AMETHYST
Princess of Gemworld N°12 (sur 12)
Publié par DC en Avril 1984
"Darkness Falls", 23 p.
Scénario: Dan Msihkin & Gary Cohn
Dessin: Ernie Colon
Cover: Ernie Colon
A gauche: Citrina, les parents d'Amy, Dark Opal.
A droite: Granch, Princess Emerald, Carnelian, Sardonyx.
Résumé:
Si vous avez manqué l'épisode précédent...
Alors que des represéntants de toutes les maisons associent leur force pour attaquer Dark Opal dans son chateau, Sardonyx échappe aux émissaires de Varn à qui Dark Opal l'avait donné en pature. Il ne va pas tarder à se joindre à la bataille contre Dark Opal.
L'évasion de Sardonyx
Amethyst et ses alliés découvrent qu'ils ne font pas le poids contre Dark Opal. Avec l'aide du moine de la maison des diamants, tout les pouvoirs magiques des représentants des maisons sont exprimés à travers Citrina qui fait chanceler Dark Opal....mais celle-ci est trop vieille: elle passe le relais à Amethyst. Mais, même avec la magie de Sardonyx ajoutés à la leur, nos héros peinent: chaque minute rend Dark Opal encore plus fort, transformant Gemworld en un monde régi par sa magie du Chaos.
Mais Carnelian, sent que c'est un monde dans lequel il n'aura pas sa place (il est le seul à ne pas avoir de pouvoir magique)et, profitant d'un instant pendant lequel dark Opal n'est pas protégé par son aura, absorbée par les émissaire de Varn (revenus réclamer leur prix), il poignarde Dark Opal qui s'écroule, entrainant son chateau avec lui!
La double page qui précéde la mort de Dark Opal.
L'influence de dark Opal disparait et le sol désertique renait, le ciel se rouvre et...un joli arc en ciel apparait ainsi qu'un début d'herbe!
Amethyst fait ses adieux à ses amis car elle doit aller vivre sa vie sur Terre où elle rejoint ses parents inquiets et contents de la retrouver.
Commentaire:
Conclusion de la maxi-série Amethyst, qui aura été si bien accueilli qu'elle donnera suite à une série ongoing!
Cette conclusion est assez décevante à cause de sa simplicité: c'est l'union des maisons + la trahison de Carnelian qui viennent à bout de Dark Opal. Et les quelques pages suivant la défaite de Dark Opal, où on voit le domaine d'Opal revenir à la vie sont assez lourdes, utilisant tous les poncifs du genre.
Colon utilise avec talent ses bordures de panels.
Colon signe une prestation à mi chemin entre ses premiers numéros, très léchés et d'autres qu'il a du exécuter dans l'urgence. Là, on voit que c'est exécuté avec empressement, manquant parfois de finition, mais la puissance évocatrice de son dessin est là.
Si on aurait aimé un dénouement plus complexe, on se console en songeant à tout ce que vont pouvoir exploiter les scénaristes dans le cadre de l'ongoing à venir.
Les panels finaux
Une conclusion bizarrement assez simpliste mais qui laisse le champ libre à l'ongoing future.