Ah, quel délicieux article, l'apologie de la censure.
Je trouve adorable la phrase "On peut surtout, et d’abord, se demander quelle est notre part de responsabilité" en rejetant aussitôt cette responsabilité sur quelqu’un d'autre que soi.
Sinon, se réclamer des grands auteurs... Corneille, avec le Cid, montre que la vengeance pour l'honneur familial doit passer avant l'amour ou le pardon.
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Tiens, Voltaire semble me faire un clin d’œil complice, aujourd’hui, du haut de son buste de pierre |
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Voltaire avait dû publier clandestinement ses écrits censurés et, étant donné qu'il était fervent défenseur de la liberté d'expression, je crois que c'est un œil goguenard qu'il lui jette.