Discussion: La SF sans peine
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Vieux 09/11/2016, 09h24
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
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Les Ferrailleurs, tome 1 : Le château de Edward Carey

Acheté car attiré par le couverture et la promesse d'avoir en plus des illustrations de l'auteur à l'intérieur.



Citation:
Au milieu d’un océan de détritus composé de tous les rebuts de Londres se dresse la demeure des Ferrayor. Le Château, assemblage hétéroclite d’objets trouvés et de bouts d’immeubles prélevés à la capitale, abrite cette étrange famille depuis des générations. Selon la tradition, chacun de ses membres, à la naissance, se voit attribuer un objet particulier, dont il devra prendre soin toute sa vie. Clod, notre jeune héros, a ainsi reçu une bonde universelle – et, pour son malheur, un don singulier : il est capable d’entendre parler les objets, qui ne cessent de répéter des noms mystérieux…
Tout commence le jour où la poignée de porte appartenant à Tante Rosamud disparaît ; les murmures des objets se font de plus en plus insistants ; dehors, une terrible tempête menace ; et voici qu’une jeune orpheline se présente à la porte du Château…
Premier tome d’une trilogie superbement illustrée par l’auteur, Le Château nous plonge dans un univers pareil à nul autre, fantasmagorique et inquiétant, gothique et enchanteur. Edward Carey y révèle des talents de conteur, de dessinateur et de magicien qui font de lui le fils spirituel de Tim Burton et de Charles Dickens.
J'aime bien la comparaison à Tim Burton et Charles Dickens même si on quand même assez éloigné des deux dans leur meilleure forme.
Roman surprenant, Edward Carey vise clairement les adolescent mais les adultes devraient y trouver leur compte car c'est souvent parfois assez féroce pour dessiner un sourire ironique ou rire jaune.
L'univers décrit (la fameuse demeure personnage ainsi que le dépotoir géant annexé à Londres) fait preuve d'une imagination impressionnante. On pourrait parler de livre objet dans ces derniers sont le coeur du libre et possède réellement une véritable histoire. La lutte des classes installé dans le manoir Ferrayor lorgne effectivement vers celle décrite chez un Dickens, tandis que les êtres fantastiques et fantasques, montage et montagne d'objet rébus hante les couloirs à la façon d'un Tim Burton. Il y a une excellent passage où l'héroine, bien malgré elle , s'engouffre dans le tas d'immondices comme elle une plongeuse en plein milieu d'un océan déchainé à la recherche de trésor improbables comme des bondes, des robinet ou autres balai de WC....
Les illustrations font la part belle aux personnages haut en couleur, réplique au fusain (oui encre ?) d'un Angleterre victorienne (on est pas complètement dans le steampunk mais on s'en approche par contre). Il y a également deux doubles pages décrivant le manoir et ses bizarrerie très organisés.

Véritable découverte, je vais me diriger vers la suite, surtout que la fin de ce premier tome est surprenante (enfin).
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