Elle était bien d'ailleurs cette chronique, même si perso je ne partage pas tes réserves sur le langage chien.
Tiens sinon, tu dis de manière tout à fait juste dans ta chronique que la situation de départ n'est pas explicitée (les raisons qui amènent les habitants humains à péter un cable) et ça m'a fait penser que la fin du remarquable "Vigilance" de Robert Jackson Bennett (qui vient de paraître au Bélial dans la collection Une Heure-Lumière) pourrait à peu de choses près coller à la situation de départ de Red Rover Charlie.
Sinon, comme un con, j'ai confondu Captain Carrot et Flaming Carrot.