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Vieux 28/12/2015, 19h37
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Le bilan de la saison automnale, c'est tout de suite!!!
En italique, les séries qui vont continuer cet hiver...


"Résolvons cette énigme!"


Le meilleur anime de la saison n'a pas le meilleur opening. :/

Catégorie “excellent”


1/ Sakurako~san no Ashimoto ni wa Shitai ga Umatteiru 18/20
2/ Owarimonogatari 17/20


Catégorie “très bon”

3/ Lupin III 2015 16/20
4/ Ushio to Tora 16/20
5/ Subete ga F no naru : the perfect insider 16/20
6/ Young Blackjack 16/20
7/ One punch man 16/20
8/ Utawarerumono : Itsuwari no kamen 16/20
9/ Kagewani 15/20
10/ Hackadoll the animation 15/20


Catégorie “bon”


11/ Ore ga ojou~sama gakkou ni “Shomin sample” Toshite gets Sareta Ken 14/20
12/ K : return of kings 14/20
13/ Mobile suit Gundam : Iron blooded orphans 14/20
14/ God eater 14/20
15/ Owari no seraph : Nagoya kessen hen 14/20
16/ Heavy object 14/20
17/ Shingeki ! Kyoujin chuugakkou 13/20
18/ Miss Monochrome the animation 3 13/20
19/ Komori~san wa Kotowarenai ! 13/20


Catégorie “sympa”

20/ Garo : Guren no tsuki 12/20
21/ Onsen yusei Hakone~chan 11/20

Catégorie “moyen”

RIEN

Catégorie “mauvais”

22/ Kowabon 08/20


Le détail...

Catégorie “excellent”

1/ Sakurako~san no Ashimoto ni wa Shitai ga Umatteiru (= « Il y’a un cadavre enterré aux pieds de Sakurako~san »)

Episodes vus : 12/12

Je vois très peu de failles dans cet anime : pour pinailler, on peut dire que Sakurako~san est un Sherlock Holmes féminin car elle connecte sans aucun problème des indices pourtant éloignés, est d’une très grande culture en de nombreux domaines comme l’ostéologie, la criminologie, les poisons, la psychologie, les beaux-arts…

Pour le reste, cet anime est magnifique, à l’image de son héroïne, et plein d’empathie pour le genre humain.
Le fait d’avoir des enquêtes qui ne concernent pas systématiquement des meurtres sordides est en ce sens un très bon choix.
Facilement l’anime de la saison pour moi.

Le vrai titre de la série : Bones, the animation
Si vous aimez : la série TV Bones, les héroïnes cintrées, Tasogare no amnesia
Note, au final : 18/20

Taux de moe : 20% Sakurako~san a un charisme certain et des moues adorables quand elle est prise en faute mais ça reste réaliste.
Taux de harem : 0% Rien



2/ Owarimonogatari (= « La fin de l’histoire »)

Episodes vus : 12/ 12

L’arc final de la désormais classique série de Shaft Bakemonogatari me laisse un peu sur ma faim, la faute notamment au dernier arc narratif, un peu trop décompressé à mon goût.
Il a tout de même le mérite de nous intéresser au passé de Shinobu, la star des trois films préquels à venir.
La nature réelle d’Oshino Ougi, brièvement évoquée dans les magnifiques premiers arcs, aurait mérité plus de précisions et nous laisse un peu en plan. J’ai dû lire quelques spoilers liés aux romans d’origine pour comprendre qui elle est réellement.

Malgré ces défauts qui en font la plus faible des adaptations de la série jusqu’ici, Owarimonogatari est un anime enchanteur, qui a le mérite d’approfondir des personnages un peu sous exploités comme Gaen ou Kanbaru. Et l’ombre inquiétante d’Ougi, qui imprègne d’une ambiance malsaine l’essentiel de l’anime, vaut à elle seule le coup d’œil.

