les quatre chapitres étaient bien gérés, le cliff du #3 pouvait faire peur mais l'action du #4 le fait vite oublier. C'est carré, même si on connait la fin l'envie de le relire un jour est là, et une suite est en teaser à la fin du #4, donc oui joie.

Secret wars #5
 

SECRET WARS #5 (Jonathan HICKMAN / Esad RIBIC)

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C'est toujours aussi bien écrit mais la difficulté (ou la fuite) de Jonathan HICKMAN a retrouver le souffle épique du #1 commence à m'ennuyer. L'enterrement de Strange est clairement trop long et le scénariste, même si il écrit de bon dialogues à tendance à en rajouter, faisant inutilement trainer en longueur les face à face qu'il affectionne (à ce stade, on a quand même passé la moitié de l'évent) au détriment de l'action ou de véritables rebondissements.
Je retiens quand même le développement ultime du personnage de Molecule Man (qui fait clairement écho aux deux premiers Secret Wars et à la mythologie des Beyonders), la résolution de certaines intrigues des Avengers (Black Swan, les derniers numéros) et la mise en branle de la chasse aux intrus qui ont été éparpillés à travers tout le battleworld (mais bizarrement peu ou pas d'échos dans les tie in).
Par contre rien sur le destin de The Thing (ou alors c'est assez subliminale et je suis passé à côté).

Pas inintéressant, bien écrit, pas ronflant, ce SW #5 reste dans la moyenne haute des events proposés depuis plus d'une décennie mais la lassitude commence à guetter. Cela manque de Marvel-verse et d'épique.

Lundi pour moi.... :D

The Beauty #1 (Jeremy Raun, Jason Hurley, John Rauch)

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Dans l'univers de The Beauty, une MST rend ceux qui l'attrapent immédiatement plus beaux. Le seul effet gênant est une légère fièvre chronique... jusqu'à ce qu'on retrouve une "beauté" morte dans le métro, après qu'elle soit entrée en combustion spontanée de l'intérieur. Deux enquêteurs sont sur l'affaire, une beauté et un homme non-contaminé, mais il semblerait que tout le monde ne souhaite pas voir leur enquête aboutir...

Le principe de base de la série est excellent et peut donner lieu à des commentaires très intéressants sur notre société, suivant comment les auteurs vont développer leur thème. Mon seul regret est que, pour le moment, si on a vu les premières pages dans la preview, la lecture du numéro entier n'apporte pas grand-chose de plus. Elle nous montre principalement les débuts de l'enquête (et les premiers problèmes que rencontre le duo d'enquêteurs), pour s'achever sur un cliffhanger qui aurait pu mieux fonctionner :

A voir comment l'équipe exploite son sujet dans les prochains chapitres, donc.

Meme constat qu'Arrowsmith... après l'awsomeness des débuts l'on retrouve un truc plutôt ronronnant. Pas désagréable mais pas de quoi nous scotcher dans notre siège.

Avatar
Mercury Heat #2
Lucas Ansom : Omar Francis
Grapevine : Kieron Gillen
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Pourquoi je l'ai pris ?
Toujours sous l'impulsion du FCBD plus qu'à la lecture du 1.
Pitch :
Louiza continue son enquête et tente de remonter une piste bien complexe. Son suspect à eux un effacement des 5 dernières années, et le tuyau provient d'un ex qu'elle a préférer effacer. Quand à son partenaire, il la dégoute de plus en plus.
Avis :
Un très bon coté SF/Polar qui servirait parfaitement à une partie du JDR "Eclipse Phase". Bien sur étant un titre Avatar ça y va sur le gore ... Mais les boites de discution/Voix off avec Falality amène un coté ironique parce qu'on pense direct à Mortal Kombat. Ca parle sexualité numérique et relation intime qui peuvent être déliter mais sans montrer, ce qui est un bon point. Meilleurs que le 1, je reste en confiance et j'ai envie de suivre Louisa et découvrir qui lui en veut.
La conclusion par :
Ani - Well, welcome to Mercury.

