Discussion: Projet W
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Vieux 19/11/2006, 21h01
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Ben Wawe Ben Wawe est déconnecté
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[U]La suite, encore...:siffle: [/U]

[B]Episode #9 : Fulo, 1ère partie.[/B]

« A terre ! »

Une dizaine de balles s’abattit violemment sur l’arbre où se trouvait auparavant Seth Harrison, qui venait de se coucher et d’ainsi de sauver sa vie…ou de la prolonger pour quelques secondes, peut-être.
Le combat venait à peine de commencer, et déjà il était à terre, en train de se demander comment tout ceci avait bien pu arriver, et comment il avait pu se retrouver en train de combattre des pseudos rebelles Sud Américains dans le centre de la Bolivie, en plein dans l’immense forêt qui parcoure le pays…ce qui voulait dire qu’il n’avait aucune chance de s’en sortir vu ses mauvaises expériences dans ce genre de régions.

« B, C et F, à droite ! A, D et E à gauche ! G, avec moi, et Maggie aussi ! »

L’Anglais venait de se relever, et commençait à tirer dans la direction d’où les balles qui devaient le tuer étaient venues. Bien sûr, il se doutait bien que ça ne servirait à rien vu l’extrême connaissance des lieux que devaient certainement avoir leurs adversaires, mais il ne pouvait pas non plus rester sans rien faire, et attendre la mort comme une proie n’avait jamais été sa vision idéale de son trépas.

« Raaargh !!! »

L’agent B venait de marcher sur une mine, et une de ses jambes vola devant les yeux de Seth avant de retomber brutalement à quelques mètres de lui. Les autres ne firent même pas attention à son décès aussi violent, et suivirent ses ordres tandis que les balles sifflaient autour d’eux et que des mots en espagnol se faisaient entendre, ce qui prouvait bien qu’ils affrontaient sûrement des rebelles…qui n’étaient bien sûr pas la raison de leur présence ici.

Quelques heures plus tôt, Harrison et Maggie avaient embarqués dans un hélicoptère de John Doe, où il leur avait expliqué qu’ils devaient retrouver un des Humains Evolués en Bolivie. Celui-ci se cachait dans la région forestière autour de la ville d’Oruro, une des « grandes » cités de ce pays d’Amérique Latine en proie, évidemment, à des soucis économiques et sociaux.
Leur patron n’avait pas eu beaucoup d’informations à leur donner sur l’Humain Evolué qu’ils devaient retrouver par ici. Le peu qu’il savait était que cet être était apparemment capable de parler toutes les langues et de vous connaître par coeur simplement par votre attitude ou vos intonations de voix, et qu’en plus il avait une intelligence supérieure à la normale. Doe n’avait rien dit de plus et leur avait juste attribué sept hommes de « l’ONU » pour les accompagner, même si l’Anglais doutait que ces types-là soient bien envoyés par les Nations Unies.

Ils étaient donc arrivés en Bolivie, dans un petit aéroport perdu et dangereusement mal équipé près de Oruro. Avec les agents de Doe, dont ils ne connaissaient pas le nom et qui ne répondaient qu’à des pseudonymes formés des premières lettres de l’alphabet, Maggie et Seth avaient enfilés des tenues de guerre et s’étaient camouflés avec maquillages et toutes les choses possibles, avant d’embarquer dans la forêt avec diverses armes.
Leur objectif était simple, au départ : trouver cet Humain Evolué qui se cachait dans la forêt, l’observer, l’analyser et envoyer les informations à Doe grâce à un système de communication assez évolué. Mais ils ne savaient pas comment le trouver, et comment l’observer…et c’était évidemment la partie la plus difficile du travail, du moins avant de tomber dans cette embuscade.

« Feu nourri ! »

Harrison roula sur le sol avec Maggie et l’agent G, et tira avec eux la majorité des balles de son chargeur. Ils essayaient de trouver où pouvaient bien être les rebelles qui les attaquaient, du moins si c’étaient bien des rebelles : l’Anglais ne connaissait pas, et se fichait d’ailleurs royalement, l’état politique du pays, et pensait sûrement avec raison que quelques types s’étaient cachés dans la forêt et voulaient changer le pays, voir le monde…c’était après tout la norme en Amérique Latine, selon lui.
Pire encore, il n’était pas loin de penser que chaque pays de cette région du monde faisait exprès d’avoir des rebelles, histoire que leurs présidents puissent frimer dans les réunions sur les nombres de morts et de déportés qu’ils avaient chacun…mais c’était une autre histoire. Et il devait penser avant tout à sa survie et à celle de ses hommes plutôt qu’à ces conneries, même si c’était dur.