Le vrai titre de la série : Bakemonogatari, chapitre final
Si vous aimez : la saga Bakemonogatari, les anime TRES bavards, les réalisations top notch, les pivotements de tête langoureux
Note, au final : 17/20

Taux de moe : 20% La plus sage des saisons, de très loin.
Taux de harem : 70% La série est un harem déguisé mais la plupart des filles courent après Araragi




Catégorie “très bon”

3/ Lupin III 2015

Episodes vus : 12/24

Cette saison 4 de Lupin (5 si on compte le préquel en douze épisodes Minne Fujiko no onna) reprend les qualités de ses prédécesseuses : dynamisme, action, enquêtes, redressage de torts…
Le cadre de San Marin et de l’Italie en général convient parfaitement au romantique et dragueur Lupin et à ses comparses, la bande-son étant extrêmement réjouissante et enlevée !
Le MI-6 fait un très bon ennemi pour la plus grande bande de voleurs (mais aussi d’anti héros !) de ce monde et l’exploitation des particularités sportives et culturelles du pays est judicieuse, exploitant habilement les clichés sur le foot, la mafia…pour en faire de belles choses.
Il y’a même un fil conducteur, contrairement aux saisons précédentes, ce qui en élève l’intérêt.
J’ai hâte de voir la suite !

Le vrai titre de la série : Lupin III saison 4
Si vous aimez : Lupin III et sa bande, les anime enlevés et joyeux, l’action, l’Italie
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 20% ça reste assez discret sauf quand Fujiko est dans les parages
Taux de harem : 0% Triangle amoureux ? On ne sait pas si la femme de Lupin l’aime ou pas tant elle est inconséquente



4/Ushio to Tora (= Ushio et Tora”)

Episodes vus : 26/26

C’est clairement un très bon shonen de baston et même le meilleur de l’année !
La relation entre Ushio et le yokaï Tora est passionnante. Cela fait plaisir de voir une intrigue classique mais qui n’a pas pris une ride, des combats aussi impressionnants que l’opening de l’anime, un univers liés au shinto riche et intéressant et des personnages secondaires extrêmement bien servis par leurs seiyuus attitrés.

Hakumen no mono est un antagoniste terrifiant, à la voix parfaite car inquiétante et unique, facilement un des méchants les plus charismatiques de cette année. Quant au démon Tora, il est juste jouissif dans son évolution de système de pensée et de comportement. Un grand personnage !

Ushio to Tora est à voir absolument si vous aimez les shonen de baston à l’ancienne, pleins de sacrifices héroïques, d’amitié nekketsu et combats virevoltants.

La suite et fin en avril 2016!


Le vrai titre de la série : Ushio to Tora 2015
Si vous aimez : les anime shonen et fantastique horreur des années 90 (Ninja scroll, la cité interdite…), les relations fusionnelles, les démons tsundere
Note, au final : 16/20

Taux de moe : 0% Aucun.
Taux de harem : 30% Triangle amoureux qui commence à virer au carré



5/ Subete ga F no naru : the perfect insider (=« Tout devient F : the perfect insider»)

Episodes vus : 11/11

Je n’avais pas reconnu la patte du très bon Inio Asano au character design très spécial de prime abord.
L’auteur de merveilles comme Bonne nuit Pun Pun, la fin du monde au lever du jour, Solanin ou encore la fille de la plage donne une identité graphique particulière à cette série, empreinte de réalisme et de mélancolie.

Le mystère qui prend place dans cette sorte de CNRS à la Japonaise positionné sur une île isolée est en tout cas passionnant à défaut d’être trépidant. La série met en effet deux ou trois épisodes à réellement démarrer et ne prend sa pleine mesure qu’à l’épisode 10 ! C’est dire si ce n’est pas un anime pour les gens pressés ou nerveux…ceci dit, on a une enquête policière qui remuera les méninges de plus d’un spectateur et une victime particulièrement marquante et charismatique.
Les échanges entre notre professeur et son étudiante favorite, très bavards et pas forcément immédiatement productifs ou même utiles à la progression de l’intrigue comportent tout de même quelques perles puisqu’ils évoquent des problèmes d’éthique, de philosophie, de logique…

Subete ga F no naru : the perfect inside est un OVNI dans la programmation de cette saison mais il a les défauts de ses qualités.

