SAGA #25 (Brian K. VAUGHAN / Fiona STAPLE)
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Posté par Baltazared |
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Saga #25
Voilà, c'est reparti pour six mois de plaisir, de dialogues exceptionnels et d'aventures. Je ne trouve absolument rien à redire à cette série. Après un début que j'ai trouvé personnellement poussif (toutes proportions gardées) je n'arrive plus à me détacher de Marko et Alana. Le bestiaire est à la fois mignon, flippant, inventif, tout ce qu'il faut. Alors oui le concept est assez basique et éculé (Roméo & Juliette version SF) mais bon dieu que c'est bien raconté. Vaughan a une puissance narrative formidable. Staples n'est pas en reste évidemment.
C'est surement ma critique la plus inutile depuis que je suis inscrit, mais je me devais de crier mon amour pour cette série.
Que cette série continue le plus longtemps possible, Vaughan m'ayant promis 2000 issues lorsque je lui ai posé la question à Angoulême. |
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Je suis sur que je serais sur Facebook que mes premiers amis seraient Alana, Marko, Hazel and coe. Mais que c'est bon. C'est incroyablement efficace et très inventif malgré un thème éculé. Je suis resté impressionné de voir comment en si peu de page
Brian K. VAUGHAN arrive à faire vivre tout ses personnages. Et quand on se rappelle le dénouement du précédent numéro c'est un déchirement d'en voir évoluer certains. D'ailleurs il faut que j’arrête de lire Hazel où je vais me mettre à pleurer. Elle nous spoile sur le futur de Marko et ce n'est pas possible, non
Je veux que tout s’arrête. Alana et Marko se marièrent et vécurent heureux longtemps avec Hazel et ses frères et sœur. C'est passionnant et l'humanité qui se dégage des protagonistes continue de m’éblouir. BKV sait faire vivre ses personnages comme peu de scénaristes actuels savent le faire. Et puis ce qui est vulgaire chez les autres devient naturel ou drôle chez lui (la séquence pour récupérer un ingrédient du remède pour The Will est énorme). La conception graphique de
Fiona STAPLE y fait quand même pour beaucoup. Au delà ce la synergie qui existe entre Vaughan et elle, c'est surtout cette imagination débordante à ré inventer sans cesse le paysage de cette odyssée qui impressionne. C'est fantastiquement banal et neuf à la fois. Et la cover, la wraparound cover.... Le courrier des lecteurs et le billet de BKV sont également un pur moment. Mais pourquoi ce numéro n'est pas sortie la semaine dernière pour Angoulême (l'auteur y signale son passage).