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Vieux 09/03/2017, 17h06
Avatar de Zen arcade
Zen arcade Zen arcade est déconnecté
Dieu qui déchire sa race
 
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Zen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John ConstantineZen arcade part en virée avec John Constantine
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Posté par gillesC
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Non, ce qui me gène, c'est que c'est superbe, tout à fait; mais... à la fin : Tout ça, toute cette beauté, toute cette angoisse, toute cette tension... pour ça???
Je n'ai pas du tout ressenti le film comme toi.
Angoissant ? Tendu ?

J'ai vraiment beaucoup aimé la manière dont Barry Jenkins capte à merveille la singularité de son personnage par une attention très sensible à plein de petits détails. Il y a vraiment une sensibilité très proche de certains cinéastes asiatiques peu narratifs mais qui convient l'émotion par un travail très fin sur la durée des plans, sur l'inscription du personnage dans le plan,...
C'est un type de cinéma qui me touche beaucoup et qui me parait très bien convenir à cette thématique du devenir soi-même qui sous-tend le film.
A cet égard, la scène finale du film est un climax et une résolution parfaits, le contraire complet du "tout ça pour ça".

Par contre, en matière de "tout ça pour ça", j'ai récemment vu l'assez médiocre Nocturnal animals et là, on est en plein dedans.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère."
Denis Johnson - Arbre de fumée
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