Quelqu'un a dit à Hickman qu'il ne lui reste que trois numéros pour finir ? Parce qu'à la fin de ce #5, et au vu de la prochaine couverture, je crains sincèrement une fin expédiée en un seul affrontement définitif, rempli de Deus Ex Machina ; et ce serait dommage, tant Hickman a tissé depuis le début une trame qui devient cohérente dans l'ensemble de son run, et terriblement ambitieuse.
Bon, sinon, c'est très beau, c'est bien dialogué, et l'univers lui-même fonctionne bien.
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