Green Lantern #190
Juillet 1985
Time out of Mind / Mind out of Time (17 pages)
Scénario : Steve Englehart.
Dessin : Joe Staton.
Encrage : Bruce Patterson.
Couverture : Joe Staton & Bruce Patterson.
Non traduit.
Résumé :
Dans son appartement, John Stewart utilise sa bague pour accroître ses connaissances sur les Gardiens. Mais une information lui reste définitivement interdite : l’identité secrète de son prédécesseur. Katma Tui l’invite à ne pas insister et à se préoccuper davantage du futur que du passé. Leur discussion est interrompue par l’arrivée de trois visiteurs : Green Arrow, Black Canary, et Tawny Young, la journaliste qui a révélé au monde son identité secrète. Tawny leur fait voir plusieurs reportages qu’elle a réalisé : une intervention de John Stewart à Coast City, et une réunion chez Carol Ferris entre les deux Green Lantern, Green Arrow et Black Canary. Le problème est qu’aucun d’eux n’a le moindre souvenir de ces évènements. Même Tawny Young ne se rappelle pas avoir tourné ces reportages…
Soudain, Predator pénètre dans l’appartement et s’empare de la cassette que vient de faire voir Tawny Young. Katma Tui réalise que ses compagnons sont tous immobiles, comme plongés en stase. Elle tente d’arrêter Predator, mais celui-ci fait tomber tout le monde par la baie vitrée de l’appartement. Katma n’a d’autre choix que de laisser filer Predator pour sauver ses amis. Ceux-ci retrouvent rapidement leurs esprits, et la jeune femme les informe de ce qui vient de se passer.
De son côté, Hal Jordan continue à pourchasser Predator. Ses précédentes tentatives n’ayant rien donné, il s’est cette fois posté sur le toit d’un bâtiment de Ferris Aircraft et attend sa cible. Carol Ferris le rejoint, inquiète de ne pas l’avoir vu depuis des heures. Tandis qu’ils discutent, ils aperçoivent le père de Carol, Carl Ferris, en compagnie de Mr. Smith, l’homme qui a récemment investi dans la société, et dont Carol et Hal se méfient.
Predator finit par faire son apparition, monte dans un voiture et quitte Ferris Aircraft. Equipé d’un jet-pack, Hal Jordan le suit jusque dans un cinéma désaffecté. Il le retrouve dans la salle de projection et, sous la menace du revolver qu’il a emporté, lui ordonne de se rendre. Predator résiste, et est touché en pleine tête par une balle. Predator se relève, indemne, et s’enfuit. Resté seul dans la salle de projection, Hal repère une odeur qui lui est familière : le parfum de Carol. Que faisait-elle ici en compagnie de Predator ?
Au Broome Memorial Hospital, Guy Gardner sort finalement de son coma, sous les yeux d’une infirmière stupéfaite.
Commentaire :
L’épisode est séparé en deux parties distinctes, l’une consacrée à John Steward et l’autre à Hal Jordan. Mais les deux mettent en scène le Predator, et accentuent chacune à leur façon le côté mystérieux et inquiétant du personnage. En attendant les premières réponses le mois prochain, le mystère fonctionne bien.
Tales of the Green Lantern Corps : Insect Trust, part 2 (6 pages)
Scénario : Todd Klein.
Dessin & encrage : Kevin O’Neill.
Non traduit.
Résumé :
Xax prisonnier d’un piège en acier jaune contre lequel ses pouvoirs sont impuissants, la Spider Guild peut entamer la conquête de Xaos. Leur progression est d’autant plus facile que les chefs des différents clans de la planète se soupçonnent les uns les autres d’être responsable des attaques qui se multiplient partout et ne réalisent que trop tard que la menace est d'origine extra-planétaire.
Les chefs de tous les clans sont convoqués par le Spider Imperium pour accepter une reddition sans condition. Lorsqu’ils découvrent que Xax a été capturé en se battant pour eux, ils réalisent le sacrifice qu’il a accepté pour cette planète, et parviennent enfin à unir leurs efforts contre la Spider Guild. Ils reçoivent bientôt le renfort de plusieurs Green Lanterns, qui vont mettre en fuite la Spider Guild. Libéré, Xax explique qu’il n’a prévenu le Corps qu’à la dernière minute afin de donner une chance aux clans de s’unir enfin, face à un adversaire commun.
Commentaire :
Une histoire fort sympathique, et des planches d'une inventivité inouïe signées Kevin O’Neill.