Le vrai titre de la série : Huis-clos au CNRS
Si vous aimez : les mystères, les anime policiers, les huis-clos
Note, au final : 16/20

Taux de moe : 20% L’héroïne est assez moe, pour un anime réaliste. La meurtrière a quelque chose du même genre aussi.
Taux de harem : 10% Rien. Un semblant de triangle amoureux mais en bien plus tordu.



6/ Young BlackJack

Episodes vus : 12/12

Je n’ai pas lu le manga d’origine, qui semble assez différent de celui de Tezuka (que j’ai lu et fortement apprécié bien sûr).

Cet anime dégage beaucoup d’émotion et de moments forts, notamment l’arc qui se déroule durant la guerre du Viet-nam et celui montrant les excès d’un groupe d’extrême gauche. Celui sur un héros de la cause noire américaine est également très intéressant. Car c’est bien dans la description d’une époque en pleine mutation que cet anime excelle, nous faisant toucher du doigt l’importance méconnue des évènements de mai 68 au Japon (le manga Unlucky young men chez Ki-oon en parle également très bien).

C’est également l’occasion de voir un Black Jack jeune, en proie au doute et en pleine formation, plus idéaliste et moins cynique.
Au final, un anime marquant de la saison, simple et efficace.

Le vrai titre de la série : Blackjack en mai
Si vous aimez : Le personnage de Black Jack, les anime sur la médecine, les mangas de Tezuka, la période de mai 68
Note, au final : 16/20

Taux de moe : 30% Blackjack a l’occasion de montrer son torse viril dénudé à chaque épisode
Taux de harem : 0% Rien



7/ One punch man

Episodes vus : 12/12

Après un début un peu laborieux dû au côté purement humoristique et parodique des anime de shonen de baston et des super-héros, One punch man a ensuite dérivé sur des thèmes plus intéressants au travers de l’association qui chapeaute les héros et les classe selon leur puissance et leurs capacités, ce qui conditionne en partie le regard que l’homme de la rue a d’eux. Le basculement a vraiment lieu au moment de l’apparition des monstres marins et de leur roi surpuissant contre lequel le faible Mumen rider se dresse au péril de sa vie.
Saitama, qui se fiche de l’opinion que les gens ont de lui et préfère être détesté si cela peut sauver la réputation de l’ensemble de la corporation et rétablir la confiance du grand public est également dans ce schéma de pensée.

Mention spéciale à la belle et drôle Tatsumaki, au design très réussi.

Le vrai titre de la série : Un pain c’est tout
Si vous aimez : les super-héros, Docteur Slump, la réflexion sur ce qui fait un vrai héros
Note, au final : 16/20

Taux de moe : 30% La femme moustique à la brève carrière avait une tenue moulante. Les héroïnes portent des robes moulantes. Les héros sont parfois torse nu.
Taux de harem : 0% Rien



8/ Utawarerumono : Itsuwari no kamen (« Celui dont on chante les louanges : les faux masques »)

Episodes vus : 12/25


Voilà une série qui prend son temps, à mi-chemin entre le tranche de vie et l’heroic fantasy décrivant le quotidien d’une capitale au travers de personnages en vue auprès de l’empereur.

Cette série assez lente a un charme particulier, basé sur la découverte du monde par le héros. C’est d’ailleurs un très bon choix que d’avoir réintroduit avec parcimonie les personnages classiques de l’anime de 2006 car cela permet de s’habituer et de s’attacher aux nouveaux tout en ayant le plaisir de découvrir les anciens quelque peu vieillis mais toujours reconnaissables.
Quel plaisir de revoir ces personnages semblables à des figures familières perdues de vue !

