Superman #700 : houlà, voilà un anniversaire qui tombe à plat...
Il faut espérer que l'aperçu par J. Michael Straczynski n'est pas représentatif des idées que l'auteur a car j'ai ri nerveusement sur l'origine du pèlerinage à venir pour Superman. La scène m'a fait penser au très naze Civil War quand une mère vient cracher sur Tony Stark...
Heureusement, Eddy Barrows est la hauteur et j'ai confiance en l'encrage de de J.P Mayer pour lui permettre d'assurer un rythme peut-être pas mensuel (je n'y crois pas 1 minute) mais plus soutenu qu'à l'accoutumée.
Ce prologue partait mal dans mon appréciation car j'ai été bien chauffé par la 1ère histoire anecdotique au possible après War Of The Supermen #4 ou alors il aurait fallu plus développer les conséquences mais James Robinson préfère faire dans le remplissage (et Bernard Chiang, bof).
S'en suit un flashback avec Robin version Dick : cela a plus sa place en back-up mais pas en plein milieu d'un numéro sensé être marquant (ce que fut le Batman #700). Enfin, comme il fallait que Dan Jurgens soit au générique pour tout ce qu'il a apporté au personnage (malgré les critiques, il a laissé son empreinte et j'ai bien aimé son long passage)...
Pour finir, le numéro permet aux divers scénaristes des titres de la Sup-Family de teaser mais bon,c'était déjà sur la Source...
Franchement, ce n'était pas le meilleur moyen d'honorer Superman...
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Alan Moore :
"I should just keep me mouth shut, I just upset people."
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