Renato Jones the One % #2
On le savait, et ce deuxième numéro le confirme : oui
Kaare Andrews est loin d'être un grand scénariste. Il a quand même du prendre des cours avec Frank Miller pour nous offrir ce Bruce Wayne qui dézingue du gros bourgeois capitaliste. Le scénario n'est pas loin de tenir sur un timbre poste (mais il faut quand même plus d'un). C'est verbeux, cliché, violent mais pas (plus ?) choquant.
Il y a quand même des côtés positifs, comme un récit qui tient sur un seul numéro (pas de décompression) et encore une fois une grosse claque graphique (d'autant que l'on apprécie le sieur Andrews).
J'ai quand même eu du mal à aller au bout car l'accumulation de textes, souvent inutiles et pompeux, ralentit la lecture.
La cover promet un
shoke on this ce fut limite
sleep with this