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Plexiglot 26/05/2015 21h33

Pour une fois je m'éclate plus sur les ties-in que sur la série principale. Pourtant j'étais très magnanime avec celle ci sur les 2 premiers épisodes, mais ensuite ça s'est dégonflé comme une baudruche. Dommage mais en effet, c'était ce que beaucoup avaient prédit.

Fletcher Arrowsmith 26/05/2015 21h58

Saga #28
 
SAGA #28 (Brian K. VAUGHAN / Fiona STAPLES)

Un numéro que j'ai eu du mal à finir. C'est la première fois que je ressent cela à la lecture de cette série. Comme une impression de tourner en rond. Moins de dialogues percutants, des situation qui ont tendance à stagner (Marko dans le vaisseau), la quête pour le remède de The Will. Pourtant ce 28eme chapitre renferme deux scènes fortes : la proche séparation de Alana et Hazel et le sacrifice annoncé d'un personnage auquel on avait finit par s'attacher même si il n'était pas très sympathique. D'ailleurs la perte de ce dernier à l'air d'être compensée par l'arrivée d'un autre (on reste par contre en famille, thème de prédilection de Vaughan avec une légère variation sur le lien de parenté).

La série reste quand même d'un excellent niveau malgré ce léger coup de mou.

Magda 26/05/2015 22h06

Convergence: Wonder Woman #2 Le premier numéro était bazoom, le second était tout aussi, mais différent dans ses qualités, notamment en ce qui concerne l'histoire. Le premier numéro était fascinant, le récit est différent du premier bien que dans la même continuité si je peux dire cela ainsi, Convergence : Wonder Woman #2 est une bonne lecture, nous n'avons plus la surprise du premier numéro j'en conviens, mais c'était bien, la lutte entre Wonder Woman et les Red Rain. J'aime beaucoup la manière dont le scénariste aborde la ville, c'est assez étonnant, les cultes de la Ville sont particuliers comme nous le savons et j'aime toujours cette approche, l’étude des sectes, du mystique et se demander ou cela va nous mener et ici je dois dire que je fus surprise car ce n'était pas comme ce que l'on connaissait. La présence de Wonder Woman, du Joker, de Ivy et des autres, j'aime bien. Les récits de vampire à la sauce DC/Vertigo je suis toujours cliente en ce qui me concerne. Bon après j'avoue qu'il y a des facilités dans le script de Larry Hama... et puis un récit qui met en avant une femme... bon pour un titre Wonder Woman c'est normal c'est sur, mais bon elle sauve un homme et moi cela me fait toujours sourire. C'est un peu abrupte par moment et clairement différent de la première partie du récit, mais justement c'est surprenant et moi je trouve cela bazoom bazoom :) c'est violent, c'est glauque et intéressant. Les dessins sont excellents, l'action est fluide, il y a de l'énergie, c'est vraiment beau et les couleurs donnent au tout le cachet nécessaire pour donner à ce récit la force qu'il faut, bref c'est bien, bien et bien.

Fletcher Arrowsmith 26/05/2015 22h07

Birthright #7
 
BIRTHRIGHT #7 (Joshua WILLIAMSON / Andrei BRESSAN)

Comme dirait SJ la quête vers le boss de fin de niveau suit son cours. C'est grosso modo ce qu'il faut retenir de Birthright #7. Attention quand même le player two donne des signe de fatigue (prévisible) et les options féminines sont débloquées (la mère, la Hawk girl et la jolie marchande). L'apport Fantasy dans le monde réel fonctionne toujours autant et la montée en puissance de nouveaux personnages est la bienvenue. Attention quand même à ne pas oublier les autres personnages (les agents spéciaux, le père) et j'espère que Joshua WILLIAMSON a en encore sous le coude et nous réserve quelques surprises sinon le road movie risque de vite tourner en rond. Graphiquement je suis toujours aussi client de Andrei BRESSAN.