« Mais butez-les, bordel ! »

Seth n’en pouvait plus.
Cela faisait quelques heures qu’ils pataugeaient dans la boue de cette forêt qui le rendait fou, et maintenant ils devaient en plus affronter des dingues qui gueulaient des trucs incompréhensibles en espagnol. Il regrettait d’ailleurs l’absence de Fernando dans ces moments-là, mais il avait autre chose à penser : il était certain que si le combat s’éternisait encore, son groupe allait perdre, et tout le monde allait mourir.
En effet, leurs adversaires connaissaient le terrain, ils étaient chez eux, et pouvaient très facilement les attirer dans des pièges…comme maintenant, en fait. Il fallait donc faire vite et espérer que tout se passerait « bien », même si il avait peu confiance en cette possibilité, malheureusement.

Un coup d’œil lui suffit d’ailleurs pour voir que la situation empirait à chaque instant. Les balles filaient partout dans ce petit coin presque ouvert de l’épaisse forêt bolivienne, et plusieurs agents de John Doe tombaient violemment sur le sol, vaincus et morts.
Oh, bien sûr, l’Anglais n’en était pas vraiment touché : il ne les connaissait pas, et n’avait pas eut le temps de leur parler…surtout qu’ils étaient très peu bavards, évidemment. Mais ça n’empêchait pas que Seth n’aimait pas ça, étant donné que leurs effectifs baissaient de plus en plus, et que ça risquait d’être bientôt son tour, si ça continuait comme ça…

« Maggie ! »

Harrison se jeta sur sa collègue, et celle-ci évita alors de marcher sur une mine, qu’il avait réussit à apercevoir grâce à un bout de cette arme mortelle qui était sortit. La jeune femme n’était toujours pas dans son assiette selon lui vu son silence trop pesant et pressant, mais en combat elle restait toujours extrêmement dangereuse et violente, et il ne pouvait de toutes façons la laisser mourir, même si il avait de plus en plus de doutes à son propos…

« Bordel, mais qu’est-ce qu’il se passe ici ? »

Seth se rendit alors compte à quel point ils étaient tombés dans une embuscade. Et il s’en voulut immédiatement de ne pas l’avoir compris plus tôt.
En effet, perdus dans une forêt qu’ils ne connaissaient pas, attaqués juste au moment où son groupe était dans un endroit un peu ouvert de cette même forêt, des balles qui filent partout autour d’eux…ça ne voulait dire qu’une chose : ils étaient entourés d’ennemis, et ils allaient très certainement mourir sous peu…Même si tout était encore possible, bien sûr…

« Argh… »

L’agent A tomba lui aussi au sol, et Harrison comprit alors qu’il ne restait plus que Maggie et lui. En quelques secondes à peine, tous ses hommes étaient morts…et tout ça à cause de lui. Il avait pensé que ce n’étaient que des rebelles débiles et qu’ils pourraient s’en tirer facilement, mais il s’était trompé. Et lourdement.
Ces hommes n’étaient pas que des rebelles. Ou alors, ils étaient d’excellents rebelles, et ses mauvaises blagues mentales n’avaient pas lieues d’être pour eux. Ils étaient organisés, puissants, forts et intelligents, et si il s’en sortait, ce qui n’était pas sûr du tout, il devrait changer son commandement, même si il doutait qu’il en aurait l’opportunité encore…

« Seth… »

L’Anglais baissa ses yeux vers la jeune femme qui se trouvait sous lui, et se rendit compte que la situation était encore pire que ce qu’il le pensait. Maggie, en effet, était blessée au ventre, certainement par une balle perdue auparavant…Elle ne l’avait sûrement pas sentie vu l’adrénaline qui la boostait, mais maintenant qu’elle était depuis quelques secondes immobilisait, cette adrénaline était stoppée, et elle subissait violemment le contre coup de la douleur…et de l’horreur de la situation actuelle…

« Et merde… »

Harrison ne savait pas quoi faire.
Les balles continuaient à fuser au-dessus d’eux, et il ne faudrait pas plus de quelques secondes pour que les rebelles se rendent compte qu’ils n’étaient pas morts et qu’il fallait les achever. Et il ne pourrait rien faire contre ça, malgré tous ces faits d’armes dans sa vie et toute sa chance, qu’il avait trop souvent utilisée jadis pour se tirer de ce genre de situations…Mais là…ça ne fonctionnerait sûrement pas…

Il soupira alors lourdement, se demandant si c’était fini. Si sa vie était bien terminée. Si il allait laisser ce monde et tous ceux qui lui ont fais du mal, ceux dont il avait juré de se venger, et mourir. Si il allait disparaître de cet univers et de cette vie, alors qu’il avait survécu à tout, que ça soit les tortures, les horreurs ou les manipulations de couloirs…il avait survécu à tout. Et tout ça allait être fini ? Après tout ça, il allait bêtement mourir dans une forêt perdue au centre de l’Amérique du Sud, à cause de stupides rebelles bien organisés mais anonymes et sans intérêts ?

