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C'est l'effet pervers de l'arrivée d'Urban. Le marché de la librairie pour les comics n'a jamais aussi bien marché, normal que Panini qui avec une telle licence couplé à une exposition historique non négligeable tente d'y accroire sa production. Après tout c'est ce que font tout les autres éditeurs (et il n'abandonne pas le kiosque pour autant en plus).
Bien sur qu'il y aura de la casse à l'arrivée. Il y en a déjà. Reste à savoir qui seront les perdants et les survivants. Le lecteur est déjà gagnant car l'offre qui lui est proposé est gigantesque désormais. Et le lecteur moyen a surement augmenté son porte feuille. C'est un jeu de dupe géant qui s'est désormais installé sur le marché du comics. Nouvelle exigence, nouvelle demande donc nouvelle offre.
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