Magda 26/05/2015 22h38

Convergence: Hawkman #2 fut une excellente lecture, le numéro 1 était déjà très bon, le second numéro l'est tout autant. La majeure partie du numéro est classique dans son déroulement, mais efficace, c'est du comic-book de super-héros et moi c'est ce que je recherche clairement quand je lis un récit de ce type, j'aime les comics sérieux, mais j'aime aussi les récits simples, mais bien écrit et ici c'est le cas. Les personnages principaux sont très bons et surtout on reconnait les personnages en question, ils sont bien écrits et évoluent rapidement dans le récit, moi cela me fait vraiment plaisir car ça faisait longtemps que nous n'avions pas eu des versions aussi bien écrites. Le scénariste les caractérise parfaitement et c'est presque en quelque sorte une bonne porte d'introduction pour les nouveaux lecteurs qui veulent en découvrir plus les concernant, moi en tout cas j'en suis bien contente et je dois dire que toute la lecture était de la danse du popotin en barre et rien que pour cela c'est vraiment plaisant. Les combats sont surprenants et surtout j'aime bien tous les petits détails qui mènent à la conclusion du récit, en quelque sorte je dois dire qu'on pouvait s'y attendre et moi je ne vais pas me plaindre, car comme je le dis, c'est classique, mais bien fait donc c'est cool. Le comic-book est bien écrit, c'est classique, mais pas prise de tête. Le scénariste arrive à nous amuser à plusieurs reprises et je dois dire que c'est vraiment un comic-book qui montre ce qu'est un comic-book de super-héros. On a aussi beaucoup de nostalgique et de tristesse à la lecture de ce récit, en effet vu que le scénariste exploite une certaine période, cela nous touche en quelque sorte en tant que lecteur(trice)s de ce récit, d'ailleurs en ce qui me concerne je pense que c'est l'un des titres qui correspond le plus à ce que Convergence devrait être depuis le début. La conclusion qu'apporte monsieur Parker à ce récit est du top bazoom de qualité et sincèrement il n'en faut pas plus pour me donner le sourire.
C'est l'un des plus beau comics de la période Convergence également, j'adore les détails que le dessinateur donne aux personnages, que ce soit sur les plumes ou même sur les expressions sur le visage.
Truman et Alcatena font un excellent travail et proposent d'excellentes planches qui donnent vraiment la force qu'il faut à ce récit. Shayera est magnifique je dois dire, sincèrement ls ont des physiques de dieux, moi en tout cas j'ai eu le sourire tout le long de cette lecture. C'est vraiment dynamique et j'ai l'impression de retouver les personnages que j'aime avec les deux numéros de Hawkman. Ce n'est pas le meilleur tie-in de Convergence, mais il est dans la liste et je ne peux que dire une chose" vous devez le lire". C'est de la qualité de bout-en-bout.

Magda 26/05/2015 23h20

Convergence: Suicide Squad #2 Le premier numéro était excellent, le second l'est tout autant. Le casting est parfait encore une fois et on a vraiment l'impression de lire le groupe de l'époque et rien que pour ça on bouge nos fesses dans tous les sens, on lève les bras en l'air et on hurle de plaisir. Après il y a peut être un peu trop de personnages pour le coup et donc ils n'ont pas beaucoup de place pour vivre dans le numéro, contrairement au premier numéro. Il y a autant les personnages des anciennes incarnations que des incarnations récentes et c'est ce qui fait le charme de Convergence et de son utilisation, c'est pour cela aussi que j'attendais le récit, je voulais voir des rencontres improbables et j'en ai pour mon plus grand plaisir. Après on sent que le scénariste fait un focus sur quelques personnages, mais bon cela arrive de plus en plus dans les titres qui mettent en avant une équipe donc on a l'habitude. Monsieur Tieri fonctionne bien avec ce titre, je ne reconnais pas l'artiste et cela fait plaisir. Il y a des grands moments dans le récit en ce qui me concerne, c'est épique, c'est par moment assez violent et on a des surprises. L'intrigue avance rapidement et même si ce n'est pas aussi intense et surprenant que le premier numéro, on en a pour notre argent. En lisant ce titre j'ai envie d'avoir une équipe avec la même composition pour l'après Convergence, ce ne sera pas le cas je le sais, mais j'ai vraiment envie cette équipe dans d'autres numéros car elle est excellente. Le final du récit est très bon aussi je dois dire, mais la aussi classique comme d'autres titres de Convergence. Les dessins sont tout aussi bons que pour le premier numéro et même plus, chaque planche est vraiment bien écrite, sérieusement c'est du tout bon, c'est dynamique, le découpage est astucieux et je dois dire qu'il ne m'en faut pas plus, les personnages sont très biens et des scènes d'action comme celles-ci j'en veux bien plus souvent. La fin fonctionne bien, et il faut dire que dans l'ensemble c'est plus que bien et c'est un excellent titre, un des meilleurs de Convergence également. Bref vous devez lire ce titre.

