Master of Kung Fu 17, traduit dans Eclipso 65
Engleheart-Starlin-Milgrom
La série est rebaptisé Master of kung Fu, ce qui montre sa popularité relative (Ironfist ne l’aura qu’au bout de 10 numéros et pour à peine 15 de plus).
Ce numéro voit l’introduction d’un personnage important : Black Jack Tarr !
Nayland utilise un ami des services secrets, Tarr, pour attirer Shang dans un piège : la maison de Tarr à New York, qui contient tout un tas de piège mortel.
Pour l’attirer il fait paraître la nouvelle de sa venue : Shang qui tombe sur ce titre, par hasard, se sent le besoin de conseils de la part du vieil homme sur le fait de se rendre (pas forcément la meilleure chose à faire).
S’ensuit un parcours du combattant, où Shi triomphe des obstacles (Black Jack compris).
Il fait face à Smith à qui il demande de se lever (il a eu les jambes broyés par Fu Manchu)…
Il lui dit que le problème n’est pas physique mais mental avec toute l’amertume et la haine refoulée…
Sir Denis tente et réussit à se tenir debout : notre maître du kung fu le laissera seul à méditer sur ce qu’il convient de croire possible !
Un bon numéro où la pseudo philosophie asiatique fonctionne et donne un ton à la série.
Jack Tarr est pour l’instant un raciste fini : il ne cessera d’appeler Shang : chinaman (chinois chez Arédit, niacoué chez panini (mini Max)) mais au fil du temps, ce sera avec une certaine tendresse, difficile à percevoir dans cette première apparition.
Les bases de ce que sera la série pendant un moment, se mettent en place.
Dernier numéro de Starlin que l’on ne regrettera pas sur ce titre