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Oui, je confirme : je lis d'affilée, et c'est plutôt pas mal.
Personnellement, je suis admiratif de Robert Venditti : au-delà de ses qualités propres, l'auteur a quand même eu la gageure de reprendre le titre Green Lantern après Johns en 2013, et ce n'est clairement pas facile.
De plus, sa prestation se divise aussi en trois phases : l'orientation initiale, avec Relic et la saga avec les New Gods ; l'orientation suivante, avec un Hal Jordan recherché, avec manteau, cheveux mi-longs, le gant bizarre ; et maintenant ça, un retour aux fondamentaux. C'est plutôt impressionnant, à l'heure actuelle, de voir un auteur rester aussi longtemps sur un titre, et alterner les orientations aussi divergentes.
Curieux de lire la suite de ce bon début.
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