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Posté par Fredeur |
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Il y en a des mesures, entre le protocole commotion cérébrale et surtout la lutte antidopage. Ca me parait un peu bizarre que ça soit uniquement des rugbymen de l'Afrique du Sud de la première partie des années 90 qui ont des maladies neurologiques rares. |
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Des mesures insuffisantes. Par ex. au rugby, c’est totalement contre-productif la mesure mise en place en France: dès qu’un joueur est suspecté de commotion, il sort du terrain et subit un test d’aptitude à l’issue duquel en fonction de son score il rentre de nouveau ou pas sur le terrain.
Bon, ben des médecins te diront que ce protocole peut faire plus de bien que de mal car un bon score au test n’élimine pas la suspicion de commotion. Et donc peut conduire à remettre sur le terrain un joueur commotionné. Or, deux commotions coup sur coup lors d’un même match ou même lors de deux matchs espacés de moins de 15 jrs peut être vraiment dramatique.
Ce qu’il faudrait c’est que dès qu’un médecin sur le terrain diagnostique une suspicion de commotion, le joueur sort du terrain et ne joue plus 15 jrs durant, le temps que le cerveau se repose. Ce test fr est totalement con et sert surtout à rassurer les instances sportives et le joueur.
Et ne parlons pas du foot ou c’est le joueur ou l’entraineur qui décide de continuer à jouer et se foutent bien de l’avis médical.
Pour ta dernière remarque, peut-être est-ce du à la professionnalisation du rugby qui date de la même époque. Le jeu s’est durci, est devenu plus violent et a occasionné plus d’incidents, c’est évident. Maintenant j’ignorais que les joueurs sudaf de cette époque avaient plus de soucis que les GB ou les fr. Mais peut-être que leur jeu s’est beaucoup plus durci que celui de leurs concurrents, je ne sais pas.