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Vieux 10/06/2006, 18h42
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sim theury sim theury est déconnecté
Zuvembie
-Généalogiste Sénile-
 
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Strange Tales # 71 (vol 1)
Octobre 1959


Couverture : Jack Davis / Jack Davis


1/ I Dared To Defy Merlin's...Black Magic (5 pages)
(/ Steve Ditko / Steve Ditko)

Reprinted: rep. in Chamber of Darkness #6



Citation:
Posté par Brother Ray

VF : dans Atomos # 20 (08/1973)
EDITEUR : Arédit – Comics Pocket



Tout commence en Europe centrale où un homme d’affaire Américain impitoyable et rationaliste s’octroie quelques jours de vacances après une affaire rondement menée. Il entre, pour tuer le temps, dans une boutique d’antiquités pour le moins étrange. Il fait du même coup la connaissance du propriétaire des lieux. Face à un vieillard qui lui cause de magie et d’occultisme le Yankee moqueur et méprisant ne s’en laisse pas compter.



Notre visiteur tombe alors sur un ouvrage ancien qui attire son attention : le journal du célèbre magicien Merlin… Séduit par cette découverte il décide donc de se faire « le petit cadeau » qui risque fort de lui rapporter gros à son retour aux US. Le propriétaire de la boutique lui recommande de ne surtout pas toucher à ce livre qui est sensé jouir d’un pouvoir occulte au-delà de toute description. Peu importe se dit –il, « ce ne sont que des foutaises pour touristes » et il ouvre le grimoire...



Soudain ses farouches convictions se voient ébranlées par un événement inattendu. Sceptique et inébranlable face au fameux magicien, notre héros ne veut pas croire à ce qui lui arrive. Merlin lui promet alors qu’une preuve irréfutable le fera changer d’avis dans peu de temps. Il le réexpédie illico presto dans la réalité. Pourtant dès son retour dans la réalité il garde son sang froid et ne semble pas si perturbé que cela par ce voyage inter dimensionnel. Rien ne semble avoir changé, obstiné, l’homme d’affaire repart sur son terrain de prédilection : la négociation.

Il se rappelle alors de la menace proférée par Merlin, quelques minutes plus tôt. Et là… il est bien forcé de se rendre à l’évidence lorsque son regard croise un miroir. Il semble avoir vieilli de 20 ans en quelques minutes !!!



Mon avis : Rien de nouveau et de vraiment captivant dans ce récit dont la construction ultra classique se trouve, une fois encore, rehaussée par le graphisme de Ditko qui excelle dans ce genre d’exercice. Autrement dit : faites abstraction de l’histoire et admirez le maître à l’œuvre.
2/ I Am The Man Who Will Destroy Your World (5 pages)
(/Don Heck / Don Heck)

Réimprimé dans Fear #1



Citation:
Posté par Brother Ray

Mool, est l’empereur tout puissant d’une civilisation conquérante dont le prochain objectif est d’asservir notre planète. Cette race, guère différente de la notre se distingue par son immortalité. En effet un bain annuel dans un bain régénérant permet à ces individus de prétendre à la jeunesse éternelle.



Arrivée aux abords de la Terre, la flotte ennemie s’immobilise. Mool va, avant de lancer la grande offensive, reconnaître par lui-même le terrain. Il est convenu que son signal déclanchera le début des hostilités.

Arrivé sur Terre, Mool prend rapidement contact avec les Terriens, il se fait même embaucher par un commerçant qui recherche de la main d’œuvre dans son magasin de confection. Rapidement à l’œuvre dans ses nouvelles fonctions, l’alien fait la connaissance de Anne la sœur de son patron. Celle-ci ne semble pas indifférente à ses charmes.



Le soir, elle décide au cours d’une promenade de lui avouer son amour. Ils tombent dans les bras l’un de l’autre. Jusqu’à présent Mool, réputé implacable, va se retrouver face à un cruel dilemme.



