Oula. S'il y a bien un point faible à la partie 5, c'est bien ses personnages (aussi bien heros que l'antagoniste). Je les aime bien pourtant, mais à part Buccelatti, aucun n'est rellement mémorable.
Bon, nous n'évoquerons même pas Giorno, pour rester poli.
Nan, la 5, si elle a une qualité, c'est que elle repren la construction shonen classique de la trois, en offrant des combats anthologiques à pratiquement CHAQUE affrontement.
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