« Nan… »

L’Anglais n’avait pas envie que ça se finisse ainsi.
Même si il ne pouvait sûrement rien contre ses adversaires, il n’allait pas se laisser faire. Il ne pouvait ni ne voulait se faire abattre et achever, couché sur une jeune femme qui se vidait de son sang et qui ne pouvait pas faire grand-chose. Il ne voulait pas de ça. Il ne voulait pas de cette mort.

Si il devait mourir aujourd’hui, il n’allait pas le faire sans se battre. Il n’allait pas le faire sans pousser un dernier cri de rage contre le monde, et tenter de faire le plus de dégâts possibles dans ceux qui auront la chance de mettre fin à son existence.

« Raaaah !!! »

Harrison se releva alors violemment, prêt à faire feu là où les balles proviendraient. Il était prêt à se prendre toutes les balles possibles si il avait l’occasion de voir au moins un endroit où se trouvait un des tireurs, et même si il en mourrait, il ne partirait pas seul. Il se l’était promit. Il se l’était juré. Mais il n’aurait pas la possibilité de tenir cette promesse et ce serment, en fait.

« Hein… ? »

Les balles s’étaient arrêtées.
Dès qu’il s’était relevé, dès qu’il avait décidé de prendre les choses en main et d’essayer de « bien » finir malgré ses erreurs et les morts de ses hommes, qui étaient de sa faute d’ailleurs, les tirs s’étaient stoppés. La fumée sortait toujours des arbres et des feuilles vu toutes les balles tirées un peu partout dans cette embuscade, mais l’enfer qui s’était installé dès que l’attaque avait commencée avait été arrêté. Et Seth ne comprenait vraiment pas pourquoi.

Son MP5 entre les bras, son uniforme recouvert de sang et de boue, il n’arrivait pas à comprendre pourquoi il n’était pas prit dans le tourbillon des balles qui avait massacré ses hommes. C’était incompréhensible…vraiment incompréhensible…
Pourquoi ces rebelles faisaient-ils ça ? Pourquoi tuer ses hommes et pas lui ? Pourquoi les achever en quelques secondes et le laisser vivre ? Pour le torturer encore plus ? Ou pour autre chose ? Ou pour quelque chose de plus vicieux et de plus sadique pour lui, dans les instants à venir ?

Il n’en savait rien…et il détestait ça, vraiment…

« Enchanté de vous rencontrer, Mister Harrison. »

Une voix venait de parler dans un anglais parfait, avec un léger accent latino. Seth comprit alors immédiatement que cette embuscade n’était pas seulement une attaque de rebelles…que c’était un piège contre lui et Maggie. Et donc, que Doe avait sûrement merdé encore une fois…Ca commençait à faire beaucoup, quand même, vu le nombre de personnes qui connaissaient leurs existences et savaient ce qu’ils faisaient…Et ce n’était pas vraiment bien pour des êtres qui devaient normalement se conduire comme des agents secrets…

« Qui… ? »

L’Anglais se retourna alors, et vit celui qui venait de parler.
Vêtu d’un uniforme militaire lui aussi, c’était un Sud Américain au crâne rasé et au sourire étrange…presque désagréable, en fait. Il était aussi maquillé pour être inaperçu dans la forêt de la Bolivie, et une demi douzaine d’hommes grimés comme lui sortirent alors de la verdure autour d’eux, Seth n’appréciant vraiment pas de voir tous ces hommes autour de lui…tous ces hommes qui avaient tentés de le tuer et qui avaient massacrés ses collègues…tous ces ennemis, en fait…

« Je suis celui que vous êtes venus chercher, Mister Harrison.
Et je suis heureux de voir que vous avez survécus à ce petit…problème, même si Miss O’Malley semble être un peu blessée…malencontreusement, évidemment… »

Harrison ne comprenait rien. Ce type, là, devant lui…c’était l’Humain Evolué ? C’était donc lui l’homme qu’ils devaient observer et peut-être tuer si Doe le voulait ? C’était donc lui leur cible ?
Pourtant, il semblait…comme les autres…Il semblait humain…Il n’avait pas de cornes, d’énorme tête ou de signes extérieurs de son côté… « différent ». Seth ne savait pas à quoi il s’était vraiment attendu, mais il avait pensé que le premier Humain Evolué serait VRAIMENT différent…et qu’il ne ressemblerait pas bêtement à un rebelle anonyme et classique d’Amérique Latine, même si c’était évidemment un des meilleurs costumes pour être incognito dans cette zone du monde, quand on avait son patron et ses chefs à ses trousses…

« Allons…
Venez, Mister Harrison…
Nous avons beaucoup à nous dire… »