L’humour bienveillant omniprésent qui se dégage de cette saison 2 est pour beaucoup dans l’intérêt que nous avons à regarder chaque épisode mais je ne suis pas sûr qu’il soit possible de la regarder d’une traite à cause de cet aspect. Les musiques sont également très agréables et renforcent l’aspect ancien du monde d’Utawarerumono.

Le vrai titre de la série : Utawarerumono 2
Si vous aimez : la série éponyme de 2006, l’heroic fantasy dans un cadre quasi nippon, les filles chats, le tranche de vie
Note, pour l’instant : 16/20

Taux de moe : 50% Kuon, fille chat moe en diable, qui a même une capuche qui épouse la forme de ses oreilles ! Pas mal de scènes de bain très sages impliquent la vingtaine d’héroïnes mais aussi les hommes, souvent dans les rêves yaoï de Rurutie.
Taux de harem : 20% ça a méchamment les apparences d’un harem qui ne dit pas son nom mais comme il n’y même pas de trio amoureux clair et déclaré…



9/ Kagewani

Episodes vus : 13/13

Une des très bonnes surprises de la saison : une série sans gros budget, avec des épisodes très courts mais une vraie patte graphique et surtout un fil conducteur qui relie les épisodes, qui ne sont pas simplement indépendants.
Surtout, c’est une série d’horreur vraiment flippante, avec un beau boulot sur les cadrages, l’ambiance, les silences…

Pour un anime petit format, il est diablement convaincant et les différents monstres sont relativement imaginatifs. Dans la lignée de Yamishibai et bien loin du piteux Pupa.

Le vrai titre de la série : Enquêtes cryptozoologiques
Si vous aimez : les deux saisons de Yamishibai, la cryptozoologie, les séries courtes mais qui vont à l’essentiel
Note, au final : 15/20

Taux de moe : 0% Pas le propos
Taux de harem : 0% Pas le propos



10/ Hackadoll the animation

Episodes vus : 13/13

Ce qui commençait comme une énième série parodique sans imagination m’aura au final bien convaincu, principalement grâce à sa qualité globale digne des grands (merci le studio Trigger issu de Gainax, même avec les boulots de commande vous roxxez !).

Les gags se renouvellent bien, on s’amuse et la tripotée de camées à différents univers (tokusatsu, shonen jump, galge, l’anime Shirobako…) est très bien exploitée.
L’énergie de 1, la gentillesse de 2, la nonchalance de 3 et la folie de 4 filent une grande pêche au spectateur qui en redemande. J’apprécierais une saison 2 !

Le vrai titre de la série : Les sous-douées
Si vous aimez : les héroïnes barrées, les séries courtes et dynamiques, comiques et parodiques, Trigger
Note, au final : 15/20

Taux de moe : 50% Les héroïnes sont moe et ont des tenues moulantes
Taux de harem : 0% Rien




Catégorie “bon”

11/ Ore ga ojou~sama gakkou ni “Shomin sample” Toshite gets Sareta Ken alias Shomin sample (= « L’histoire dans laquelle j’ai été kidnappé par un lycée de jeunes filles de bonne famille pour devenir leur roturier témoin »)

Episodes vus : 12/12

Cette série assez fauchée qui adapte un galge a ce grain de folie qui la rend très plaisante à regarder et contribue à la faire émerger du dessus de la pile.
Ces oujo~samas ignorantes du monde extérieur qui s’enthousiasment pour des memes et des trucs banals a quelque chose de rafraîchissant (« Gets ! »)
Les héroïnes sont toutes attachantes malgré leur classicisme, notamment grâce à leurs doubleuses, qui sont à fond (la voix d’Hakua est à se damner tant elle est adorable).

L’humour et la bonne humeur omniprésents sont des plus non négligeables à ce qui s’avère un anime relativement bateau à priori.

