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Vieux 13/12/2015, 00h42
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
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Fletcher Arrowsmith a trouvé la dernière décimale de PiFletcher Arrowsmith a trouvé la dernière décimale de PiFletcher Arrowsmith a trouvé la dernière décimale de PiFletcher Arrowsmith a trouvé la dernière décimale de PiFletcher Arrowsmith a trouvé la dernière décimale de PiFletcher Arrowsmith a trouvé la dernière décimale de PiFletcher Arrowsmith a trouvé la dernière décimale de PiFletcher Arrowsmith a trouvé la dernière décimale de PiFletcher Arrowsmith a trouvé la dernière décimale de PiFletcher Arrowsmith a trouvé la dernière décimale de PiFletcher Arrowsmith a trouvé la dernière décimale de Pi
Boom Studios Snow blind #1

On continue crescendo avec les numéro 1 que j'ai testé cette semaine :

SNOW BLIND #1 (Ollie MASTERS / Tyler JENKINS)

one of four

Bien, même très bien. Ollie Masters m'avait surpris avec The Kitchen (Vertigo) et son nouveau titre porte les stigmates d'une narration maitrisée, tendant vers une approche romancée.
Dans ce numéro le scénariste nous présente avec brio la situation qui part d'un ado qui se cherche, en manque de reconnaissance de la part d'un père maladroit. Le cadre sort de l'ordinaire, on n'est plus dans les cuisines du diable mais dans le grand nord (en Alaska), dans une bourgarde à priori peinarde (et ce n'est peut être pas si innocent). Notre jeune protagoniste ne se drogue pas, n'est pas violent non plus, il préfère entrer par effraction dans un bibliothèque et se faire ramener chez lui par les flics du coin avec un roman (crime de lèse-majesté). Allez si il va faire une énooooorme bêtise : prendre son paternel un peu torché en photo .... ce qui va entrainer un bouleversement sans nom dans cette famille moyenne qui finalement ressemble à tant d'autre (en apparence). Un vrai sens de la narration chez Ollie Master qui fait que l'on est happé par le récit dont les rebondissements successifs rythment lentement la lecture.
Graphiquement Tyler JENKINS a mis à profit ses années passé sur Peter Panzerfaust et même si son style est reconnaissable immédiatement de dessiner certains visages de façon triangulaire, les planches sont splendides, éloignés de ce que l'o, peu lire habituellement dans un comics book et surtout sa mise en couleur sublime et terriblement adaptée.

et un demi /5
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