L’homme sourit doucement alors qu’un de ceux qui avaient tués les agents de l’Anglais prenait l’arme qu’il tenait dans ses mains. Celui-ci se laissa faire, trop sous le choc pour faire autre chose, et commença alors à suivre ce type qui semblait trop humain et trop calme pour qu’il soit leur cible, même si il ne savait pas à quoi pouvait ressembler un des monstres que Doe leur avait décrit…
Maggie, visiblement gravement atteinte au ventre, se fit aussi emmener, alors que Seth se demandait ce qu’il allait vivre, maintenant qu’il était aux mains d’un de ceux qu’il devait observer et sûrement tuer…Il avait peut-être quitter un enfer en Afrique pour un enfer en Amérique du Sud…et encore une fois, il maudit John Doe pour tout ça, même si au fond ce n’était pas totalement de la faute de l’homme en noir…Pas totalement, non…






[I][RIGHT]17 janvier 1983.[/RIGHT]


[CENTER]Journal du Docteur Wagner,[/CENTER]


Premier jour d’expérimentation du Projet Doe.

C’est aujourd’hui que je reprends les travaux de mon prédécesseur, le Docteur Keller. Je ne sais pas ce que cet éminent chercheur, bien que trop paranoïaque et dangereux à mon avis, est devenu. Cela faisait quelques jours que je tentais une approche envers ce savant que je connaissais simplement de réputation, mais cela se passait mal.
En effet, je me heurtais véritablement à un mur. Apparemment trop prit dans ses recherches sur le patient dit John Doe, il n’avait vraisemblablement plus de vie privée et passait 90% de son temps à s’occuper de ce cobaye, le reste étant pour son sommeil et pour quelque écriture dans un journal, malheureusement bien maigre.

Je ne sais pourquoi cet homme est devenu ainsi…pourquoi il est devenu aussi concentré sur ce patient. Bien sûr, ce John Doe est extrêmement intéressant et passionnant vu ce que nous pourrions découvrir grâce à son analyse, mais Keller était devenu obsédé par ce cas. L’analyse de ses comportements, du peu de pages de son journal et de ses rares rapports avec les autres chercheurs me font penser qu’il avait perdu l’esprit, et qu’il devait donc être rapidement retiré du projet dans le bien de celui-ci.
Heureusement, nos employeurs semblent avoir le même avis que moi vu la disparition troublante, mais finalement accessoire, de nos locaux.

Keller a donc disparu, et j’ai pris sa place.
Bien sûr, je suis très ravi de cette opportunité qu’on m’offre, maintenant. J’étais venu dans ce centre de recherches perdu dans un des endroits les plus durs de Russie, et du monde d’ailleurs, dans l’espoir de pouvoir aider à l’évolution de l’Humanité et de ceux qui la peuplent. Et maintenant, j’ai l’immense honneur de pouvoir me pencher sur ce cas passionnant et extrêmement intéressant…quel bonheur.

Mais passons. Si j’écris ce journal, si je me lance dans l’écriture, c’est bien évidemment parce que nos employeurs nous l’ordonnent (sûrement pour savoir comment nous évoluons et les raisons de nos changements, si jamais ils arrivent, comme pour Keller), mais aussi pour faire l’analyse de toutes mes recherches et de toutes mes actions sur ce patient que j’ai hâte d’observer et d’analyser chaque jour.

Aujourd’hui, donc, j’ai commencé la recherche sur John Doe.
Bien sûr, je ne suis pas aller trop loin dans mes actions de la journée. J’ai d’abord commencé l’observation de tous les appareils autour de cet homme relativement jeune mais apparemment très fort et très rude. Je ne sais comment il peut survivre à tout ce que Keller lui a fait, mais il semble pouvoir survivre à d’autres choses encore. Il faut que je le pousse au bout de ses capacités. Il faut que je cherche jusqu’où il peut aller, et le faire dépasser ça. Il faut que je trouve ses limites. Mais plus tard.
Donc, après l’étude des machines, j’ai passé les quelques heures qui me restaient à regarder comment Doe réagissait à différentes injections de produits variés, mortels ou non. Rien de concluant n’en est sortit. Mais je verrais cela demain, encore.

Voila.
Ma première journée de travail est terminée.
Je n’ai pas grand-chose à dire. Je suis très excité par cette charge qui m’incombe maintenant, mais les excès de mon prédécesseur m’incitent évidemment à la prudence. J’espère que tout se passera bien. J’espère que je trouverais la réponse à l’étrange code génétique de John Doe…et j’espère surtout que je ne me perdrais pas, comme Keller.

Mais soyons optimistes. La première journée fut excellente, et j’ai hâte d’être à la seconde. Et j’ai surtout hâte de pouvoir dépasser les limites de la Science, ce pourquoi je suis là, évidemment…

A bientôt, nouvel ami.

[RIGHT]Chris Wagner.[/RIGHT][/I]