Magda 27/05/2015 03h19

Miami Vice Remix #2 & #3 sont dans la continuité du précédent numéro, c'est toujours aussi fun, bizarre et particulier comme série. C'est une série pleine d'énergie, à la fois old-school et en même temps très new age, c'est assez bizarre et je ne sais pas si je suis la seule à avoir cette sensation la lecture du titre. On a l'impression de découvrir la ville de Miami via ce titre, bn en ce qui me concerne je ne connais pas la ville, elle ne m'attire pas une seconde, mais bon je connais quand même quelque petite chose la concernant et ce titre donne un hommage à la ville et ses habitants de manière assez originale, très original d'ailleurs, le résultat est efficace et clairement déstabilisant en soit. Les deux héros du récit continuent donc de progresser dans cette ville et de faire ce qu'ils font de mieux, c'est à dire leur taf. Joe Casey rend peut-être le tout un peu trop pulp ce qui ne correspond pas toujours à la série de mes souvenirs, mais bon c'est assez bien écrit et original pour justement nous captiver, les deux numéros sont très bons car ils sont surprenant, on ne sait jamais ce qui va arriver et pourtant c'est classique en soit, c'est juste la forme qui est particulière ou la manière dont cela nous est raconter. Le scénariste exploite bien certaines particularités de la ville, notamment son influence de la culture magique et c'est ce qui déstabilise en soit car c'est presque irréel, bon après c'est peut-être une sur-interprétation de ma part, mais j'ai eu cette sensation à la lecture et d'ailleurs par moment j'avais l'impression de voir la ville de Predator 2. Le scénariste a très bien adapté son univers à celui des comics, la fusion est parfaite et étrange. Le troisième numéro se démarque des deux précédents qui permettaient de poser une certaine ambiance, on sent qu'il y a beaucoup plus dans le troisième numéro et la série s'écarte en plus de son modèle d'origine et surtout des deux précédents numéros. Le personnage de Sonny est particulièrement bien exploité dans le récit et je dois dire que le travail fait sur le personnage dénote avec l'ambiance, c'est plus sérieux bien que les situations soient étranges. La narration est efficace et le titre avance rapidement, l'intrigue est bonne et je dois dire que même si on arrive pas à dire ce qui nous dérange, cela fonctionne bien même si par moment on se demande pourquoi il y a telle approche, tels éléments, c'est bizarre, voir anachronique, mais bon cela ne choque pas réellement, enfin si cela choque par exemple car c'est quand même un univers réaliste et en même temps on se dit que vu la folie du titre, le scénariste peut se permettre un peu tout. Bref c'est tellement généreux, tellement fou qu'on a pas envie de critiquer même quand c'est justifier.
L'approche graphique est toujours aussi particulière, j'aime toujours autant même si par moment c'est trop coloré, trop puissant en soit, limite acidulé, mais bon c'est le titre qui est comme cela depuis le début donc on s'adapte.
C'est à essayer.


