DC
Catégorie « Excellent »
RIEN
Catégorie « Très bon »
RIEN
Catégorie « Bon »
Gotham academy 13
Genre : Fei Long
Nous sommes au 3ème numéro du crossover Robin war, qui parcourt les titres liés au batverse.
La loi interdit désormais de se déguiser en Robin, tandis que Batman a disparu et qu’un Batlapin robocop patrouille dans les rues pour le compte de la police.
Deux élèves, l’un déguisé en Robin, l’autre ayant volé de l’argent à l’académie, sont expulsés manu militari. Ceci crée un certaine agitation ! De plus, une nouvelle élève est affectée à la chambre d’Olive, ce qui contrarie Maps, elle-même appointée Robin supplétive (certes un peu contre son gré…) par Tim Drake himself dans Gotham academy 11.
Quand un étrange zombie qui semble lié à la cour des hiboux (cf le run actuel de Batman) est déterré de la serre du prof de bio, une nouvelle Robin fait son apparition. Comment vont réagir nos héros ?
Après le relatif fiasco du 12, ce numéro 13 se révèle très agréable à lire, moins fouillis. Le dessinateur remplaçant n’est pas génial mais fait le boulot.
J’espère qu’on va tout de même avoir un illustrateur digne de ce nom pour les prochains numéros.
Scénario : 14/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 12/20
Note finale : 14/20
Catégorie « Sympa »
RIEN
MARVEL
Catégorie « Excellent »
RIEN
Catégorie « Très bon »
Secret wars 8
Genre : Cammy
Suite de la baston géante qui oppose tous ceux qui veulent le faire tomber aux barons de Fatalis.
Dernier numéro avant la chute et chaos généralisé parfois décevant (assez piètre utilisation de Grimm, peu décisive) et parfois prenant (l’intrusion de Reed et d’Ultimate Reed dans le château de Doom, la confrontation Thanos/ Fatalis).
Il y’a à boire et à manger dans ce numéro au niveau du précédent, une mêlée géante où l’action prime sur le scénario, ce qui n’est pas forcément un mal. Graphiquement, Ridic semble avoir simplifié son trait, un peu comme pour le numéro précédent, certaines cases étant superbes et d’autres pas géniales, mais c’est peut-être la faute des couleurs un peu trop délavées.
Nous devrons attendre au moins janvier 2016 pour lire la fin de ce très bon crossover qui se conclut tout de même un peu moins bien qu’il avait démarré pour l’instant.
Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20
Deadpool 3
Genre : Blanka
Deadpool comprend enfin que quelque chose cloche quand il est interrogé par la police pour un meurtre qu’il n’a pas commis.
Pendant ce temps, son équipe de mercs for hire déguisés avec ses couleurs vit sa vie chacun dans son coin et fait face à l’absence de salaire mensuel qui leur avait pourtant été promis par contrat…
Après un numéro 1 qui exposait la nouvelle condition de Deadpool et un numéro 2 qui montrait comment ses mercs for hire se conduisent ensemble, ce numéro 3 se penche sur leurs vies privées, leurs bonheurs et leurs malheurs.
On découvre pourquoi le sérieux et sain d’esprit Stingray appartient à cette équipe de mabouls, que Madcap s’est incrusté en leur sein sans y avoir été convié ou encore les problèmes physiologiques du toon humain.
Un très bon numéro qui intrigue fortement : on s’attache enfin à notre équipe de bras cassés en observant la situation par leurs yeux et on retrouve le Deadpool qu’on aime.
Que du bonheur !
Scénario : 16/20
Dialogues : 16/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 16/20
Hercules 2
Genre : Zangief
Hercules est appelé à l’aide quand les géants du Tartare envahissent New York. Confiant le lave-linge qu’il portait à son coloc Gilgamesh, il se porte à leur rencontre avec un lance-roquettes…
L’idée d’un Hercules qui essaie de devenir un héros respectable et moderne, sans beuveries, sans drague lourde et sans destructions inconsidérées est toujours aussi parfaitement exploitée et donne lieu à de très bons dialogues (« Tout est dans le coup de poing »).
On commence à voir qu’il a vraiment mauvaise réputation auprès de la population new yorkaise, qui le considère en majorité comme un rustre dangereux, bien loin de héros respectables comme Captain America ou Spider-man (oui, le statu quo de Peter a beaucoup changé depuis Secret wars, ce qui laisse Herc songeur)
Au final, un numéro simple mais aux dialogues savoureux, qui apporte une menace sous-jacente et mystérieuse qui avance masquée et menace les figures de la mythologie, faisant beaucoup penser à l’organisation qui chasse actuellement les mages dans Doctor Strange.
Clairement une de mes séries favorites de l’All new marvel now pour l’instant.
