Afficher un message
  #354  
Vieux 31/07/2015, 17h17
Avatar de Man-Thing
Man-Thing Man-Thing est déconnecté
Gardien du nexus
-Généalogiste Sénile--Sentinelle du Temple-
 
Date d'inscription: avril 2005
Localisation: Un marais des everglades
Messages: 3 918
Man-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de FatalisMan-Thing collectionne les photos dédicacées de Fatalis
Deux semaines de lectures!

DC

Catégorie "Excellent"


Rien


Catégorie "Très bon"


Rien

Catégorie "Bon"

Batgirl annual 3

Hormis du point de vue des dialogues et des dessins des 4 artistes (notamment et très bon Bengal et ses inspirations manga ou encore la nouvelle dessinatrice attitrée de Gotham academy) qui se relaient pour raconteur l’histoire très bateau de la traque par Batgirl d’une organisation criminelle aux buts mystérieux, c’est une petite cuvée estivale pour une fois.
On croise tout de même avec un certain plaisir les filles de Gotham academy, Grayson et sa comparse la huntress du new 52, Batwoman et Spoiler.

Scénario : 12/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20



Batgirl 42

Batgirl aide le nouveau Batman à mettre Livewire hors d’état de nuire…et on s’ennuie tant c’est bateau. Ne seraient les très bons dialogues et dessins, il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent dans ce numéro.

Scénario : 12/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 13/20



Catégorie "Sympa"

Rien

MARVEL


Catégorie "Excellent"

Weirdworld 2

Arkon le seigneur de guerre est prisonnier des étranges singes sous-marins et se fait un allié TRES inattendu, tiré d’une série Marvel carrément oubliée depuis (quel surprise excellente !).

Pendant ce temps, Morgane Le Fay, baronne du domaine de Weirdworld entend bien faire plier le dragon d’Arkon…

Ce numéro 2 de Weirdworld est bien plus convaincant que le premier, qui était déjà très bon.
Les dessins sont toujours aussi beaux mais un peu plus dynamiques. Surtout, on a l’impression d’être devant un récit de Fantasy des années 80 façon Slaine, ce qui est très plaisant.
Outre la narration très convaincante, le récit ménage avec talent ses surprises et ses effets., tant et si bien qu’on a hâte de lire la suite !

Scénario : 16/20
Dialogues : 18/20
Dessins, encrage, couleur : 18/20
Note finale : 17/20



Captain America epic collection TPB 16: Streets of poison

Ce beau volume de l’excellente collection m’a enfin permis de lire le célèbre arc “Streets of poison” qui relate la lutte du Captain contre la drogue de synthèse « Ice ».
Il n’y a pas que ça dedans et ce volume est un des meilleurs des 4 parus jusqu’ici.

Nous sommes en pleine période Mark Gruenwald, à la fin des années 80, tandis qu’Ann Nocenti est en train de conclure tranquillement sone excellentissime run sur Daredevil (un indispensable dont une partie va paraître bientôt dans la collection Epic) et on trouve forcément des allusions aux évènements qui s’y passent car l’arc Streets of poison est un mini crossover avec les personnages de DD.
Mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs : ce gros volume débute par Captain America volume 1 annual n°9 dans lequel Cap partage la vedette avec Iron man. Dans la tradition de l’époque, il s’agit du premier chapitre d’un crossover reliant les numéros annuels de chaque héros marvel de l’époque, lié à un énième retour de ce super craignos qu’est Terminus, titan extraterrestre surtout ennemi des Fantastiques à la base.
Rien de marquant dans ce numéro sitôt lu, sitôt oublié, pas même les dessins de Valentino. On apprécie tout de même l’initiative de Marvel qui nous raconte en prose, comme à son habitude dans la collection Epic le déroulement du crossover ainsi entamé et le moins qu’on puisse dire est que c’est aussi quelconque que l’antagoniste utilisé.
On a aussi une histoire très réussie même si très classique qui nous relate la vie et la mort d’un soldat qui a combattu aux côtés de Cap pendant la guerre et a vaincu sa peur, devenu politicien victime d’une attentat ou encore un chapitre qui change la vie du héros Nomad, plutôt sympa par Nicieza.