Magda 27/05/2015 04h01

Swords of Sorrow #1 Grosse attente de ma part depuis son annonce au vu de l'équipe en charge et notamment la présence de plusieurs artistes que j'apprécie et notamment Gail Simone pour ce premier numéro de ce récit ma foi étrange, mais fonctionnant bien. Je ne suis pourtant pas la première fan des personnages du récit, mais la scénariste arrive à les rendre intéressants et donc on aime ce que l'on voit et ce que l'on lit. Swords of Sorrow est une lecture rapide et il n'y a pas besoin d'en savoir énormément sur le personnages et l'univers pour faire une danse du popotin durant la lecture vu que c'est parfaitement bien écrit, le récit est très intéressant et très différents des derniers écrits de la scénariste, elle se renouvelle en quelque sorte et c'est assez particulier au vu du titre, moi j'aime bien en tout cas ce que je lis. Après j'avoue qu'il faut adhérer aux personnages et à l'univers pour être intéresser par le numéro 2 j'en conviens, mais bon c'est assez particulier pour nous intéresser. Bon j'avoue après que n'étant pas spécialiste des personnages, il en faut peut être un peu plus pour être pleinement captivé par le récit et tilter à certaines allusions, mais avoir moi cela fonctionne comme je l'ai dit, donc ça doit fonctionner avec d'autres je pense. Pour le moment le titre est assez mystérieux, mais bon un titre qui regroupe des personnages comme Vampirella, Dejah Oris, Red Sonja, Kato, Blood et j'en passe, je ne ais pas c'est assez étrange pour qu'on en désire plus, en tout cas il y a déjà une certaine cohésion dans le récit et l'intrigue principale est pour le moment assez étrange pour nous captiver, notamment sur l'épée en question et son messager. Il va y avoir une guerre et on se demande encore pourquoi en soit et même si je me doute que les réponses ne sont pas dans un autre titre, mais bien dans celui-ci, c'est assez frustrant de ne pas savoir, bon c'est une bonne frustration après.
Sergio Davila propose des personnages qui ne sont pas différents des archétypes physiquement qu'elles véhiculent depuis leur création, en gros des femmes avec des gros seins, mais je pense que vous l'aviez compris et pourtant c'est moins vulgaire qu'à l’accoutume, il soigne ses personnages, leurs poses, c'est dynamique, gracieux par moment et vivants. On a pas l'impression de voir des morceaux de plastique se déplaçant et se tapant dessus, bien au contraire. Il arrive à montrer qui est qui avec ses dessins sans devoir se référer au scénario en faite et c'est une des forces de ses planches et de sa manière de représenter les personnages.
C'est un titre amusant, bien écrit et même si c'est très mystérieux pour le moment, la scénariste distille assez d’éléments pour vouloir envie de continuer la lecture, bref c'est une agréable surprise que vous devez lire je pense, surtout si vous aimez les rencontres improbables.

Fletcher Arrowsmith 27/05/2015 11h03

Letter 44 #16
 
LETTER 44 #16 (Charles SOULE / Alberto Jimenez ALBUQUERQUE)

En voilà une série que je retrouve avec plaisir tous les mois. Peu de baisse de régime depuis le début (sauf sur les deux stand alone séparant les arcs, un niveau en dessous).
La troisième guerre mondiale bat son plein et les alliances entre pays suivent leurs cours. On retrouve dans ce numéro deux visions opposées du pouvoir et de le mener avec les présidents américains. Celui en exercice a cru bon de dire la vérité au monde entier à propos des extraterrestres et il doit désormais faire face aux conséquences de sa politique vertueuse. Il devient désormais une cible et ne peut même plus compter sur son entourage proche ... sauf la first lady qui nous gratifie d'une scène qui fait froid dans le dos. De l'autre coté il y a l'ancien président, ambitieux, prêt à tout pour reconquérir le pouvoir, accumuler des richesses et se présenter comme le sauveur du monde. Oui prêt à tout même à trahir son pays au nom d'un patriotisme dépassé.
Comme toujours Charles SOULE n'oublie pas de bien respecter l'équilibre entre l'action sur Terre et dans l'espace. Et pour nos exilés l'ambiance n'est pas au beau fixe vu qu'ils assistent impuissant au conflit mondial. Les mystères continuent également avec la présence d'un bébé qui parle, d'un membre de l'équipage isolé au vu de ces nouvelles capacités et d'un autre qui s'envoie en l'air avec ce qui semble être le double d'une de ces coéquipières.