Va-t-il déclancher le signal de l’attaque ??? Va-t-il renoncer à l’immortalité et à son rang royal pour l’amour d’une Terrienne ??? Pour le savoir, un petit clic juste en dessous…



Mon avis : Le sujet ne fait pas dans la nouveauté mais cette histoire se laisse lire. Don Heck, semble y faire des efforts pour rendre ce récit clair et bien ficelé du début à la fin.
3/ When The Saucer Strikes (4 pages)
(/ Paul Reinman / Paul Reinman)

Réimprimé dans Where Monsters Dwell #6



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Posté par Niglo



Le pilote d’un avion de ligne aperçoit dans le ciel, tout près de son appareil, une soucoupe volante. Il est contraint à quelques manœuvres brutales pour éviter la collision.



Après avoir posé l’avion, il témoigne du phénomène dont il a été témoin. Pas de chance pour lui, tous les passagers dormaient et aucun ne peut corroborer ses dires. Seul l’un d’entre eux était éveillé. Mais il affirme n’avoir rien vu par le hublot. Le pilote en vient à douter de lui-même.

Un peu plus tard, le témoin se rend sur un aérodrome abandonné, où…

4/ I Fought The Man Who Couldn't Be Killed (4 pages)
(/ Sol Brodsky / Sol Brodsky)

Citation:
Posté par Brother Ray



Jordan, un malfrat condamné à 30 années de détention pour vol à main armée, est sur le point d’échapper à la surveillance de ses geôliers. Son premier objectif est de s’éloigner au plus vite des abords du pénitencier. Il s’arrange pour regagner la ville et récupérer au plus tôt quelques liquidités. Jordan porte son choix sur un entrepôt qu’il connaît parfaitement, vu qu’il y a travaillé quelques années plus tôt. Il sait aussi que le coffre fort y est souvent bien rempli.
Tout fonctionne comme prévu jusqu’au moment où les sirènes d’une voiture de police viennent troubler la quiétude de la nuit. Jordan ne panique pas outre mesure, il se souvient qu’il existe une planque indétectable dans le sous sol du bâtiment.

Il s’y engage, à l’abri de toute poursuite, il lui suffira d’attendre et espérer ne perdre trop de temps. Seulement 5 minutes plus tard, quelle n’a pas été sa surprise lorsque un policier surgit dans sa planque et commence à le pister. Jordan utilisera tous les moyens à sa disposition pour fuir cet officier zélé, mais rien n’y fait. Le policier est non seulement rapide comme l’éclair, doté d’une force physique prodigieuse et pour couronner le tout il est insensible aux balles...



C’est clair, Jordan ne peut lutter contre un tel phénomène. Les menottes aux poignets il s’interroge. Vous me direz, en prison on oublie parfois de s’informer sur les dernières innovations en matière de répression du crime.



Mon avis : Un espèce de prototype de Robocop, beaucoup moins « tendance » c’est certain, pour cette courte histoire sans prétention. Peu de surprise également il faut bien le reconnaître. Les illustrations sont quant à elles un peu inégales
5/ I Am The Man Without A Face (5 pages)
(/ Joe Sinnott / Joe Sinnott)

Réimprimé dans Where Creatures Roam #2



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Posté par Niglo

Rufus Watkins habite le paisible village de Goosepan. Il voit d’un très mauvais œil un camp de gitans s’installer à proximité de la ville.



Watkins demande au maire de Goosepan de faire expulser les gitans, mais ceux-ci n’ayant commis aucune infraction, il s’y refuse. Watkins organise alors une réunion chez lui, pour tenter de convaincre ses concitoyens du danger que représentent les gens du voyage, mais là non plus il ne convainc personne. Il se rend alors dans un bar mal famé où il réussit enfin à réunir un petit groupe qui va aller rendre visite aux gitans.



Bien entendu les gitans n’ont aucune raison de partir, le ton monte rapidement et une bagarre éclate. Un direct du droit envoie Rufus Watkins au tapis et les assaillants doivent battre en retraite. Mais ils ne veulent pas en rester là.



Watkins et ses comparses vont porter des masques noirs pour ne pas être reconnus et retourner au camp en faisant un raffut de tous les diables. Effrayés, les gitans montent dans leurs chariots et fuient. Mais avant de disparaître, le chef des gitans, pointant du doigt Rufus Watkins, lui promet qu’il regrettera son geste.

Une semaine plus tard, les complices de Watkins sont arrêtés par la police. Mais aucun ne dénonce Watkins. Celui-ci n’est plus sorti de chez lui depuis la fameuse nuit. La raison ?


Dernière modification par Brother Ray ; 29/06/2007 à 10h29.