|
Pour moi, Divine Right ne vaut pas grand chose.
Par contre, j'ai craqué une fois pour un lot steampunk, et même si l'histoire est vraiment difficile à situer et à suivre, je me suis laissé prendre par l'ambiance étrange et les beaux dessins de Bachalo. Mais la lecture est ardue. Il s'agit d'une uchronie dans laquelle la civilisation s'est forgé sur l'utilisation du charbon. On a donc le droit à de belles et grosses machines. Et aussi à des personnages au look un peu étrange.
Mis à part ça, je dois avouer que je n'ai plus grand souvenir de l'histoire. Une bonne occasion de m'y replonger un jour. La partie éditoriale Semic est impeccable, avec interviews des auteurs, explications, sketchs et couvertures
Divine right: Il n'y aaucune chance par contre que je m'intéresse de nouveau à l'histoire d'un livreur de pizza qui acquiert un super pouvoir en surfant sur Internet. Si on ajoute le fait que Jim Lee a torché la fin (même pas tout seul), j'en conclus que si je retrouve la série entière dans mon grenier, je la revends sur internet.
|