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Vieux 05/09/2018, 12h04
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EsseJi EsseJi est déconnecté
Reader of stuff
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EsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autresEsseJi est seul loin devant les autres
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Posté par Ben Wawe
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Justice League #7
Fin du gros glougi-boulga cosmique de Scott Snyder pour sa première saga. J'ai aimé la folie des concepts, le dynamisme des rebondissements, la brutalité des événements, et tout ce fatras cosmico-mystique, rempli de punchlines et de moments chocs.
C'était cool et fun, oui, et les menaces sont "dignes" de la JL.
Mais, bon sang, que ce fut brouillon.
Ce #7 rend les choses un peu plus lisibles, même si l'amoncellement de menaces et d'apocalypses de chaque côté (chaque groupe a sa mission impossible à réaliser) peut lasser. Les dialogues sauvent néanmoins la chose, ainsi que les nombreux clins d'œil au passé de l'univers DC, et ses grandes sagas.
Scott Snyder a été très clairement trop ambitieux ici, mais l'ensemble reste fun, car emporté par une fougue totale, une envie d'aller très vite, très loin, très haut ; ça ne fonctionne pas vraiment, mais l'effort est louable, et j'ai suivi cette vague, même si je note les défauts.
Jim Cheung, néanmoins, livre un travail extraordinaire et superbe, qui souligne tous les éléments du récit ; c'est beau et fort. Son trait, avec la folie des concepts, le dynamisme total, et surtout le sens de camaraderie et des dialogues qu'on retrouve ici, ce sont clairement les points forts d'un titre qui évoque une équipe unie d'amis, qui s'ouvre aux autres et entend lutter contre l'obscurité.
Scott Snyder arrive à me faire croire à ça ; c'est déjà bien, mais il faudra être plus carré (et peut-être moins foufou) pour la suite.
A la lecture des titres Justice League je ne peux m'empêcher de penser à Countdown to Infinite Crisis et ses spin-off. En effet, depuis No Surrender on retrouve le même schéma que les quatre séries qui ont lancé la Crisis de l'époque, avec du cosmic ou de la magie. Dommage d'avoir ce sentiment de redite.
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