Le vrai titre de la série : Les ojou~samas en folie
Si vous aimez : les ojou~samas, les harems comiques
Note, au final : 14/20

Taux de moe : 40% Pas mal de plans sur les collants des héroïnes, véritable fétichisme du protagoniste, mais ça reste sage.
Taux de harem : 100% Un mec seul dans un lycée de filles isolées du reste du monde.



12/ K : return of kings

Episodes vus : 13/13

Cette fin de la série K et du film K : missing kings tient tout à fait ses promesses. Les personnages sont unidimensionnels mais flamboyants, les combats sont sublimes et la palette de couleurs distingue immédiatement cet anime de la masse.

Ajoutez à cela une bande-son magnifique, facilement une des meilleures de la saison, des méchants qui se paient le luxe d’être attachants et un protagoniste qui en impose enfin, après avoir passé l’essentiel de la première saison à ne servir à rien.

Si seulement la série avait été un peu plus originale, on aurait tenu là une grande série marquante. Ce n’est qu’une bonne série et c’est déjà pas mal.

Le vrai titre de la série : Gangs stylés saison 2
Si vous aimez : la saison 1 et le film, les BO et les couleurs qui claquent, les personnages stylés, Durarara !!
Note, au final : 14/20

Taux de moe : 40% C’est plein de bishonen stylés et d’allusions yaoï. On a aussi une Miss fanservice qui est l’objet de bien des gros plans, une deuxième un peu plus épargnée et Anna est là pour le côté mignon.
Taux de harem : 0% Que dalle



13/ Mobile suit Gundam : Iron blooded orphans

Episodes vus : 13/25

Après avoir acquis leur indépendance et guerroyé contre Zeon, nos jeunes héros partent pour la Terre escorter leur princesse porteuse d’un message de réforme et de sauvetage de Mars et de ses jeunes esclaves.
Ils y font la connaissance d’un clan de yakuzas auquel ils devront s’allier pour garantir un passage sans trop de risques.

Cette série est très classique (c’est la cuvée 2015 de Gundam) et manque d’originalité mais a une très bonne ambiance, une réalisation superbe et deux des openings et endings les plus beaux de l’année.

Les combats de robots dans l’espace valent à eux seuls le coup d’œil mais on a quans même un peu l’impression d’une série inutilement formatée, manquant de d’un je ne sais quoi.
Les personnages manquent de charisme.

Le vrai titre de la série : Gundam millésime 2015
Si vous aimez : l’univers de Gundam, Aldnoah zero, Tengen Toppa Gurren Lagann
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 20% Les pilotes musclés doivent combattre torse nu pour se synchroniser avec leur machine mais seulement dans les premiers épisodes. Des personnages féminins sexy apparaissent avec le départ pour l’espace
Taux de harem : 30% Triangle amoureux



14/ God eater

Episodes vus : 9/13

La série est en pause depuis quelques mois et devrait reprendre en 2016.

Le vrai titre de la série : Monster hunter the animation
Si vous aimez : Black bullet, le jeu d’origine, les futurs apocalyptiques, Monster hunter, Shingeki no kyojin
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 30% Alisa contribue beaucoup au fanservice depuis son apparition à l’épisode 3.
Taux de harem : 30% ça commence à ressembler à un début de triangle amoureux.



15/ Owari no seraph : Nagoya kessen hen (=« Le séraphin de l’apocalypse : chapitre de la bataille de Nagoya»)

Episodes vus : 12/12

Deuxième partie de cette adaptation du manga en cours chez Kana.
Sorte de Shingeki no kyojin plus SF, ce chapitre de la bataille de Nagoya fait bien bouger les lignes, puisque de nombreux évènements historiques surviennent et que des acteurs majeurs abattent leurs cartes.
La relation entre démons et humains est poussée à l’extrême et le plan de la famille Hiiragi est pour le moins…osé.

On apprécie toujours autant la belle et taquine Shinoa et on regrette que le héros soit aussi mal dégrossi.
Reste une série classique mais de belle facture, dont on attend avec intérêt la suite, le final promettant beaucoup.

