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Vieux 29/11/2010, 20h41
Avatar de Jorus C'Baoth
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Jorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec Dracula
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Hellblazer #238 - 242 parus dans le TPB The laughing magician par Andy Diggle & Leonardo Manco, Daniel Zezelj



Plot marrant : Un chasseur de magus africain remonte la piste de Constantine et du légendaire Magicien Rieur (c'est quoi en VF?). Morts, magie noire et un John qui se sent manipulé...

Suite du run de Diggle après un premier opus plutôt bon dans l’ensemble. Cette fois ci les choses s’accélèrent quelque peu mais... pas tout de suite. Effectivement on commence par un one shot qui sent bon le « je permets de faire une pause au dessinateur pour pas être à la bourre ». Parfois ça coince un peu mais ici ça passe plutôt bien. Certes ce one shot fait un peu OVNI entre 2 arcs qui se tiennent mais dans la mesure où il est plutôt bien fait, on pardonne. Petite histoire de pouvoir des légendes urbaines qui deviennent un peu trop réelles, c’est bien construit, ça semble se tenir et même si tout est au minimum syndical (personnages, décors, plot,…) on salue de temps en temps une petite histoire bien cool, du genre de celle qui donne du cachet et du background à John. Galérer à combattre Satan et autre entité démoniaque à longueur de temps serait un peu lourd alors, une fois en passant une chtite histoire facile tranquille émile, on prends.

Le vif du sujet cette fois ci, on est vraiment parti pour le gros morceau du run de Diggle, The Laughing Magician. Histoire d’entité constante qui a existé et existera toujours, un magicien qui apporte l’équilibre dans la Fo.. la magie.
Au cours de ce TPB, John se découvre un nouvel ennemi, plutôt réussi d’ailleurs, retrouve les bad guys de l’opus précédents, ça se poursuit, se rattrape, s’échappe, s’espionne de loin avec donc en fond The Laughing Magician. A la fermeture de ce volume, on reste un peu sur la même sensation que celui d’avant, bien mais pas top ^^
Bien car ça se tient pas mal, là aussi bon travail de Diggle qui pose un univers riche sans trop, rythmé sans trop, où s’intègre bien actions, révélations et avancées du plot. La chasse au Laughing Magician est également reussie, les pistes et les indices tenant la route et on finit par un cliffhanger et une révélation qui promet du gros pour la suite. Pas de cours circuit, de facilités scénaristiques non plus et on y trouve même ça et là quelques bonnes idées. Le bad guy donc chasseur de magus, africain à la magie violente et sanguine, est plutôt réussi, bien dark, bien glauque, la classe.
Après.. bien mais pas top car ma foi cela manque encore de passion, l’intérêt y est sans être non plus DA comics à lire, John végète un petit peu depuis un moment d’ailleurs, un peu passif, sans réel but ou objectif, sans vraiment de cadre, la faute peut être à une politique éditoriale qui enchaine les scénaristes, ça serait pt’te le bon moment un de ces 4 d’installer à la barre un artiste pour durer le temps de développer du neuf et du percutant.

Coté dessins, Zezelj tout d’abords qui avait bossé sur du Loveless aussi pour le one shot avec un style peu détaillé mais bien percutant associé à un encrage puissant et sombre ce qui rends bien dans du Hellblazer. Manco pour la suite qui me surprends agréablement avec un style « nouveau », plus de crayonné, plus de rondeurs, presque du Leinil Yu parfois. Ca donne un style moins homogène que précédemment et donc de belles planches chocs aux moments où il faut, insistant sur le glauque et le sombre, là où justement, cette homogénéité finissait par fatiguer auparavant, du bon travail !
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