Une petite sélection de ce que j’écoute en ce moment. Dans l’ordre:
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Flying Lotus,
Cosmogramma. De l’électronique qui flirte avec le jazz, normal quand on est le petit neveu d’Alice Coltrane (voir plus bas).
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François Rabbath,
The sound of a bass: contrebassiste français. Ce disque de 1963 est assez prodigieux de virtuosité mais jamais dans l’esbrouffe.
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Alice Coltrane,
Journey in Satchidananda: femme de et grand-tante de (voir plus haut). Mais que je préfère largement à son mari, oui je sais c’est un crime de lèse-majesté. En tout cas cet album de spiritual jazz de 1971 sorti chez Impulse! défonce.
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Dennis Wilson,
Pacific Ocean Blue: Oh la belle barbe que voilà. 1977. Pas le plus manchot des frères Wilson. Enfin, sauf pour la nage puisqu'il se noiera 6 ans plus tard. Dans l’alcool, puis consécutivement dans le bleu de l'océan pacifique.
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Yo La Tengo, 1997,
I can hear the heart beating as one: probablement l’un des meilleurs de ce groupe rock indé confidentiel (et c’est pas plus mal comme ça)
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Kraftwerk,
Ralf und Florian, 1973: mais matez-moi donc ces belles tête de vainqueurs! Vaut beaucoup mieux que la pochette ne le laisse supposer.
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Captain Beefheart,
safe as milk. Figurez-vous que je ne connaissais pas ce groupe autrement que de réputation. Hé bien ce premier album de 1967 est une grosse tuerie de blues-rock dégingandé.
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Susso,
Keira: très bel album qui aux mélopées et rythmes gambiens mélange de l’électro. Trip garanti. C’est sorti cette année je crois.
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Gonzales,
solo piano: Pas forcément très fan de sa production, mais son disque solo est vraiment bon.
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Amara Touré,
1973-1980. J’enrageais de n’avoir pu le choper voilà quelques mois quand il est sorti sur Analog Africa. Heureusement le label vient de le represser et c’est foutrement et mélancoliquement excellent.
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Brigitte Fontaine. Son premier album de 1966 réédité.
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Lula Cortes e Ze Ramalho,
Paêbiru. Brésil, 1975 et des musicos qui ne devaient pas carburer qu’à l’eau gazeuse. Un sommet de la musique psychédélique.