Bien malin qui peut prédire où tout cela va nous mener. En tout cas cette série reste très solide et je ne peux que la recommander tant elle fait partie de mon top dans les série indés.

Fletcher Arrowsmith 27/05/2015 11h25

Imperium #4
 
IMPERIUM #4 (Joshua DYSART / Doug BRAITHWAITE)

Numéro énorme où Joshua DYSART nous présente le personnage de Broken Angel qui semble amené à avoir une importance capitale pour la suite de l'aventure. Ces origines sont intrigante et nous projette un peu plus dans l’atmosphère d’anticipation si particulière de cette Imperium. En tout cas elle se présente comme l'adversaire qui peut faire tomber Harada de son piédestal.
Énorme ambiance de suspicion également avec le retour de Gravedog au PRS. On ne sait toujours pas sur quel pied danser avec se personnage qui se révèle être lui aussi fascinant d’ambiguïté.
A la fin de ce numéro on se rend compte de l'excellent niveau narratif de cette série et de comment le scénariste a mis en place ses pièces comme sur un jeu d'échec. C'est à une introduction brillante à laquelle nous avons été conviés dans ce premier arc où l'aspect stratégique et politique ont été mis en avant. La suite promet car Harada et ses troupes vont passer à l'offensive.

EsseJi 27/05/2015 11h36

Mon dealer l'a eu en retard je ne l'aurai que cette semaine mais comment j'ai trop hâte de le lire, chaque mois c'est un régal de storytelling, l'épisode sur Major Mech (pardon Sunlight on Snow) était un petit bijou. Dysart aime ses personnages et sait le faire partager.

Fletcher Arrowsmith 27/05/2015 11h42

Oui le #3 est très bon et Dysart a une écriture ambitieuse. Sa vision d'une IA comme Major Tech est plus intéressante que celle, bien écrite mais sans réelle surprise, de Jeff Lemire sur Descender par exemple. Et tu liras dans le #4 que le scénariste a la même approche avec Broken Angel mais également Gravedog. Cela fait longtemps que je n'avais pas lu des personnages si bien écrit et sortant des sentiers battus. Surement la meilleure série du Valiant Next (mais Bloodshot Reborn a l'air de bien se défendre également, d'ailleurs tu en penses quoi ?).

Fletcher Arrowsmith 27/05/2015 11h47

Secret identities #4
 
SECRET IDENTITIES #4 (Jay FAERBER et Brian JOINES / Ilias KYRIASIS)

C'est le premier numéro où on ne voit pas tous les membres de Front Line. Et c'est tant mieux car cela permet à Jay FAERBER de varier son écriture et de faire un focus sur certains personnages afin de leur donner un peu plus de profondeur.

Les héros du jour sont donc Vesuvius (dont on va découvrir une partie de ses origines et de son passé) et Punchline. Le récit est assez classique mais très bien écrit et dialogué et présente exactement ce que j'attends d'une histoire de super slip avec de l'émotion, des relations entre partenaires, des nouveaux personnages (Cinzia et Rey De La Luz), des rebondissements, de l'action et une évolutions des personnages.
Les scénaristes n'oublient pas de faire avancer la trame principale avec l'écriture de deux subplot dont l'un (Gaijin et Crossswind) devrait être développé dans le prochain numéro tandis que le second annonce une menace d'ampleur cosmique (enjoy). Le petit plus est la page sur Rundown qui en peu de mot et de cases en dit long sur ce héros à la vie privé pas très honnête et sa façon de la mener. C'est simple mais diablement efficace.