DC
DC comics Bombshell #1
United for Victory
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Bombshell Enlisted
Woman in design : Marguerite Sauvage
Woman in commande : Marguerite Benett
Pourquoi je l'ai pris ?
Pourquoi pas, là couv. surffé sur les magnifiques variant de chez DC.
Pitch :
Batwoman, WonderWoman, et Kara ... Trois Femmes, trois passé différent et une destiner combattre Hitler.
Avis :
la preview m'avait fait peur et dieu merci ma lecture fut un peu meilleur que ce que j'ai crain. Ce n'est pas n'ont plus un réussite total. Déjà je déteste le coté encrage numérique et les dessins on un coté pas fini qui est dommage, surtout que la scène ou Kate et Maguy dorme à coté l'une de l'autre est magnifique. Coté scénar j'ai halluciner sur la première histoire avec l'inspecteur Sawers qui n'arrive même pas a deviner que la justicière local est sa copine font 1. L'histoire de wonder woman plus classic et un peu plus sympa. Mais c'est celle de Kara complètement différente qui aurait pu tirer sont épingle du jeu si elle n'avait été pas aussi bizarrement construite. On comprend pas grand chose avant la fin. Quand au Cliff final il me donne pas envie de revenir. Très bonne apparition du Waller au forme plus généreuse et raccourci que ce que le new52 et les série TV nous on habitué.
La conclusion par :
Kate Kane - What in the name of ...

Dark Horse
Adam.3 #1
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S.E.E.D.S.
Satellite ring : Scott Kolins
Pourquoi je l'ai pris ?
Après l'avoir vu dans les sollicitation et au vu des Preview
Pitch :
Adam vie sur une iles avec son fils Bae et sa femme enceinte Sky ... Il est constamment lier à des satellites qui suivent l'ile selon la rotation de la terre, et la faune peut parler et lui est amical. Mais Bae à un comportement différent que ce qu'Adam pouvait espérer. Et puis y'a l'ours Grae prise de violent saut de rage envers Mojo ... Et un étrange rêve promettant la destruction de son paradis et l'aliénation de ses amis annimaux.
Avis :
Graphiquement Kollins est agréable à suivre même si j'ai trouver étrange qu'il cache Beo aussi longtemps. Niveau natation la discussion du début et donc difficile à suivre. Qui parle à qui surtout qu'on ne connait aucun perso. Comme lorsque Beo s'énerve contre Sky, on se demande ce qui est advenu de sa mère. J'ai trouvé un peu facile les animaux qui parle et le rêve qui prévient du drame à venir. Pas trop convaincu.
Le format à l'italienne et original et on a chercher le prix avec mon dealer pendant pas ma de temps (En tout petit juste en dessous du premier A de Adam)
La conclusion par :
Beo - Why couldn't you just ...

King Tiger #1
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Milo : Doug Wheatley
King Tiger : Randly Stradley
Pourquoi je l'ai pris ?
Pas convaincu quand je les vu dans les sollicitation, c'est les preview qui m'ont fait changer d'avis.
Pitch :
De mystérieux individu engage des malfrats pour enlever une vingtaine de personne. Pendant ce temps Milo et Tiger font plus ample connaissance chez Rikki. Lorsque Tiger est prévenu qu'on a besoin de lui dans le désert il fonce inconscient d'aller dans un piège.
Avis :
Vraiment bien mener ... Certes j'ai regretter que le héros avait un lourd passif qui m'est inconnu (J'ai vu plusieurs truc chez l'éditeur mais qui me tente pas, surtout celui créditer comme étant la rencontre entre Milo et Tiger). Heureusement y'a pas besoin de ça. Y'a un coté Archer/Armstrong en Milo et un petit coté Looser de Hawkeye pas désagréable. Rikki permet de donner un encrage à Tiger et un train de vie qu'on peu lui envier. Quand à la partit sur les ennemis (Qui me sont là aussi inconnue, mais peut être pas pour ceux ayant croiser le héros) c'est noir mais j'ai aimer. La fin est explosive :D
J'ai pensé fortement au Outsiders contre Sabak, mais c'est un peu différent. Je veux la suite.:bave:
Le graphisme à quelque chose de crue qui me plait beaucoup, même si je pense l'artiste gagnera avec l'expérience.
La conclusion par :
King Tiger - It might get weirder than that.

