Depuis des décennies, chaque fois que je lisais un roman récent - disons post-1980 -, j'étais déçu déçu déçu... ou au mieux fort intéressé, mais guère plus; par exemple avec Le Couperet (pourtant vraiment bon) ou Extension du domaine de la lutte.
Comprenais pas pourquoi.
Et puis cet été je me suis mis, par la grâce de l'arbre-à-livre du quartier (et du/des généreux donateur qui le remplit sans relâche) , à dévorer moult romans - voire essais - écrits entre 1900 et la fin des années 70.
Et j'ai compris.