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Vieux 09/02/2024, 09h04
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ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !ollieno est LA légende vivante de ce forum !
J'ai attendu d'avoir les 10 épisodes pour tout lire d'une traite... et bien m'en a fait.

Superman Lost, par Christophe Priest, et Carlo Pagulayan, avec Jason Paz, Jeremy Cox, Lee Weeks, Will Conrad, Dan Jurgens, Bret Breeding, José Luis, Joe Prado, Julio Ferreira, Jonas Trinidade et Willie Schubert...

Lors d'une mission de la Justice League, Superman va se retrouver projeté à l'autre bout de la galaxie, et il va mettre 20 ans à rentrer sur terre, même si, pour Loïs Lane et le reste des personnes sur terre, seules quelques heures ont passées.

Ce qui commence comme L'Odyssée, va très vite devenir l'exploration d'un syndrome post traumatique, comment retrouver sa vie, quand on a passé la majorité des 20 dernières années, seul, dans le vide, à devoir économiser ses forces, son souffle ...

Et comment continuer à vivre, quand on a abandonné à un destin funeste, une planète sur laquelle on a construit une vie durant quelques années ...

Le dernier tiers de l'histoire revient sur les relations compétitions, Haine qui lient Supes et Luthor, essentielles pour raccrocher Clark à son monde.

Les épisodes se lisent d'une traite, on s'interresse au monde de Victor, à Hope, à ce jeune "Jimmy", et surtout le traitement du syndrome post traumatique est bien mieux traité par Priest, que ce que King à put faire (de mon point de vue).

Les passages réalisés par Weeks et Jurgens / Breeding s'intégrent à l'histoire, les assistances par Conrad et Luis se sentent mais permettent de rester ans le récit.

La fin du récit, pour revenir au statu quo, est un peu facile (recours à de vieilles ficelles de SF), mais cela permet de finir sur une note philosophique.

Une très bonne lecture.
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