Scénario : 15/20
Dialogues : 17/20
Dessins, encrage, couleur : 15/20
Note finale : 16/20
Catégorie « Bon »
Gwenpool holiday special 1
Genre : Guile
She Hulk est conviée par sa logeuse à un réveillon un peu morose : en effet, elle lui annonce qu’elle va devoir vendre l’immeuble qu’elle partage avec d’autres talents hors normes dont personne ne veut car ils provoquent trop d’incompréhension et de destruction.
Mais il y’a anguille sous roche.
She Hulk découvre que son amie est sous l’emprise d’un sort qui l’empêche de se projeter dans l’avenir et la contraint à signer la vente. Seule solution : convier tous les super héros de New York et faire un java de tous les diables pour oublier les soucis du présent !
Miss Marvel est donc conviée par Captain Marvel à ladite soirée, après avoir mis hors d’état de nuire un cambrioleur déguisé en père noël. Ça tombe bien car ses parents ne fêtent pas noël et son petit copain Bruno semble avoir oublié son cadeau…
Nous suivons également les deux Hawkeye et Deadpool, également conviés et qui arrêtent un pickpocket tout en exauçant le vœu de son fils. Mais comment incruster l’infréquentable Deadpool chez She Hulk alors qu’elle lui a explicitement interdit d’entrer ?
Dernière conviée, la mystérieuse Gwenpool, qui est pour l’instant l’invitée d’Howard the duck dans le titre de celui-ci. Nous la voyons accepter de tuer un génie du sabre et décider de le vaincre avec sa propre arme…en s’entraînant avec des cours vidéo !
Elle semble connaître plusieurs super héros, ce qui laisse à penser que ce special se déroule après les évènements d’Howard the duck.
Avec tous ces trublions, le sort sera-il rompu ?
Ce spécial est une très agréable surprise. Faisons cependant un sort à sa couverture et à son titre : Gwenpool n’en est pas une actrice majeure et est à égalité de traitement avec les autres personnages. Pire, son histoire n’intervient pas dans la conclusion du dilemme posé.
Nous sommes bien plus dans une suite du très bon run de She Hulk par Soule car c’est bien la géante verte et son supporting cast qui sont les personnages décisifs de ce one shot.
Bref, pub mensongère !
Ceci dit, on suit ce comic avec beaucoup de plaisir car il retranscrit très bien, et sans aucune niaiserie, l’esprit de noël. De plus, il offre un agréable épilogue à la série She Hulk de Soule mais également à l’efficace mini-série Hawkeye vs Deadpool.
Enfin, c’est aussi un épisode de la vie de Miss marvel qui permet de croiser sa ville de Jersey city et ses amis et c’est la première rencontre entre elle et Gwenpool, personnage qui me semble très légitime et pas doublon avec Spider Gwen ou Deadpool lui-même.
L’histoire de Gwenpool avant qu’elle ne rejoigne la fête est en effet une des plus marquantes du volume, grâce au dynamisme très « manga » du dessinateur Gurihiru et ses superbes couleurs et à la folie douce du personnage, aussi barré que son homologue masculin mais en version plus jeune et accro à Twitter et aux applis.
On ne sait toujours pas si elle a un vrai rapport avec Gwen Stacy ou si elle vient d’un univers parallèle mais je l’ai adoptée grâce à ce one shot, ses apparitions chez Howard étant bien moins convaincantes pour l’instant (histoires trop courtes, ça aide pas).
Les autres dessinateurs sont bien plus moyens mais ça reste lisible et d’une certaine qualité, sans être formidable, particulièrement l’équipe qui œuvre sur Hawkeye et Deadpool.
Au final, un one shot qui remplit parfaitement son office et réserve même quelques surprises, dominé par l’univers mis en place par Soule et par l’adorable Gwenpool.
Scénario : 13/20
Dialogues : 15/20
Dessins, encrage, couleur : 14/20
Note finale : 14/20
Catégorie « Sympa »
RIEN
UDON
Catégorie « Excellent »
RIEN
Catégorie « Très bon »
RIEN
Catégorie « Bon »
RIEN
Catégorie « Sympa »
Street Fighter unlimited 1
Genre : Dee Jay
Suite aux évènements des deux volumes de Super Street fighter (le comic d’Udon, pas le jeu vidéo), Ryu est tourneboulé. Il cauchemarde en pensant au danger du Satsu no hado, la voie meurtrière et quasi incontrôlable suivie par Akuma/Gouki, qui le menace depuis quelque temps et dans l’exercice de laquelle il serait une machine de mort sans freins.
Pendant ce temps à Shadaloo, un mystérieux personnage semble se faire passer pour M. Bison/Vega et vient de capturer Chun Li.
Ce premier numéro offre un What if intéressant en début de volume, montrant un Ryu invincible et meurtrier que personne ne parvient à arrêter.
A part ça, c’est assez plan plan comme début de volume. J’étais en attente de quelque chose de plus fort après les mois d’attente depuis le volume 2 de Super Street fighter.
Décevant pour du Udon.
Scénario : 12/20
Dialogues : 14/20
Dessins, encrage, couleur : 16/20
Note finale : 13/20
