Afficher un message
  #46  
Vieux 17/07/2013, 14h01
Avatar de Zen arcade
Zen arcade Zen arcade est déconnecté
Dieu qui déchire sa race
 
Date d'inscription: août 2005
Messages: 5 383
Zen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John Constantine
Citation:
Posté par SJ
Voir le message
47 Ronin #5 : Il arrive qu'on met trop d'espérance dans un comics et qu'on soit déçu par sa fin, dieu merci ce n'est pas le cas de cette mini. Ce dernier chapitre conclu de façon magistrale la vendetta des 47 ronin pour restaurer l'honneur de leur maitre. Désormais en ayant toute l'histoire je sais qu'elle ne va pas rester à prendre la poussière dans mes cartons, non c'est ce genre de comics que je vais lire et relire dans les années à venir. Oh oui le pari d'adapter une histoire mythique du japon féodal n'était pas si risqué tant que ce pays et cette période peut fasciner, mais le casting des auteurs, avec Stan Sakai en tête, fait de cette mini une réussite sur tous les plans. J'en suis presque triste que c'est fini, tant qu'on se sentait facilement immergé dans cet univers. 47 Ronin ne peut que s'imposer comme un must dans toutes les bibliothèques.
Je ne peux que me joindre à tes louanges.
Personnellement, au-delà du scénario classique mais très habilement mis en place par Mike Richardson, c'est la capacité de Stan Sakai à créer des atmosphères qui m'a vraiment charmé.
Non seulement, Sakai est un maître du storytelling (au niveau fluidité dans la lecture, il est l'égal des plus grands) mais ce qui me sidère chez lui, c'est son sens de la composition qui allie à la fois une grande poésie et un sens de la narration hyper efficace.
Et en plus, la colorisation de Lovern Kindzierski est vraiment très réussie (étant tellement habitué à lire du Sakai en noir et blanc, je dois dire que j'avais un peu peur de cet aspect).

Ouaip, ce 47 ronins est vraiment un must.

(et merci pour ton message )
__________________
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère."
Denis Johnson - Arbre de fumée
Réponse avec citation