Nous entrons ensuite dans le vif du sujet, qui donne son titre au volume : le relativement célèbre arc narratif « Streets of Poison » (Cap America volume 1 n°372 à 378) dessiné par ce bon artisan qu’est Ron Lim, qui se charge des ¾ de la partie graphique de ce volume.. Après avoir découvert que l’un des ingénieurs au service des vengeurs se drogue pour supporter la pression, Cap décide, après l’avoir orienté vers un médecin, d’en apprendre plus sur l’un des fléaux majeurs de l’Amérique et d’y consacrer un peu de son temps pour la première fois.
Lors d’une intervention contre des dealers, il est empoisonné à son insu par l’Ice qui se mêle au sérum du super soldat présent dans son sang et le rang instable, impulsif et paranoïaque. Sa copine de l’époque, l’ancienne criminelle Diamondback de la société des serpents, ainsi que son chauffeur et pilote John Jameson, mais aussi la réceptionniste des vengeurs Peggy carter s’en inquiètent et décident de tenter de le faire soigner malgré ses dénégations.
Pendant ce temps, le Caïd du crime, l’imposant ennemi de Daredevil, s’inquiète de l’arrivée de l’ice et de ses « promoteurs » qui dézinguent ses revendeurs. C’est en fait une opération du Crâne rouge pour prendre le contrôle de New York et faire vaciller l’Amérique en sapant ses fondations…

Le 379 est un bouche trou assez honnête malgré les dessins de Marinnan.

Après ces très bons numéros, Diamondback est capturée par la société des serpents (Cap America volume 1 n°380 à 382), qui l’accuse de les avoir trahis en sortant avec le Captain et en lui révélant leurs secrets, ce qu’elle n’a jamais fait. Un conflit éclate en son sein quant à son sort, qui va mettre pour la première fois Captain America sur leur piste…

On a ensuite le Cap volume 1 n°383, spécial 50ème anniversaire, dans lequel Cap rencontre les figures mythiques de la construction de l’Amérique comme Johnny Appleseed, John Henry, Paul Bunyan et Uncle Sam ! Ce numéro inclut parmi des back up plus ou moins bonnes la très notable première rencontre entre Red skull, Arnim Zola et Crossbones.

Ensuite, encore un numéro stand alone très sympa dessiné par Lim, le 384, qui voit Cap partir à la recherche de son allié D-Man et permet un caméo de Jack Frost, membre méconnu de la célèbre équipe des Invaders et le retour dans les numéros 385 et 386 des pensionnaires d’Anna Kappelbaum, issus du génial run de Stern et repris avec talent par De Matteis (voir le Captain America epic collection TPB 9: Dawn’s early light) qui oppose Cap aux watchdogs, des paramilitaires qui veulent imposer leur morale aux USA.

Enfin, on trouve un nouvel annual plus intéressant que le premier, le n°10, qui héberge le très oubliable dernier chapitre du crossover entre Pupu, DD et Cap, « The Von Strucker gambit » écrit par Chichester, un court chapitre pas inoubliable des aventures de Nomad (toujours de Nicieza) mais aussi et surtout des épilogues très réussis de Gruenwald à l’arc du procès de Diamondback dédiés à l’émouvant Bushmaster et au presque sympathique Sidewinder, deux membres de la société des serpents.

N’oublions pas que le volume est parsemé de back ups souvent dessinées par un Mark Bagley qu’on a connu plus inspiré et dédié au point de vue et au destin de personnages secondaires comme la paire Battlestar/U.S agent, Diamondback et quelques autres, qui permettent de nous donner leur point de vue et un côté plus humain. C’est d’ailleurs toute la force des dialogues de Gruenwald : ses personnages sont crédibles et faillibles, même les plus forts d’entre eux et nous rentrons dans leurs pensées, ce qui nous permet de mieux les comprendre.
King Cobra, Diamondback, Bushmaster U.S Agent et bien sûr Captain America sont les personnages qui profitent le plus de ce traitement. Il n’y a guère que le Red skull qui soit vraiment méprisable.

