|
Commando, me souviens vaguement du pitch: Schwarzy joue un ancien barbouze qui vit dans la forêt avec sa fille (jouée par Alyssa Milano période Madame est servie voire même avant). Des méchants kidnappent la gamine pour obliger Schwarzy à rempiler et faire un truc dégueulasse à leur place. Lui s'en fout, la seule chose qu'il va faire est traquer les méchants et leur mettre leur race.
Absolument tout est culte dans ce film: le sourire niais de Schwarzenneger au début quand il découpe et manie du tronc d'arbre à mains nues, à croire qu'il voulait se poser pour le rôle de Colossus dans un éventuel film X-Men. La scène de la cabane de jardin, où Schwarzy à court de munitions chope des lames de scie circulaire et les balance sur les méchants, découpant des mains à tout-va. LA tirade: "tu avais dit que tu me tuerais pas!" et Scharzy qui répond: "j'ai menti!". Le sidekick du méchant, croisement de Freddie Mercury et de GI Joe, vêtu d'un marcel à mailles transparent du plus bel effet...
Un film bourrin où Scharzy excelle en gros gentil qui fait des kebabs de méchants. Besson ne s'y est pas trompé en le pompant largement pour Taken.
Rocky 4: le faux accent d'Ivan Drago et ses répliques cultes ("je vais te briser", "s'il meurt, il meurt"), le parallèle de l'entraînement de Rocky et Drago, le footing de Rocky dans la neige qui aboutit au sommet d'un pic enneigé finger in the nose, la mise en scène du combat en Russie, le faux Gorbatchev, les russes qui applaudissent l'américain qui vient de démonter leur poulain, la tirade "fin de guerre froide" de Rocky: "j'ai changé, vous avez changé, alors on peut tous changer!"
Double Détente: moins de souvenirs, mais le début légendaire dans le sauna, la pierre brûlante dans la main de Schwarzy impertubable, Schwarzy le KGBIste qui tombe sur un porno à la télé américaine et sentence: "tsss, capitalism!"
|