Discussion: Critiques VO 2024
Afficher un message
  #329  
Vieux 16/04/2024, 22h40
Avatar de Ben Wawe
Ben Wawe Ben Wawe est déconnecté
Dieu qui déchire sa race
 
Date d'inscription: juin 2004
Messages: 7 706
Ben Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à Galactus
Wonder Woman #8
Toujours lent et poseur, mais intense et réussi. Ici, Diana est aux mains du Roi secret des États-Unis, qui utilise le Lasso du Mensonge pour la soumettre en lui imposant une vision de la femme assujettie à son mari (avec quotidien brutal de la femme au foyer des années 50 américaines) et au dieu chrétien. Diana souffre, peine, comprend que le Lasso est d'origine amazone et sa mère lui a toujours dit que cela ne peut être brisé. Mais Diana voit Hippolyta (rêve ? apparition de sa mère désormais divine ?) qui lui rappelle que Diana ne l'a jamais écoutée... et

C'est bien, oui. Tom King caractérise bien ce s@lop@rd de Roi, avec peu de voix off même si elle reste lourde. L'ensemble est classique dans l'idée, mais fonctionne bien avec une Diana bien écrite, intense et emballante dans sa puissance. C'est top et fort, bien que toujours lent et poseur, avec un Daniel Sampere très bon dans ses planches belles et dynamiques.
La back-up sur Trinity est sympathique mais un peu lourde, avec ici la gamine qui voyage dans le Temps car Damian a eu la flemme de l'aider à faire un exposé. Bof, bof, même si Helen Ortega propose des planches sympathiques.

Toujours les mêmes défauts, mais sacrée intensité.
Réponse avec citation