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Vieux 05/04/2014, 00h14
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
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Fletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermind
Marvel classic 14

[B][U][CENTER]MARVEL CLASSIC 14[/CENTER][/U][/B]

[CENTER][I][B]Captain America (vol 1) #169 à #175[/B][/I][/CENTER]

Après un très bon numéro 13 consacré à Captain Marvel c'est à un autre Captain, America cette fois ci, que Marvel Classic jette son dévolu, actualité oblige.

J'ai beaucoup aimé la description qu'en à fait Remy dans le post précédent. Je vais essayer de complèter.

J'ai acheté ce numéro essentiellement pour enfin lire la fameuse saga inspirée de l'affaire du [B]Watergate avec l'Empire Secret [/B]comme menace. Je ne voyait pas trop où [B]Englehart et Friedrich[/B] voulaient nous emmener au début surtout qu'à l'époque Cap faisait avec Le Faucon. Le suivi des deux héros n'est pas si fluide que cela même si l'aventure au Wakanda de Sam Wilson est un élément essentiel de son histoire et nous permet de voir la Panthère noire en action et en guest star de luxe. Le récit est mené tambour battant et on a peu le temps de souffler. Surtout que les deux scénaristes trimballent les protagonistes d'un bout à l'autre des Etats Unis pour mieux appuyer là où cela fait mal. Car le mal profond (perte des valeurs, faillite des élites, corruption aux plus hauts sommets de l'état, suspicion) qui c'est à priori emparé du pays n'est pas centré sur les grandes mégapoles uniquement, il est encré profondément dans toute l'Amérique. C'est à un [B]Cap en plein doute[/B] et sur lequel on doute également que l'on a affaire. Il représente plus que jamais l'Amérique mais plus par ses faiblesses. L'histoire n'est pas avare en guests de tout genre : [B]Les X-Men (la peur des mutant est bien exploitée et cohérente), le Hurleur, Moonstone (le premier à découvrir d'urgence), Nick Fury et le Shield, la Panthère Noire, Gabe Jones et Peggy Carter et même un cameo d'Iron Man[/B]. Pour les geeks marvelien ce n'est que du bonheur.

La fin est puissante et inattendue et chose étonnante, mais qui va commencer à se généraliser dans les années 70 (on est en 1974 et la mort de Gwen Stacy date de Juin 1973), nous ne sommes pas en présence d'un véritable happy end. Les perdants ne sont pas forcément ce que l'on croit.

Un dernier mot sur la partir graphique entièrement assurée par [B]Sal Buscema[/B] qui rend de très belles planches, très expressives et dynamiques. Son style est très agréable à regarder. L'encrage de [B]Vinnie Colletta[/B] accentue la ressemblance avec Jack Kirby sur certaines cases.

On a le droit à 7 numéros pour 5,90€ avec une partie rédactionnelle de Christian Grasse pas si mauvaise pour une fois. La traduction est assurée par Thomas DAVIER. Du très bon travail de PANINI.
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“Our dreams make us large.” Jack Kirby

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