En résumé, c’est encore un très bon volume Epic collection dédié au bon captain et j’ai hâte de lire la suite du run de Gruenwald. Je n’en ai pas causé, mais le volume dédié à la création de la society of serpents (Captain America epic collection TPB 12: Society of serpents) est aussi très réussi, bien qu’un peu inférieur à celui-ci.
Si vous aimez les comics bien racontés, aux dialogues vivants et aux personnages humains, le run de Gruenwald est pour vous.

Scénario : 16/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 17/20



E is for extinction 2

Les plans de cet incorrigible bourreau des cœurs qu’est Magneto, qui a toujours son succès auprès des petites jeunes, le canaillou, sont dévoilés au vu et au su de ses élèves par les X men historiques et vieillissants.
Mais le fauve découvre une catastrophe qui menace le monde.

Un numéro très convaincant et souvent surprenant qui fait honneur aux célèbres mutants et à la période Grant Morrisson, avec un très bon respect des personnalités de chacun et de leur évolution prévisible. Peut-être le top de Secret wars pour ce qui concerne les X men

Scénario : 16/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 17/20



Catégorie "Très bon"

Marvel zombies 2

Suite des aventures d’Elsa Bloodstone et sa protégée, perdues au fin fond des Wastelands peuplées de zombies qui veulent dévorer Battleworld. Après avoir dépecé un MODOK zombifié pour tenter de lui prendre ses armes, la chasseuse de monstres est enfin repérée par un agent du siège venue la sauver. Est-ce la fin du périple ?

Encore un très bon numéro qui nous montre l’ampleur des dangers des wastelands et qui nous plonge avec talent dans les pensées de son héroine et sa relation avec son père.
Que du bon !!!

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Loki agent of Asgard 16 (Last days)

Loki contre Loki, dernière! Ce numéro qui conclut la série de belle manière est souvent surprenant, offrant un ragnarok très réussi et un nouveau départ pour le personnage, dont une des facettes mythologiques est mise en avant pour la première fois à ma connaissance.
Le Loki « historique » de Lee et Kirby semble définitivement enterré et le cliffhanger fait référence à un des meilleurs arcs de Thor période pré civil war.

Un clap de fin de qualité pour une série qui ne se sera pas hissé aux sommets des Journey into mystery de Gillen mais qui a de nombreuses qualités, notamment narratives.

Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Punisher 20 (Last days)

Franck tire lui aussi sa révérence avec ce numéro! C’est sa dernière confrontation avec un de ces groupes armés terroristes tristement à la mode au moyen-orient et il ne compte pas partir seul !

Une bonne conclusion au run d’Edmonson et Gerards, qui ont opéré avec talent la fusion entre sa version très « action » des années 80/90 façon Mike Baron et celle plus récente et réaliste de Greg Rucka.
C’est du très bon comic de guerre avec des aspects de thriller et une fin aussi sombre que son personnage. Comme pour Loki, je suis curieux de savoir ce qui l’attend dans l’ère post Secret wars.

Scénario : 14/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20



Age of Ultron vs Marvel zombies 2

Le trio de vengeurs historiquement liés à Ultron qui dirige la ville de Salvation, dernier espoir pour les humains au milieu des zombies et des hordes de robots tueurs, présentent la technologie stupéfiante de leur ville au nouveau venu, le Henry Pym de 1872, dans l’espoir qu’il pourra renverser la vapeur en trouvant une solution contre son « fils » cybernétique.

Pendant ce temps, l’impensable se produit dans le conflit entre zombies et robots…

Un numéro très convaincant qui nous plonge bie dans le bain et semble bien parti pour avoir une influence majeure sur l’histoire de Battleworlds si ça continue comme ça.
Très bon résumé des liens complexes qui unissent la vision, la torche humaine d’origine et Wonder man.
Il y’a même un caméo de la Nomad de l’univers crée par Franklin Richards !

