Justice League #48
Toujours en retard, toujours dévoré aussi vite mais toujours aussi bon.
La résistance s'organise et les morts commencent à s'accumuler avec ce qu'il faut de coup de théâtre pour faire passer l'arrière goût de décompression accentué par les délais.
De plus, Rebirth oblige, je commence à chercher des pistes dans ce qui pourrait amener au bouleversement de fin mai. Dès la 1ère page, le discours de Wonder Woman semble poser la 1ère pierre. Mirage?
De plus, je sens bien que la Moebius Chair capable de dévoiler n'importe quel secret (cough, cough Original Sin-like?) quand le besoin s'en fait sentir pourrait être le déclenchement d'un jeu de dominos à la fin de l'histoire (vu que qu'elle doit paver le DC Universe pour les mois à venir), surtout avec Geoff Johns aux commande.
En attendant cela, ce numéro continue d'offrir ce qu'il faut (mais toujours pas d'Aquaman...).
Pour Jason Fabok, le délai suppémentaire est toujours bien utilisé.
Place désormais au one-shot dessiné par Oscar Jimenez dédié à Grail.
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Alan Moore :
"I should just keep me mouth shut, I just upset people."
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