Afficher un message
  #2288  
Vieux 22/05/2020, 12h47
Avatar de EsseJi
EsseJi EsseJi est déconnecté
Reader of stuff
-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
Date d'inscription: septembre 2004
Localisation: In a bar, under the sea
Messages: 23 982
EsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autres
Secret Wars, deuxième du nom. Doom est Dieu, dans une vision où Hickman est l'architecte divin. Cet event fait la somme de tout le travail que le scénariste a amorcé depuis son arrivée sur la ligne Ultimate, jusque ses runs sur les titres Avengers. Une conclusion qui ne pénalise pas tant que ça ceux qui n'ont pas lu les préludes, en sachant résumer les grandes lignes pour tenter d'en faire un récit indépendant.
Hickman avait une prérogative, faire de ce Secret Wars quelque chose d'inédit, tout en sachant faire des références au premier du nom. Ce qui donne des moments d'anthologie, comme le "face of God", autre grand moment de la maxi-série de 1984.
D'ailleurs, toute l'histoire repose sur Doom qui arrive enfin à son objectif d'être maître du monde, un exercice délicat où il ne faut pas justement perdre la face.
Seul bémol, l'issue inévitable de l'event, qui se transforme en une énième confrontation Richards/Doom, même le rôle décisif de Black Panther est relégué au second plan.
Le gros avantage de cette version de Secret Wars est qu'elle peut se lire sans se plonger dans la myriade de tie-in, en ayant suivi quelques uns à l'époque il en résultait que seul Siege était important pour la compréhension, mais dans l'ensemble la saga semble indépendante et se suffit à elle-même.
Un Crisis de la maison des idées, une façon de faire le ménage, dans un multiverse qui n'était pas si encombré que ça, mis à part l’embarrassant Ultimate Universe qui était arrivé à bout de souffle. Une conclusion qui donne un nouveau visage à l'univers Marvel, à l'instar de Doom, histoire de repartir sur de nouvelles bases, en reconstruisant presque à l'identique.
Réponse avec citation