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Posté par Ben Wawe |
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J'ai l'impression que Geoff Johns a, avec la JSA, la même approche que James Robinson avec Starman, jadis : une volonté de faire somme, synthèse, en reprenant tout, pour y donner du sens et des liens.
Une belle idée. Mais un gros défi, surtout. |
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J'ai bien aimé ce JSA#1, j'aime ce type de récit mais... J'ai l'impression que Johns nous sert toujours une histoire avec quelqu'un qui doit "corriger" quelque chose dans le temps, comme autant de corrections éditoriales sous forme méta. (Après Flashpoint, the Badge, Doomsday Clock, Flashpoint Beyond... C'est reparti)
Geoff Johns, c'est un peu le concierge chez DC : il a toutes les clefs, et surtout il remet en ordre le bordel laissé par les autres après la fête (des supers slips).