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Vieux 11/08/2015, 16h15
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
Date d'inscription: avril 2005
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Fletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermind
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Posté par EsseJi
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Deadly Class #15 : la chute aux enfers continue. Le héros dépéri et le récit en devient autant électrique, elle est loin l'époque de l’innocence et des premiers meurtres entre amis, dorénavant la confiance est balayée par la paranoïa et ceux qui étaient intimes profitent de leur connaissance de l'ami pour l'écorcher vif. Ce n'est plus un retour de vague, c'est un véritable tsunami qui est en train de s'abattre sur Marcus, et le pire c'est qu'il est en majorité responsable.
Remender sort tout ce qui a de plus noir dans la psyché humaine et Craig s'éclate à représenter le monde de plus en plus létal pour le héros. Une déconstruction réalisée de manière magistrale.
Pas mieux. Encore une grosse claque qui fait mal mais on en redemande. Les allusions à la pop culture sont impressionnantes et pas forcées. On ne peut pas mesurer la part autobiographique de Remender dans Marcus mais c'est clair que le scénariste a du en baver à un moment ou à un autre pour écrire aussi juste avec ses tripes. Le story telling est magistral.

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Posté par EsseJi
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Cluster #6 : plus d'illusions possible, la fin se profile belle et bien. Ceux qui suivent assidûment ce titre ont forcément été déçu d'apprendre que ça ne serait pas une ongoing, en dépit du fait que les débuts très prometteurs pouvaient laisser penser le contraire. Une fois une raison faite, on ne peut qu'applaudir les talents de storyteller de Ed Brisson pour nous amener de façon naturelle vers la conclusion. Ça va faire mal, très mal, les pièces sont disposées, les objectifs définis, il ne reste plus qu'à se laisser porter par le récit.
Bien tu vois il m'a déçu ce numéro. Tout comme toi avec We Stand On Guard j'ai trouvé que Ed Brisson ne surprenait plus trop allant vers une fin assez banale quand on voit la situation de départ (passé les rebondissements qui ont précédé bien entendu). Je laisse le bénéfice du doute au scénariste, car cela reste très bien exécuté, mais on est dans le ventre mou dans ce dernier tiers.
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