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N'ai aucun regret d'avoir arrêté John From Cincinnati en son milieu. J'ai tenu jusqu'au bout et je l'ai regretté. La fin est du pur foutage de gueule (je te la raconterais bien mais à la vérité, je m'en souviens plus tellement ça suintait du fondement...).
In Treatment est une potion lente qui fait son effet au bout d'une quinzaine d'épisodes, soit 3 séances par patient en gros. Oui, une fois que tu es dedans difficile de les lacher ces persos. Peut-être la raison pour laquelle je ne me suis pas encore attelé à la S2. Ce qui est également très fort dans cette série est que le psy devient lui aussi patient. Un patient d'un genre particulier mais un patient quand même, ce qui permet de relativiser et de mettre en perspective/doute la sacro-sainte parole du thérapeute. Quelques uns des derniers épisodes de la S1 recèlent parmi les moments les plus forts et les plus bouleversants qu'il m'ait été donné de voir à la tévé.
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