Le vrai titre de la série : L’attaque des vampires 2
Si vous aimez : les shonen de baston bien foutus, les mondes post apocalyptiques, les vampires, l’attaque des titans
Note, au final : 14/20

Taux de moe : 20% La facétieuse Shinoa joue parfois ce rôle mais ça reste très sage
Taux de harem : 30% Triangle amoureux



16/ Heavy object

Episodes vus : 12/25

Cet anime est au final une sorte de Metal gear solid avec des mechas et des discussions et plans salaces. Nos deux héros, simples trouffions, parviennent toujours à faire chuter les mechas les lus énormes et puissants en tirant avantage du terrain, de leur expérience, de leur audace et du fait que tout le monde les sous-estime.
Il en résulte des arcs narratifs très tactiques de 3 épisodes en moyenne qui les voit être transportés dans un des milliers de petits pays qui parsèment la planète depuis la grande guerre mondiale qui a fait éclater l’ONU.
Et entre temps, les deux personnages discutent avec très peu de retenue des filles qui les entourent quand ce n’est pas la caméra qui tourne autour de leur plastique avantageuse.

Un anime clairement ciblé pour les otaques dont je vous conseille de ne pas attendre un développement narratif. Vous ne pourrez qu’être surpris en bien, tant l’aspect militaire est plaisant et bien utilisé, les méchas originaux et le character design superbe.

Le vrai titre de la série : Military Pac-man
Si vous aimez : les anime de robots, le fanservice, les anime tragicomiques
Note, pour l’instant : 14/20

Taux de moe : 70% Centré sur la princesse et sa tenue bizarre qui devient révélatrice quand elle est serrée et sur la supérieure de nos héros, avec ses bas et la mini-jupe de son uniforme. La cheffe des héros y’a droit aussi plus souvent qu’à son tour, avec forces cadrages et gros plans. Pas mal de vannes sur le sujet aussi.
Taux de harem : 0% Rien pour l’instant



17/ Shingeki ! Kyoujin chuugakkou (=”L’attaque! Le collège des titans”)

Episodes vus : 12/12

Ça débutait bien, avec un budget technique digne de l’anime dont il est tiré, mais cette pochade fait vite long feu, avec des gags manquant de mordant et surtout TRES répétitifs.

Quelques épisodes tirent la couverture à eux, comme les tous derniers mais cet anime s’adresse surtout aux fans en manque de Shingeki no kyojin. Dommage.

Le vrai titre de la série : Ces trolls de titans
Si vous aimez : Shingeki no kyojin, les anime parodiques légers
Note, au final : 13/20

Taux de moe : 50% Des SD adorables partout
Taux de harem : 30% Triangle amoureux discret si on prend en compte le trio Jean/Mikasa/Eren mais la série ne fait que l’évoquer pour un gag.



18/ Miss Monochrome the animation 3

Episodes vus : 13/13

Je ne sais pas si une saison 4 est dans les cartons mais je commence à doucement saturer de voir autant de Miss Monochrome en si peu de temps. Quelques épisodes tirent tout de même des rires, comme celui où Monochrome devient un androïde timide qui a un succès fou auprès des femmes et ne veut surtout pas devenir connu (tout son contraire, quoi) ou encore celui où elle rencontre une version anthropomorphique de la pile alcaline qui lui fournit son énergie.

Pour le reste, les épisodes de quinze minutes, avec deux génériques compris (et même deux chanson complémentaires, passée la première partie de la série) sont parfois un peu ennuyeux. Mais bon, Horie Yui est tellement enthousiaste pour incarner son perso fétiche que ça passe bien à petite dose.

Le vrai titre de la série : Miss Monochrome saison 3
Si vous aimez : les saisons 1 et 2, Horie Yui, Vocaloid
Note au final : 13/20

Taux de moe : 30% Miss Monochrome et quelques personnages féminins sont moe
Taux de harem : 0% Miss Monochrome est une gynoïde insensible à tout sentiment (à part son humour très spécial)



19/ Komori~san wa Kotowarenai ! (=«Komori~san ne sait pas dire non !»)

