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Vieux 09/05/2015, 19h28
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Trois semaines de news en retard!

DC

The multiversity 2

Fin de cet excellent crossover entre les 52 mondes du Dcverse avec découverte de la véritable nature de la Gentry, cet ennemi aux motivations obscures et au pouvoir incroyable, qui détruit des pans entiers du multivers. Et srutout, grosse baston épique impliquant des centaines de persos!
Ce numéro est bourré de références jouissives, notamment à Crisis on infinite earths, aux évènements qui se sont déroulés dans les comics qui ont constitué ce crossover et à l’essence même des personnages qui composent cette nouvelle JLA venant de tous les univers.

L’épilogue est simple mais habile et tout ceci est un bel hommage au pouvoir des comics, à l’influence qu’ils ont eu sur leurs lecteurs mais aussi à l’imagination en général.
Une conclusion simple mais vraiment superbe à un crossover épique !

Scénario : 17/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20



Divergence 1 FCBD

Ce numéro spécial gratuit nous montre trois histoires appelées à se passer après le crossover Convergence :

Le successeur de Batman, tombé au combat contre le Joker pendant le crossover entre les bat-titres Endgame est très surprenant. Personnage récurrent du Batverse, il porte ici une armure qui le fait ressembler à Robocop avec des oreilles de lapin ! Ceci dit, c’est bien fait et intriguant.

Superman semble quant à lui avoir perdu la majeure partie de ses pouvoirs. Loïs Lane a révélé à la presse son identité secrète et tous les types qui veulent se faire un nom ou se venger de lui passent leur temps à le défier.
Intriguant et avec un Romita Jr en bonne forme côté dessins.

L’histoire dédiée à la JLA est un prologue au futur arc Darkseid war : à la naissance de Diana, une autre amazone a accouché d’une fille mais celle-ci est la fille du seigneur d’Apokolips…
Les dessins sont assez beaux et le crossover peut être sympa.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20



MARVEL

Silver surfer 11

Jean Giraud, alias Moebius, a écrit une magnifique histoire sur le surfeur (« Parabole », un de mes hits persos) dans les années 80. De plus, il tire son célèbre pseudo du « ruban de Moebius », étrange figure mathématique à l’aspect très particulier.
Si vous additionnez ces trois éléments et y ajoutez le talent graphique d’Allred, qui joue avec les cases et les possibilités d’histoire en vou faisant lire votre BD dans tous les sens, vous obtenez cette petite merveille qui narre la quête du surfer et des peuples survivants à diverses arrivées de Galactus dont nous avons suivi les aventures dans les trois numéros précédents.
Prisonniers d’une sorte de boucle spatio temporelle qui étire le temps de manière aussi atrocement insupportable que l’horrible arc « Endless eight » de la mélancolie de Suzumiya Haruhi, leurs vaisseaux sont sans cesse harcelés par une armée montée sur des ptérodactyles mécaniques rappelant furieusement la monture d’Arzach et parlant un Anglais émaillé d’expressions en VF pas trop inexactes et très vintage, si vous ajoutez à ça leurs casques coloniaux à l’Anglaise.

Existe il une sortie de cette boucle qui bouleverse le temps et l’espace ? Vous le saurez en lisant ce qui est un des meilleurs numéros de la série si ce n’est le top. Par contre, ça va drôlement perdre en volume relié ou broché.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 17/20



Punisher 18

Malgré un numéro 17 qui fournissait une bonne conclusion à ce très bon run, le 18 remet le couvert pour apporter une réflexion supplémentaire sur le personnage du punisher après qu’il ait sauvé la ville des gangs et de leurs commanditaires : héros pour les uns, même parmi les policiers censés appliquer la Loi, criminel pour d’autres poussés à l’action, le cliffhanger de ce numéro est très intéressant et j’ai hâte d’en savoir plus dans le numéro 19, qui sera intégré à Secret wars. Et c’est un des plus beaux numéros de la série jusque-là, notamment dans le choix des couleurs.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Spider-man 2099 TPB 3 : Fall of the hammer

Enfin la suite de cette très bonne série des années 90! Ce TPB reprend les aventures de l’arachnide du futur qui va tour à tour rencontrer Thor et les ases, qui ont énormément changé, sauver sa mère du culte dudit dieu du tonnerre, qui connait un grand essor dans le futur, dont Spidey va même devenir un des hérauts à son corps défendant, sauver son frère d’un virus informatique qui l’a enfermé dans la réalité virtuelle, découvrir que ledit frère est loin d’être une buse et enfin rencontrer de riches tueuses porteuses de la carte noire, ce qui, en 2099, est synonyme d’inattaquable en justice quel que soit le crime commis.

