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Vieux 02/01/2017, 19h51
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
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Fletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super Pépette
DC Supergirl Being Super #1

Je me suis décidé à prendre finalement le premier numéro de Supergirl Being Super écrit par Mariko Tamaki et dessiné par Joëlle Jones.

48 pages de bd pour 5.99$, tranche carrée et une scénariste qui a gagné un Eisner Award pour son excellent travail sur This One Summer. J'aime assez le personnage de Supergirl bien que je n'ai pas vu un seul épisode de la série télé (je ne suis pas dupe sur les raisons d'une telle publication).

Bilan mitigé à cause du fléau actuelle de la bd américaine. Il faut être ou avoir été pour savoir parler d'un sujet. Intrinsèquement cette revisite des origines de Kara Danvers est loin d'être mauvaise. Mariko Tamaki sait traiter le sujet de l'adolescence (surtout ceux perdu au fin fond de l'Amérique) avec cette touche de modernité associé à un décalage dans le ton employé qui fait assez souvent mouche. Non le problème vient plutôt du public visé : des jeunes filles car comme Supergirl est une jeune femme-fille alors quoi de mieux pour en parler que des femmes qui font un comics girly only ou presque. Un seul homme présent dans le comics : le père adoptif de Kara (très bien écrit au demeurant) et puis basta. Pas de petit copain, on se demande même si il y a des garçon dans le lycée de Kara. forcément sur les deux copines, une est homosexuelle (et typé latino). Pas de soucis là non plus sauf que cela me semble forcé. Du coup j'ai quand même l’impression de lire plus un travail de commande avec un cahier des charges assez lourd entrainant une perte d'originalité dans l'écriture et surtout moins d’honnêteté et de spontanéité. Pourtant c'est très loin d 'être mauvais.

Mauvais point également pour Joëlle Jones qui croque pourtant bien les corps de nos adolescentes mais qui fait des erreurs grossières (un bouton sur le visage qui change subitement de côté, des bracelets qui disparaissent ...). Le genre de détails qui me dérange et me sort de ma lecture surtout quand on est bien rentré dedans (car la narration de Mariko Tamaki reste fluide et de qualité).
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