Marvel
A-force #3
Secret Wars
Sentinel : Jorge Molina
Thors : Jorge Molina & Craig Yeung
A-Force : Marguerite Bennett & G.Willow Wilson
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Pourquoi je l'ai pris ?
Parce que j'ai aimer les 2 premiers et j'ai hâte de lire la suite.
Pitch :
She-hulk fait donc un voyage de là où venez la sentinelle. Prise à partit par trois d'entre elle, voilà que la Baronnesse se voit aussi attaquer par des Thors. En repartant vers Arcadia et se rend compte que les sort viennent de là et donc qu'Arcadia habite un traitre.
Avis :
Plutôt pas mal ... Après j'ai du mal que She Hulk soit de suite prise à partit pour avoir transgresser le fait de passer dans un autre secteur de Battleworld et Par old man Logan semblerait ... :ouf:
J'avais mon idée sur la traitresse et bien perdu. J'aime l'idée de storm mais là trouve bête (Enfin encore plus les Thors qui ne servent pas de leur marteau à plusieurs pour évacuer le problème). J'ai aimer le mini combat Gamora/She Hulk et espère en voir plus. Singularité joue les Deu ex machina bien que ça va avec le nom. Je veux lire la suite pour voir qui est le/la traitre. Coté dessin c'est de qualité, pas parfait partout, mais fait honnêtement le travail.
La conclusion par :
Nico - One more time ?

Mrs Deadpool and the Howling Commandos #3
Secret Wars
Dracula : Salva Espin
Deadpool : Gerry Duggan
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Pourquoi je l'ai pris ?
Parce que les 2 premier était bien.
Pitch :
Shiklah est le Howling commando arrive en Weirdworl ou serait cacher la seconde partit du bâton qui pourrait vaincre (Possiblement mais on ne sait trop comment) Dracula.
Avis :
Vous attendiez à voir les Thors ? Moi aussi et ils sont étrangement absent. Après le numéro est assez fun ... Dans le bon sens pendant un bonne partit, puis le jeu de cache cache entre dracula devient lassante bien que la chute m'a fait rire ^^
Mais le final ... Aucun impact, aucun intérêt. Ne connaissant pas le perso qu'à entre les main draculà j'ai trouvé ça très bof. Pourquoi se pétage de plomb ???
J'espère que les 2 autres remontera cet fin passage à vide. Dommage parce qu'il y avait du très bon.
La conclusion par :
Frankenstein - Frankenstein hear you !

Secret Wars #5
Molecule Man : Esad Ribic
Doom : Jonathan Hickman
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Pourquoi je l'ai pris ?
Bien les 2 dernier était meilleurs et puis maintenant j'ai envie d'aller au bout, quoi.
Pitch :
Doom enterre un ami en mentant à sa famille sur comment il est mort. Il va alors trouver Molecule man pour avoir une discussion, pendant que Valeria recherche les fuyard qu'elle pense responsable.
Avis :
Ok c'est beau ... Mais c'est chiant/lent. Les cases ne sont pas vide mais le devienne de par le scénario ou les choix de couleur lors du face à face Doom/Molecule Man.
C'est clairement un numéro de transition ou les fuyard manque cruellement à l'appel. Seul quelque un apparaissent et j'ai trouver pas ça vraiment aussi impressionnant que ce que Hickman souhaité surement. Là le soufflet retombe bien plus que sur Infinity je trouve (Qui heureusement avait deux camps à suivre), j'espère que la suite et fin sera à la hauteur car jusqu'ici on avait le meilleur évent Marvel et que s'il le bâcle il restera dans les mémoires comme le pire (Fantastic Four Movie effect)
La conclusion par :
Bentley - Oh come on !

Rien ne sera jamais pire que Fear Itself ;)