Ce volume est le meilleur paru jusqu’ici !
Le crossover entre les 5 titres de 2099 de l’époque, Spidey, le Punisher, les X men, Fatalis et Ravage, est franchement bien mené et agréable à lire. Ils vont tous avoir un intérêt à se rendre sur la ville volante conçue par Alchemax, plus importante mégacorporation du futur, avec la puissance d’un état, pour héberger le retour tant attendu des dieux. Spider-man en tant que membre d’Alchemax invité sous son identité civile, le Punisher en tant que membre de l’œil public, la police privatisée par la firme, les X men à la recherche d’un de leurs amis enlevés, Fatalis pour protéger les intérêts de la Latvérie (qui sont les siens) et Ravage pour protéger l’écosystème ravagé par la ville, en lieu et place de la firme écologiste qui l’emploie et ne fait rien.

Chaque titre est porté par les équipes créatrices de l’époque, qui insistent bien sûr sur la vision que leur personnage a des choses. Celle du Punisher est particulièrement hallucinée et donne vraiment envie de lire ses aventures.
Ce très bon crossover voit ses implications exposées dans un numéro conclusif de Spider-man présent dans ce volume, qui reprend le cours de ses aventures dont on a hâte de lire la suite.
Les derniers numéros de ce TPB comportent des back up racontant l’enfance de notre héros, élevé dans une école sponsorisée par Alchemax qui le formate pour devenir un membre influent de la firme. Ils sont particulièrement intéressants car on se rend compte que la majeure partie de son supporting cast en est issue.
Vivement le prochain volume de cette très bonne série des années 90 !


Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Secret wars 1

Pour une raison inconnue, un trio composé de Fatalis, Docteur Strange et Molecule Man déboulent dans le monde qu’on voit « quand on meurt » et font la rencontre de Dieu, qui parle au pluriel et dit qu’il « sont » d’ailleurs. Beyond en anglais. Beyonder, secret wars, je vous fais pas un dessin mais il me semble claire que ce n’est pas the one above us all mais un ou des Beyonders.

Pendant ce temps, le Reed Richards psychopathe de l’univers Ultimate a reçu la visite de Thanos et d’autres personnages peu recommandables qui l’ont averti que son univers allait être détruit. Il choisit d’avertir « son » Fury et ses Ultimates que les univers Ultimate et 616 vont entrer en collision et que l’un d’eux va y passer.
A partir de là c’est très confus. On assiste à une grosse baston entre tous les héros des deux univers avec les simples mortels coincés au milieu, des explosions dans tous les sens et un bordel monstre. Les deux terres semblent fusionner et chaque camp, pris par l’urgence, tente d’arrêter ceux d’en face. On découvre alors que Cyclope dirige des sentinelles (depuis quand ?) ou encore que les héros de l’univers Ultimate sont moins nombreux que ceux de la terre 616, ce qui joue en leur défaveur. On découvre aussi que les gardiens de la galaxie passent vraiment beaucoup de temps sur Terre car ils sont encore là au bon moment malgré l’immensité de la galaxie.
Vous l’aurez compris, c’est un gros boxon. Mais c’est un beau bazar ! On sent très bien le côté « chaos total » et « héros pris dans la nasse et l’urgence » qui explique bien leurs actes désespérés. Les dessins de Ribic sont très beaux (si on excepte sa chose qui a beaucoup maigri) et il y’a même quelques vannes ou allusions pop qui passent bien. La conclusion est très puissante et arrive dans la tronche du lecteur en pleine poire, avec une énorme efficacité et un puissant impact. Du genre 5ème, si vous voyez ce que je veux dire.
Mention spéciale au Punisher, qui ne perd pas le nord au milieu de l’apocalypse. Bref, ça démarre très bien. Prions pour que ce soit le meilleur crossover Marvel depuis Civil war.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



The all new all different avengers FCBD

Premier aperçu de l’équipe des vengeurs telle qu’elle sera après le crossover Secret wars.
Nous y suivons le baptême du feu de Miss Marvel, Nova et du Spider-man de l’univers Ultimate (qui survivra donc à la destruction programmé de son univers) guidés lors de leur première mission pas un Tony Stark redevenu gentil (encore un scoop), la Thor et le Captain actuels et la vision (sûrement grâce à sa présence dans le film Avengers 2).

