Finalement critique de the authority dans la foulé.
Mon équipe préféré de Superhero est de retour, du moins c’est se que je pense quand je prend se numéro sous mon bras.
J’observe la magnifique couverture de Gene Ha (dessinateur de Top ten) qui est un de mes dessinateur fétiche avec Hitch et Quitely (on s’en fou de ta vie) et mes yeux reste fixé sur le nom du scénariste : Morrison (tout le monde sait a quel point je le vénère).
« La plus grande équipe de bastard de la planète, politiquement non correcte est de retour » voici la dernière phrase qui me trotte dans la tête avant que j’ouvre se comics.
Une fois terminé je me rend compte a quel point ça a été rapide, un homme qui a des problèmes avec sa femme (qui finit par le quitter) part a la recherche d’un sous-marin qui a disparut dans d’étrange circonstance, circonstance qui sont que l’équipage s’est donné la mort. « Terrorisme » est le premier mot qui vient a l’esprit des aventuriers qui décident d’aller voir se qu’il se passe avant de découvrir un étrange truc technologique très très long (the carrier ?).
C’est en tout cas se que j’ai compris de cette lecture, mais ou sont donc passé les raclures, les insultes, les présidents qui tombe au milieu du peuple,le sang qui jicle, et les homosexuels, ou sont passé les enfoirés qui dirige ?
Je sais qu’ils vont arrivé, Morrison ne peut oublier le concept de se comics et il nous livre ici un récit fantastique qui pose les bases d’énormément de question. Rien ne sert de demander la tête du scénariste nous assistons ici a la naissance d’un futur chef d’œuvre, il nous suffit de prendre notre mal en patience.
Magnifique cover oui….. Magnifique, mais que se passe-t-il a l’intérieur ? Gene Ha n’est apparemment pas encré mais directement colorisé dans un style hors du commun, sans trop de contraste entre les couleurs, pas de distinction entre lumière et sombre, les personnages se fondent avec l’arrière plan ou il n’y a généralement pas de décor, tout ceci avec un habile mélange de photo.
Résultat ? C’est une petite révolution dans le domaine de l’esthétique aussi.
Le scénario et le dessin choc et frappe là ou on ne s’y attend pas.
The authority est de retour mais sous un nouveaux jour.