[B]Colder #1[/B]: Ce premier numéro est d'un frustrant, ce Colder nous chauffe mais avec des étincelles. Non pas que c'est maigre mais c'est que l'on en veut tout de suite plus! Rien n'est figé ni même défini dans l'intrigue, seule l'ambiance a une forte cohérence et c'est déjà beaucoup! Paul Tobin enfin émancipé de son rôle de scénariste pour kids chez Marvel prouve qu'il peut réfléchir sur un univers et des personnages qui sont les siens, Juan Ferreyra en met plein les mirettes, les expressions de ses personnages, dont le perturbant et perturbateur Nimble Jack sont un régal. Avec Colder il ne faut être frileux d'essayer la ligne horreur de Dark Horse.
|