Episodes vus : 12/12

Avec ses épisodes de 3 minutes montre en main et générique compris, cet anime étonne par sa qualité globale, nous offrant un bon tranche de vie réussi, relaxant et agréable.
Il y’a même une progression de l’intrigue !

Clairement pas une révolution mais un anime mignon et réussi.

Le vrai titre de la série : Komori~san doit apprendre à dire non
Si vous aimez : les séries courtes, l’humour sociétal nippon, les séries tranche de vie et moe
Note, au final : 13/20

Taux de moe : 40% Une partie des gags tourne autour de l’opulente poitrine de Komori~san. Personnages tous très moe
Taux de harem : 0% Nyet




Catégorie “sympa”

20/ Garo : Guren no tsuki (=«Garo, la lune pourpre»)

Episodes vus : 12/25

Une suite bien décevante de Garo où tout est moins bien : les combats, le character design d’un Katsura Masakazu peu inspiré, les intrigues et drames moins prenants… Ne serait l’excellence du fantasque et réjouissant personnage de Seimei l’onmyoji, je n’aurai rien à chroniquer ici.
Sa doubleuse, Romi Park, est suffisamment douée pour pallier les multiples défauts de cet anime décidément bien décevant.

A noter : l’épisode 12 est un reportage filmé montrant les seiyuus déguster un nabe et parler de la série. Etonnant !

Le vrai titre de la série : Garo saison 2
Si vous aimez : la saison 1, la série live, les metal heroes, le shinto, les séries un peu chiantes
Note, pour l’instant : 12/20

Taux de moe : 20% Tenue parfois un peu sexy pour l’alchimiste makaï
Taux de harem : 0% Nichts



21/ Onsen yusei Hakone~chan (= « Hakone~chan, l’esprit des onsen »)

Episodes vus : 13/13

Un petit anime sitôt vu, sitôt oublié. Les personnages sont des clichés ennuyeux, le character design est moyen et l’intrigue est simple et guère passionnante.
Restent des seiyuus qui confèrent au tout une certaine énergie et un format de 3 minutes par épisode qui prévient l’ennui.

Le vrai titre de la série : Déesse au rabais
Si vous aimez : les séries courtes, les onsen, l’humour basé sur la gêne ressentie
Note, au final : 11/20

Taux de moe : 40% Principalement centré sur la mignonne petite déesse des onsen, dont le ton docte contraste avec l’apparence
Taux de harem : 0% Rien



Catégorie “moyen”

RIEN

Catégorie “mauvais”

22/ Kowabon (=«L’effrayant festival»)

Episodes vus : 12/13

Cette série en rotoscopie promettait d’être intéressante mais elle souffre de trop de défauts pour véritablement passionner :
Le format court empêche toute intrigue suivie. Pire, les histoires ne sont que des décalques les unes des autres : un personnage parle à un autre via un écran (skype, caméra de surveillance…) et aperçoit un fantôme (qui a toujours le même aspect, semblable à Sadako de Ring). Il tente de convaincre son interlocuteur de sa présence mais au final l’un, l’autre ou les deux en sont victimes. C’est d’un ennuyeux !

Avec les cadrages et l’ambiance sonore, voir l’aspect réaliste que confère la rotoscopie, on avait potentiellement une très bonne série d’horreur.
Là, on a un produit pas fini, qui pâlit de la comparaison avec le très bon Kagewani.

Le vrai titre de la série : Horreur pas au point
Si vous aimez : les deux saisons de Yamishibai, la rotoscopie, les situations répétitives et peu inventives
Note, pour l’instant : 08/20

Taux de moe : 0% Pas le propos
Taux de harem : 0% Pas le propos




"Vous êtes tous inutiles sans moi!"
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