Ce numéro est simple mais bien mené. Les trois petits jeunes sont opposés au chinois Radioactive man, un peu retapé pour l’occasion et plus puissant que d’habitude. On y voit leurs erreurs, leurs bonnes idées et le débriefing fait par les anciens.
C’est simple mais bien mené et dessiné, très agréable à lire. Ça donne envie de lire la suite, le contrat est donc rempli.

En deuxième partie du volume, nous avons une histoire des inhumains (du titre à venir Uncanny inhumans) qui se déroule en Inde. Le nuage de brumes terrigènes semble avoir flotté dans l’océan pacifique en stagnant quelques mois car il ne parvient dans ce pays que 14 numéros après les évènements du crossover Infinity. Plusieurs autochtones sont transformés, dont une star de Bollywood. Bien entendu, la faction de Lash essaie de les recruter tandis que celle de Medusa tente de les sauver, aidée en cela par un célèbre super-héros avec qui elle sort depuis qu’elle a rompu avec son monarque de mari. Un super-héros avec lequel elle n’avait jamais entretenu de relation à ma connaissance.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Spider-Gwen 4

Gwen se pose moultes questions, étant devenue à son corps défendant le symbole tagué sur tous les murs de la ville de la rébellion à l’autorité. Elle décide de visiter les époux Parker pour remettre de l’ordre dans ses idées en parlant du défunt Peter et découvre que l’image de Spider woman n’est pas celle d’une meurtrière à leurs yeux, mais d’une possible coupable bien trop parfaite au moment des faits.
Est-ce le moment de faire la paix avec les autres membres de son groupe de rock, les Mary-Janes ?

Un numéro très tranche de vie assez mélancolique et très immersif, qui change des numéros de baston précédents.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



All new Captain America 6

Fin de la confrontation entre Ian Rogers, le nouveau Captain America et les forces de Zemo qui veulent stériliser les ¾ de l’humanité. Egalement fin de la prestation du dessinateur. Un parallèle intéressant est établi entre le désir de devenir père de Cap, qui protège les enfants de sa sœur (qui l’appellent, fort logiquement, « Uncle Sam » !) et le baron Blood, vampire immortel qui se réjouit que son peuple ait un garde-manger stérile de proies faciles qui assurera leur domination sur le monde.

Le cliffhanger est très intriguant et on se demande vraiment à quoi joue la sauveuse de Cap.
Fin de la série qui sera remplacée pendant Secret wars par un titre à priori de type What if dédié à Ian Rogers dans un monde dirigé par l’hydra !

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20



Inhuman 14 et Inhuman annual 1

Ces deux numéros se suivent, malgré des dessinateurs différents (je préfère celui de l’annual). Lineage révèle son but à Gorgone, qu’il tient à sa merci. Celui-ci est très ambitieux et tient compte de tous les paramètres puisqu’il met les inhumains de toutes les factions rivales devant un choix, que ce soit la Attilan de Medusa, les fanatiques de Lash, les troupes du Capo ou les simples individus non affiliés comme Miss Marvel !
Bien sûr, malgré ses meilleurs calculs et manipulations, un facteur oublié va totalement faire échouer ses plans. Celui-ci était le cliffhanger mémorable du numéro 13…

Ces deux numéros montrent toute la diversité des sociétés inhumaines, leurs façons de penser, leurs pouvoirs et leur passé. Le premier est plus axé sur la préparation du final et révèle des secrets très « histoire secrète de l’humanité » méga retcon mais très intéressants ou encore sur les pouvoirs décidément très originaux de Lineage.
Le deuxième est une grosse baston cataclysmique entre les factions aux buts divers, avec un focus intéressant sur nos jeunes héros dont les actions vont influencer en partie l’avenir.

