Afficher un message
  #146  
Vieux 31/05/2009, 13h57
Avatar de Jorus C'Baoth
Jorus C'Baoth Jorus C'Baoth est déconnecté
Jedi du coté obsc... DOH!
 
Date d'inscription: août 2003
Localisation: On a Highway to Hell....
Messages: 7 316
Jorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec Dracula
tout à fait d'accords avec toi Ben, son run dans l'ensemble est assez peu remarquable, on aurait pu espérer mieux d'Ellis.

D'ailleurs...

Hellblazer #140 - 143 parus dans le TPB Setting Sun par Warren Ellis & Frank Teran, James Romberger, Javier Pulido, Marcello Frusin, Tim Bradstreet




Plot : 5 petites histoires sur Constantine...

Son contact dans la police Watford l'appelle pour l'aider à résoudre un cas effroyable : un tueur psychopathe a tellement oeuvré dans sa pièce qu'elle est devenue maléfique.

Un journaliste qui a perdu la raison s'est inventé une histoire de berceau contenant l'anté christ et qui lui donnerait un pouvoir maléfique.

Une amie, Anna, qui tient depuis peu une maison de chambres à louer, l'appelle à l'aide car un résident récemment décédé est revenu. John parvient à résoudre le cas après avoir accepter les doléances du mort : qu'il écoute son histoire et qu'il lui fasse subir d'atroces outrages.

Sorti d'un bar bien éméché, John se remémore avec un airde chanson ses ex copines : Mandy, Emma, Annabel, Keeley, Tess...

Tranquillou dans un bar, Constantine est prit à parti par un journaliste et décide de le baratiner à mort en finissant par le coup du cochon ^^


Chtit TPB regroupant 5 one shots, 5 petites histoires tranquillou (c'est le mot clef ^^) autour de Constantine, un style qui change après de nombreux arcs, du nouveau, bref c’est plutôt sympa.
Dans l’ensemble, cela reste assez classique, comme si Ellis ne voulait toujours pas prendre de risques. Pourtant on l’a vu plus original, plus percutant, plus incisif, capables de récits sortant du lot par deux trois coups de génie, genre Global Frequency.
« Locked » est ainsi bien glauque, ambiance à la Seven bien retranscrite par un très bon Frank Teran au dessin. Si l’originalité n’est pas là, ce style relève l’intêret du récit, su simple et efficace qui aurait au final pu mériter d’être développer un peu plus.
« The crib » est plus intéressant déjà, le parfait petit one shot bien ficelé, bien amené avec une fin étonnante. En plus Sir Tim Bradstreet au dessin, c’est cool et ça donne un numéro dont on se rappelle.
« Setting sun » re entre dans le classique, une histoire de fantôme certes bien foutu, mais vu et revu, surtout après l’arc Haunted. Cela réduit un peu l’univers de Constantine aux simples phénomènes fantomatique alors que c’est tellement plus riche. Là aussi, manque de prise de risque par Ellis ? même si il distille quelques saloperies dont il a le secret…Pulido au dessin fait du bon boulot dans le genre sobre, plutôt adapté dans ce cas là.
« One Last love song » est plutôt cool, pas de surnaturel là, ou alors très peu, mais un John bien éméché qui se souviens de ses ex. Ca ne fait pas avancer le schmilblick mais c’est le genre de numéro qui enrichie le perso, le rends crédible et charismatique… si ce n’est que Msieu Ellis a quand même oublié de mentionner Kit, l’un de ses grands amours du temps d’Ennis… dommage quand même, du coup l’objectif est à moitié réalisé ! Jame Romberger au dessin nous gratifie d’un style assez féerique, moins carré et conventionnel que d’hab, parfait pour le ton du one shot.
« Telling Tales » sort lui aussi du lot, un bon plot, bien ficelé aussi avec une fin très Constantinienne ! Du bon taff, comme quoi, Ellis peut le faire. Il embarque le lecteur habilement dans son histoire, et même si cette fin se devine assez rapidement, c’est tellement dans le perso que c’est un plaisir Avec en plus Marcelo « Loveless » Frusin aux crayons, c’est de la balle !

Au final donc un petit TPB sympa sans révolutionner le genre. C’est pas mauvais mais on pouvait s’attendre à mieux de la part du combo Constantine/Ellis. Ce dernier semble conduire en première, peut être manque d’inspiration, peut être frein mis par l’éditeur… dommage car y avait du potentiel, notamment grâce aux dessineux tous très bons et parfaitement dans le ton. Le plaisir de la lecture est quand même là, après tout, ceci constitue un bon break après ce qu’à fait subir Ennis à John, ça permet à tout le monde de souffler avant Azzarello…
__________________
Bad to ze Bone!

Ne cliquez pas, c'est une pub!
Réponse avec citation