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Vieux 14/01/2017, 16h05
hannah hannah est déconnecté
Dieu qui déchire sa race
 
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hannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'arhannah a réalisé une cartographie complète de l'Empire Shi'ar
Bon je commence avec 20 premiers films et espère finir avant fin 2017...
Avec les critères de Zen Arcade édictés en post #1 du topic.

ANDERSON, Wes - Rushmore (1998)
J' en aurais choisi un autre après 2000, mais ça me rends service, je n' aurais pas su lequel choisir.

ASHBY, Hal - Being there/Bienvenue Mr Chance (1979)
Probablement mon plus gros fou rire contenu en salles, avec la version disco et parodique de la musique de 2001, quand Peter Sellers quitte sa maison et découvre le monde extérieur.

BORZAGE, John - Lucky star (1929)
Beaucoup hésité avec The mortal storm (1940, plus grand film anti-nazi de tous les temps ?) et The river/la femme au corbeau. Mais les yeux de Janet Gaynor, les scènes de tempête et la plus improbable des bastons cinématographiques, deux rivaux qui se défient à coups de poings en haut d' un poteau téléphérique. Et il définit plus ce que j' aime chez Borzage, les personnages avant tout et ce mélange parfait de comédie et de drame.

BOYLE, Danny - Trainspotting (1996)
Meilleures 30 premières secondes d' un film et meilleure utilisation d' une chanson de Bowie (Lust for life, Iggy Pop mais écrit par Bowie) dans un film. Et découvert dans des conditions particulières, le projecteur de cinéma était très fatigué et tremblait légérement. Mais je croyais que c' était "normal" jusqu' au générique de fin...

BURTON, Tim - Batman returns/Batman le défi (1992)
Hypnotique, inventif (les origines de Catwoman et The penguin redéfinies) et philosophique, le méchant incarné par Christopher Walken n' ayant pas besoin de masque.

CAPRA, Frank - Mr. Deeds goes to town/L' extravagant Mr. Deeds (1936)
Capra est souvent perçu comme un réalisateur de comédie, mais on oublie qu' il aborde des sujets très sombres. Un héritier milliardaire décide de dilapider sa fortune aux plus nécessiteux, il lui faudra prouver sa bonne santé mentale. Avec un génial Gary Cooper au summum de sa folie et de son charme.

CARPENTER, John - Escape from L.A./Los Angeles 2013 (1996)
Seconde aventure de Snake Plissken, plus drôle, plus transgressive, plus maline. Avec un casting de seconds rôles hallucinants Peter Fonda, Pam Grier, Steve Buscemi, Valeria Golino, Stacy Keach.

CASSAVETES, John - Minnie and Moskowitz (1971)
Mon Cassavetes préféré avec Shadows, ses longueurs et ses hésitations/improvisations habituelles se prêtant mieux à une histoire d' amour, presqu' improbable. Avec Gena Rowlands et Seymour Cassel.

CHABROL, Claude - Les bonnes femmes (1960)
Incompris à sa sortie, quatre portraits de jeunes vendeuses émancipées et solitaires. Avec Stéphane Audran, Bernadette Lafont, et un Mario David bien plus inquiétant que dans ses futurs rôles auprès de Louis de Funès. Ca ne ressemble à rien, on ne sait pas si c' est un film à sketches, vu qu' elles se croisent et la fin est inoubliable.

CIMINO, Michael - Heaven's Gate/La porte du paradis (1980) version longue
Nihiliste, crépusculaire, une civilisation construite sur un carnage. Mais tellement bien réalisé et si audacieux qu' on ne peut détacher les yeux des aventures de 3 personnages (Kris Kristofferson, Isabelle Huppert, Christopher Walken) et de cette communauté d' immigrants.

COEN, Joel & Ethan - O Brother Where Art Thou? (2000)
Hésité avec Miller's Crossing pour ceux réalisés avant 2001, mais c' est le film qui synthétise le mieux leur oeuvre, à la fois débile et très intelligent, avec de multiples niveaux de lecture (la fiche wiki est très instructive, au passage)
Et j' ai un ami musicien qui chante systématiquement I Am a Man of Constant Sorrow en concert.

COPPOLA, Francis Ford - Gardens of stone/Jardins de pierre (1987)
Un film de guerre, qui est construit comme une comédie romantique et qui ne montre pas la guerre. Bouleversant et subtil, avec James Caan, Angelica Huston et James Earl Jones.

COSTNER, Kevin - Dance with wolves (1991) version longue 1993 ?
Dans sa version beaucoup plus longue, les scènes de comédie sont plus développées et on voit l' historique du fort abandonné dans lequel échouera John Dunbar.

DARABONT, Frank - The Shawshank redemption/Les évadés (1995)
Extrêmement consensuel et extrêmement violent, mécaniquement parfait.

DE PALMA, Brian - The untouchables/Les incorruptibles (1987)
J' adore tout, le casting, la photo, le script de David Mamet, chaque scène étant supérieure à la précédente (on sous-estime beaucoup la dernière dans le tribunal avec le plafonds qui "descends", truc qu' il reprendra dans The rainmaker).
Hésité néanmoins avec Snake Eyes, qui est peut-être plus représentatif de l' oeuvre de De Palma.

DE TOTH, André - Day of the outlaw/La chevauchée des bannis (1959)
Découvert il y a peu, révolutionnaire à plusieurs niveaux, esthétique, thématique, script, conditions de tournages. Les derniers Tarantino et Iñarritu y doivent beaucoup.

DEVILLE, Michel - Adorable menteuse (1962)
Sublime comédie en deux actes avec Marina Vlady. Dans la première partie, marivaudages de jeunes gens aisés. Dans la seconde partie plus longue, un thriller amoureux pour un personnage qui prône le mensonge comme défi à l' ennui. Je l' ai toujours vu comme la réponse européenne à Ariane/Love in the afternoon de Billy Wilder.

DONEN, Stanley - Singin' in the rain/Chantons sous la pluie (1952)
La scène titre est presque celle que j' aime le moins. Un enchantement et un des plus beaux films sur le cinéma.

DUVIVIER, Julien - Le retour de Don Camillo (1953)
C' est un film qui commence par le départ du héros principal et qui finit par une inondation apocalyptique, avec au milieu une succession de scènes comiques et poètiques. Notamment le garçon que doit escorter Don Camillo à l' école, et qui refusera finalement de l' "enfermer".

EASTWOOD, Clint - Unforgiven/Impitoyable (1992)
Il n' y a que le titre français que je n' aime pas, peut-être car j' adore aussi le film de Huston (The unforgiven - 1952). Je découvre sur la fiche Wiki que William Munny était un des faux noms de Billy the kid. Et je me demande si il existe un autre film ayant connu un tel succès critique avec 3 acteurs de + 60 ans au moment du tournage (Eastwood, Hackman et Harris étant tous nés en 1930).

Dernière modification par hannah ; 15/01/2017 à 02h41. Motif: Merci à Zen pour acoir corrigé Wes Anderson et pas PTA...
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