Afficher un message
  #22  
Vieux 18/11/2016, 22h05
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
...
-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
Date d'inscription: avril 2005
Messages: 33 960
Fletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super PépetteFletcher Arrowsmith se la pète comme Super Pépette
Image The Fix volume 1 Where The Beagles Dare

THE FIX VOLUME 1 : WHERE BEAGLES DARE (IMAGE)
The Fix #1 à #4
Nick Spencer / Steve Lieber



Pour ne va vous mentir j’étais réticent à me procurer The Fix car après le succès critique de la paire Spencer/Lieber sur Superior Foes of Spider-Man, et à la lecture du Ant-Man par le même scénariste (que j’ai très peu apprécié) j’avais peur que cette série publié par Image ne soit qu’une pale copie, une tentative de surfer uniquement sur l’humour des deux titres précédemment cité. Dans la longue phrase précédente à la Proust le mot clé est uniquement. Car The Fix c’est bien un Superior Foes like mais pas que, et surtout pas que.

Déjà nous ne sommes pas dans un univers de super slip et cela fait du bien. On est bien plus décontracté du gland d’un coup (un peu de vulgarité non maitrisé ne fait pas de mal et ne rend pas sourd également). The Fix c’est ici et maintenant soit Los Angeles en 2016. Il y a du soleil, des mafieux, un aéroport (of course), des inspecteurs de police tendance loser (warning key word : tendance), des coups tordus, des embrouilles, des Miley Cyrus et surtout un beagles
Donc The Fix c’est un peu un mélange de tout cela enveloppé dans une narration à la Tarantino. Si plus haut j’insiste légèrement (pour ceux qui suivent) sur la loosorité (copyright Ségo) de nos deux protagonistes c’est qu’ils sont loin d’être des décrits comme des crétins comme l’ensemble du casting des ennemis de l’homme araignée qui fut un temps supérieur. En fait ils souhaitent réussir à leur manière ne croyant pas à l’honnête du système dont ils profitent pourtant allégrement. Ils vont donc monter des coups tendance has been (comme braquer une maison de retraite, sic). Forcément à un moment cela va se retourner un contre eux, vu que le mafieux local va leur demander des comptes (les vieux cela ne rapporte pas assez).

Et là on est partie pour un récit assez débridé en apparence, où chaque épisode est presque un stand alone à lui tout seul mais avec pourtant le plot principal toujours en vu. C’est réellement la force de The Fix. Spencer multiplie les aller retour à l’improviste en demandant à Lieber de croquer des situations burlesques dans un format assez réaliste. On y croit, on rigole on se croirait presque dans un film des frères Coen.

Voilà pourquoi, je rejoins le club très select de EsseJi : achetez The Fix, vous ne le regretterez pas.
__________________
“Our dreams make us large.” Jack Kirby

MES VENTES DE COMICS : ICI
Réponse avec citation