Deux numéros bien écrits et assez enthousiasmants, si on excepte la bizarre armure de Medusa et la façon dont elle en assure la cohésion.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20



Empire of the dead act III n°2

Nous faisons la connaissance dans ce numéro de deux ados victimes des enlèvements de monsieur le maire, qui s’en sert pour se nourrir sans que ses électeurs ne le sachent.
Romero rend le tout très vivant (j’ai beaucoup aimé les dialogues entre les deux personnages pricnipaux ) et il s’agiun des meilleurs numéros jusque là d’une série qui avait accusé un coup de mou pendant le second arc. Les dessins sont vraiment chouettes, dans une veine réaliste et la chute du vampire se précise peu à peu, sa femme étant désormais sur écoutes.

Du bon.

Scénario : 15/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20



Return of the living Deadpool 4

Fin de cette mini-série meilleure que sa prédécesseuse (“Night of the living Deadpool”) mais dont la conclusion est bien moins folichonne.
Le Deadpool dont nous suivons les aventures depuis l’épisode 1 retrouve la mémoire. Deviendra il aussi dangereux pour les humains que ses congénères ? Son alliée trouvera elle le dernier refuge des humains ? Vous le saurez en lisant ce numéro assez peu inspiré dont j’espère qu’il n’y aura pas de suite.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20



Secret wars 0 FCBD

Ce numéro est divisé en deux parties.
Dans la première, nous voyons les enfants de la future fondation en train de bâtir une arche pour sauver le plus de monde possible de l’évènement à venir (Secret wars, donc) et assister à l’atterrissage sur terre d’arches issues d’autres terres parallèles.
C’est agréable à lire et une introduction intéressante au crossover qui va nous occuper quelques mois. Et puis c’est bien dessiné.

Dans la seconde, les titans du manga et anime Shingeki no kyojin (« L‘attaque des titans ») déboulent sur la terre du marvel movieverse (me semble-il) en plein New York. Avec le titan en armure, le titan colossal, le titan féminin et tout le toutim !
Contrairement au manga, ils ne sont jamais tombés sur des super humains capables de leur foutre une rouste mémorable comme le très indiqué Spider-man (dont la toile est réminiscente des harnais à propulseurs de humains de la série l’attaque des titans) ou encore les vengeurs et les gardiens de la galaxie (qui devaient être en vacances dans le coin).

Vous l’aurez compris, c’est plus un partenariat commercial qu’autre chose entre deux grandes boîtes qui veulent faire parler de leurs univers, le scénario étant un prétexte et les dessins n’étant pas grandioses. Disons que j’aime l’idée mais pas l’exécution.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20



Rocket raccoon 11

Raccoon récupère la relique qu’il traquait pour son compte et celui de son employeur. Il va enfin découvrir son origine (apparemment, il a oublié qu’il a été crée par le maître de l’évolution dans les années 80…) et fait la rencontre d’un autre membre de sa race ! Il n’est pas seul ! Et juste au moment où une ébauche de suivi de scénario apparait, les auteurs nous font comprendre via les mots de Raccoon qu’au final, il se moque de rendre la série profonde ou même d’y avoir un suivi, préférant rester ultra léger, presque comme une feuille de papier, nous plantant là. Ça vous plait pas ? C’est le même tarif !!!

C’est bon, j’arrête les frais. Pendant Secret wars, le titre sera remplacé par une série dédiée à Groot, que je ne prendrai pas. Ras le bol des gardiens en BD.

Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 12/20



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Jupiter’s circle 2

Encore un très bon numéro consacré au membre gay de la super équipe, menacé par J.Edgar Hoover de la fin de sa réputation et même de sa vie s’il ne donne pas les identités de ses amis au très corrompu patron du FBI, lui-même soupçonné d’être homosexuel (ce qui était illégal à l’époque).

Rien à redire de plus que pour le premier numéro. C’est du bon, le rythme de déroulement de l’histoire est parfait et on échappe aux grosses provocs gratuites et faciles les plus déplaisantes du Millarverse !

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20

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