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 15/20



Deadpool’s secret secret wars 3

Où l’on apprend l’influence qu’a eu Deadpool sur le symbiote de Spidey, comment il a été essentiel pour faire ressusciter les héros après l’acte de toute-puissance de Fatalis et comment il a tenté de psychanalyser à l’arrache ce dernier.
C’est toujours aussi réussi et drôle, ce retcon du célèbre crossover dans lequel Deadpool pourrit la vie de nos héros et est derrière toutes les avancées de scénario ! J’ai beaucoup aimé la réaction de Magneto quand Deadpool drague la guêpe.

Scénario : 15/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 15/20



Catégorie "Bon"

Thors 2

Le Thor ultimate continue de mener l’enquête qui a causé la mort de son équipier et ami avec toute la force et l’autorité de l’ordre. Il va faire la connaissance d’un Thor déchu de son statut et de ses pouvoirs et d’un suspect idéal…

Ce numéro est assez inférieur au très bon premier numéro. Il ne s’y passe fondamentalement pas grand-chose, l’intrigue avançant trop lentement et les dialogues étant moins réussis.
Espérons qu’Aaron va remonter la pente.

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 14/20



Future imperfect 3

Les rebelles infiltrent le palais du Maestro, aidés de Layla Miller, afin de libérer leur leader des griffes du tyran, sans savoir qu’une surprise de taille les attend.
Un numéro bien mais pas top et le plus faible jusque-là. Il est inutilement décompressé (un comble pour une série et un auteur d’ordinaire convaincants) et aurait eu mérite, tant il est lent à faire avancer le scénario, à …être résumé en 4 pages dans le prochain numéro !
Même Greg Land retombe alors qu’il avait convaincu dans le numéro 2 pour une de ses rares fois.
Allez, on oublie tout et vivement la suite des évènements

Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 14/20



Old man Logan 3

Le vieux Logan s’échappe du domaine dirigé par le baron Apocalypse et parvient dans celui du baron Stark, Technopia, déjà décrit dans le titre Secret wars « Armor wars ».
Le baron et son Thor sont fascinés par les capacités de régénération du vieil homme, y voyant la possibilité d’éradiquer le virus qui les oblige à porter des armures en tout temps et en tout lieu. Stark, qui est moins informé des choses qui se passent sur battleworlds que son Thor, découvre qu’il est bien ignorant et y voit une opportunité d’en apprendre plus.

Ce numéro d’Old man Logan revient presque aux niveaux du premier numéro, toujours servi par les superbes dessins de Sorrentino, bien plus convaincant sur les habitants de Technopolis que l’artiste du titre Armor wars.
Il rend également mieux que lui la mélancolie qui se dégage de ce domaine. Bémol de taille sur le début du numéro et la fuite de Logan du domaine d’Apocalypse, assez chaotique narrativement parlant. Il est par contre agréable de voir pour la première fois un personnage parvenir à parcourir les frontières de plusieurs domaines et commencer à percevoir les failles du monde du dieu de Battleworlds.
La série étant appelée à continuer après Secret wars, il sera intéressant de voir ce que va en faire l’équipe suivante. Ou pas, ça va dépendre de la conclusion de Secret wars.


Scénario : 14/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 17/20
Note finale : 14/20



MODOK assassin 3

MODOK et Angela font face aux meilleurs tueurs de la guilde : le Punisher, Elektra, Screaming Mimi et bien d’autres qui menacent de les submerger. MODOK est de plus en plus attiré par la Thor, sa violence et sa capacité à ôter la vie. La belle succombera elle à son charme ? Vu le cliffhanger, ça semble compromis. Pendant ce temps, les Thors recherchent la disparue.
Baisse de qualité avec ce numéro quasi 100% baston malgré de très bons dialogues, qui se contente d’aligner les bastons et les bons mots tout en manquant d’inventivité. L’humour et les clins d’œil pour connaisseurs sont eux aussi assez limités, même si j’ai souri quand à l’identité du mari d’Elektra.

Scénario : 12/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 13/20



Catégorie "Sympa"

Rien

Dernière modification par Man-Thing ; 31/07/2015 à 17h24.
Réponse avec citation