Bon point également à mettre au crédit de Ilias KYRIASIS qui, contrairement aux numéros précédents, s'est assagi sur ses compositions de pages. C'est du coup très lisibles et colorés et là encore on nage en plein dans les codes graphique du super slip et cela fonctionne très bien.

EsseJi 27/05/2015 12h00

Citation:

Envoyé par arrowsmith (Message 1582564)
(mais Bloodshot Reborn a l'air de bien se défendre également, d'ailleurs tu en penses quoi ?).

Je n'ai lu que le #1 et le FCBD mais pour l'instant c'est le meilleur départ pour Bloodshot depuis le retour de Valiant, autant pour l'angle pris par Lemire que pour la superbe prestation de Suayan (sans parler de l'incursion de Lemire au dessin avec Bloodsquirt qui est une très bonne idée et un personnage qui rempli bien son rôle de contre-balance au héros).

Slobo 27/05/2015 14h22

Citation:

Envoyé par Magda (Message 1582518)
Swords of Sorrow #1 Grosse attente de ma part depuis son annonce au vu de l'équipe en charge et notamment la présence de plusieurs artistes que j'apprécie et notamment Gail Simone pour ce premier numéro de ce récit ma foi étrange, mais fonctionnant bien. Je ne suis pourtant pas la première fan des personnages du récit, mais la scénariste arrive à les rendre intéressants et donc on aime ce que l'on voit et ce que l'on lit. Swords of Sorrow est une lecture rapide et il n'y a pas besoin d'en savoir énormément sur le personnages et l'univers pour faire une danse du popotin durant la lecture vu que c'est parfaitement bien écrit, le récit est très intéressant et très différents des derniers écrits de la scénariste, elle se renouvelle en quelque sorte et c'est assez particulier au vu du titre, moi j'aime bien en tout cas ce que je lis. Après j'avoue qu'il faut adhérer aux personnages et à l'univers pour être intéresser par le numéro 2 j'en conviens, mais bon c'est assez particulier pour nous intéresser. Bon j'avoue après que n'étant pas spécialiste des personnages, il en faut peut être un peu plus pour être pleinement captivé par le récit et tilter à certaines allusions, mais avoir moi cela fonctionne comme je l'ai dit, donc ça doit fonctionner avec d'autres je pense. Pour le moment le titre est assez mystérieux, mais bon un titre qui regroupe des personnages comme Vampirella, Dejah Oris, Red Sonja, Kato, Blood et j'en passe, je ne ais pas c'est assez étrange pour qu'on en désire plus, en tout cas il y a déjà une certaine cohésion dans le récit et l'intrigue principale est pour le moment assez étrange pour nous captiver, notamment sur l'épée en question et son messager. Il va y avoir une guerre et on se demande encore pourquoi en soit et même si je me doute que les réponses ne sont pas dans un autre titre, mais bien dans celui-ci, c'est assez frustrant de ne pas savoir, bon c'est une bonne frustration après.
Sergio Davila propose des personnages qui ne sont pas différents des archétypes physiquement qu'elles véhiculent depuis leur création, en gros des femmes avec des gros seins, mais je pense que vous l'aviez compris et pourtant c'est moins vulgaire qu'à l’accoutume, il soigne ses personnages, leurs poses, c'est dynamique, gracieux par moment et vivants. On a pas l'impression de voir des morceaux de plastique se déplaçant et se tapant dessus, bien au contraire. Il arrive à montrer qui est qui avec ses dessins sans devoir se référer au scénario en faite et c'est une des forces de ses planches et de sa manière de représenter les personnages.
C'est un titre amusant, bien écrit et même si c'est très mystérieux pour le moment, la scénariste distille assez d’éléments pour vouloir envie de continuer la lecture, bref c'est une agréable surprise que vous devez lire je pense, surtout si vous aimez les rencontres improbables.

Tu vas faire les tie-in aussi (J'ai été attirer par les couvertures, mais on m'a fait remarquer que se serait un autre dessinateur à l'intérieur) malgré mon péché mignon pour les décoleté j'ai donc renoncer. Tes avis me feront peut être changer d'avis.


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