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Vieux 30/07/2013, 14h39
Fletcher Arrowsmith Fletcher Arrowsmith est déconnecté
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-Généalogiste Sénile--Gardien du Temple-
 
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Fletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermindFletcher Arrowsmith bat Charles Xavier au mastermind
[B][U]THE DREAM MERCHANT#1[/U][/B] [I](Nathan Edmondson / Konstantin Novosadov)[/I]

[IMG]http://www.geeksofdoom.com/GoD/img/2013/05/2013-05-05-the_dream_merchant_01-lg-200x307.jpg[/IMG]

En voilà un comics différent de ce que l’on lit habituellement. C’est simple je me suis cru dans une bd franco-belge dans cette histoire de jeune homme (Winslow) terrorisé par la récurrence de ses rêves qui finit par échouer dans un hôpital psychiatrique car il ne sait plus où est la frontière entre le rêve et la réalité. Et puis le tout bascule brutalement vers le road movie et le thriller fantastique. Et c’est tant mieux car je n’ai pas pris ce comics pour lire un ersatz de Sandman.
Néanmoins le scénario de Edmondson traine un peu en longueur. On est intrigué à juste titre et comme la fin tourne au road movie on est captivé et cela donne clairement envie de lire la suite. Edmondson aura quand même intérêt à muscler un peu son récit et à nous fournir un peu plus d’éléments explicatifs pour la suite.

Les dessins de Novosadov tranchent par rapport à la production américaine et se rapproche clairement de l’école européenne. Il y a également un petit côté cartoon dans son approche avec des expressions sur les visages très expressives. La mise en couleur est également au diapason de l’histoire avec des nuances de bleu et gris (couleurs assez froides) pour le monde réel et des teintes de rose ou rouge (couleurs chaudes) dès que l’on entre dans le monde des rêves. C’est très bien vu. Novosadov sait également dynamiser son story telling quand l’aventure vire au road movie.


Au final j’ai été plus qu’agréablement surpris. Ce n’est surement pas le comics de l’année mais j’ai passé un bon moment et en plus le numéro#1 est double size et donc on en a pour son argent.
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“Our dreams make us large.” Jack Kirby

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