[Fletcher Arrowsmith]

un spécial Valiant :

DIVINITY II #1 (Matt Kindt / Trevor Hairsine / Ryan Winn)
Matt Kindt n'a, à priori, pas plus de chose à raconter que dans la première mini. Il revient sur le destin des deux cosmonautes qui accompagnaient Abram Adams, aka divinity, pour aboutir à la création de Miss Divinity, à l'enfance soviétique peu surprenante. Après c'est toujours aussi beau (le trop rare Trevor Hairsine) et cela se laisse lire tranquillou, sans se forcer. Pourquoi pas. A noter que le single est dans le format The Valiant c'est à dire d'excellente qualité (tout comme le Bloodshot Reborn de ce mois)

X-O MANOWAR #46 (Robert Venditti / Robert Gill)
the kill list finale
surprenant fin d'arc pour un numéro qui ne l'est pas moins. Venditti met en retrait Ninjak (sans avoir subtilement renforcé les liens avec Aric) et ,ous offre enfin ce que l'on attendait, un affrontement entre X-O Manowar et le Commander Trill tandis que les troupes de ce dernier sont également passé à l'offensive contre le camps de réfugié. Les armorines sont également de la partie. Beaucoup de rythme, d'action sans réelles concessions et une introduction mystérieuse qui aboutit sur un cliffhanger que je n'avait pas vu venir. Seul problème il faut attendre Juin pour avoir la suite car le moins prochain on a le droit à une nouvel annual qui va semble t il revenir encore une fois sur le passé Wisigoth de Aric (cela en devient lassant). Quelle tension ...
J'ai trouvé Robert Gill plus à l'aise que d'habitude même si la colorisation de Ulises Arreola ne suffit pas à rehausser les dessins. Cela manque de punch, de couleurs plus vives ou chaudes.

BLOODSHOT REBORN #12 (Jeff Lemire / Lewis Larosa)
The analog man part 3
Un numéro qui se lit vite, voire trop vite même et le lecteur n'a pas grand chose à se mettre sous le dent mis à part que Bloodshot et Ninjak passent à l'action dans des planches expressives à la mad max d'un Lewis Larosa qui m'a fait penser à Marc Texeira. Après deux bons numéros celui ci surprend par la pauvreté des informations données. Peut mieux faire, j'attends quand même avec impatience la conclusion que va donner Jeff Lemire à cet arc futuriste.