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Vieux 16/09/2016, 00h04
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
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Fletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super Pépette
Critiques de septembre 2016 dans l'indifférence générale

dédié à Slobo qui doit nous lire.

Conclusion et nouveaux départs dans mes lectures DC.

SUPERGIRL #1
Un peu de mal avec Supergirl #1. Dans la lignée du Rebirth, le récit se veut accessible et joue parfaitement la carte de l'accessibilité pour un nouveau lecteur. Steve Orlando est quand même sur les fesses entre deux chaises avec une réelle volonté d'aller draguer le geek qui se régale (plus ou moins semble t il) devant la série télé éponyme en présentant une Kara rajeunie (il est loin le temps de la colocation du début du New 52) mais il joue quand même collectif en ne balayant la continuité établie et le travail effectué sur le premier volume (la dernière page fait beaucoup, présentant un personnage que l'on aime revoir et qui va donner du fils à retordre à Supergirl).
J'ai un peu de mal à adhérer complètement à une Kara qui se cherche avec une attitude un peu niaise et candide (et les dessins de Brian Ching pourraient être meilleurs car brouillon voire à peine esquissés parfois) . Pourtant la narration de Orlando est agréable, surtout qu'il présente un lot de personnage secondaire humain (la famille adoptive de Kara, ses camarades d'école, la directrice du projet) intéressant et identifiable presque immédiatement.
Il manque encore quelque chose mais ce nouveau titre a quelque chose d'accrocheur.

SUPERMAN #6
Réussite du côté de Tomasi qui ne foire pas la fin de son premier arc sur Superman (en plus la paire Gleason-Gray revient pour ce sixième numéro conclusif d'arc). On peut penser décompression mais il ne faut pas oublier que cela a été publié sur 3 mois. Contrat réussi car le format est maitrisé et le nouveau (ou l'ancien ) Superman est désormais parfaitement lancé dans l'univers du New 52. Il est en plus accompagné de sa charmante épouse, de son chien et surtout de son fils, un personnage appelé à de grandes choses pour la suite.
Beaucoup d'action dans ce Superman #6 mais également des temps de repos bienvenus et une conclusion en famille qui m'a enchantée.

GREEN ARROW #6
Oliver Queen attaque un nouvel arc, Sins of the Mother, avec Green Arrow #6. Benjamin Percy tente le récit en flashback en donnant la vedette à la jeune soeur de notre archer, Emiko. Le scénariste continue son sans faute, avec en plus une écriture toujours plus dense. Il monte clairement en régime pour le plus grand plaisir des lecteurs.
Il est question ici d'agents doubles, de jeux d'étudiants qui tournent mal , de sectes, et des combats où la mesure du temps prend une importance inattendue. A ces jeux de dupes tel est pris qui croyait prendre à moins que de nouveaux retournement de situations fassent voler une nouvelle fois nos peu de certitudes.
Je ne connaissais pas le vilain de service, mais il fait bien parti du folklore de l'archer vert. Encore une brillante idée de la part de Percy.
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“Our dreams make us large.” Jack Kirby

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Dernière modification par Fletcher Arrowsmith ; 16/09/2016 à 11h27.
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